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Cette douleur n'est pas la mienne

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Thérapies familiales

Cette douleur n'est pas la mienne

Le livre de référence pour se libérer des traumatismes familiaux Dépression, anxiété, douleur chronique, phobies, pensées obsessionnelles... : ces maux que nous ressentons ne sont pas toujours dus à notre histoire personnelle. Comme l'ont montré les dernières recherches scientifiques, ces troubles peuvent être héréditaires et provenir de la vie de nos parents, de nos grands-parents, voire de nos arrière-grands-parents. Ainsi, même si la personne qui a subi un traumatisme initial est décédée, que son histoire a été oubliée, tue ou dissimulée, les sentiments qu'elle a nourris peuvent subsister à travers les générations. Cette transmission silencieuse joue alors un rôle crucial dans notre santé émotionnelle et physique. Pionnier dans le domaine de l'héritage traumatique, Mark Wolynn nous livre dans ce guide des outils puissants pour se libérer de la souffrance de nos ancêtres. Pas à pas, cette thérapie transformatrice nous aide à débusquer ce qui se cache derrière nos mots, actes, angoisses ou symptômes physiques, pour effacer cette douleur qui n'est pas la nôtre.

09/2024

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On n'aime pas à 17 ans

On n'aime pas à 17 ans Ces 7 mots continuaient à résonner dans la tête d'Henri, en mars 2015, alors qu'ils avaient été prononcés par sa mère 56 ans plus tôt ! Il venait de faire un mauvais rêve dans lequel Amandine, qu'il avait tant aimée à 17 ans, lui faisait une révélation juste AVANT DE PARTIR, de quitter cette Terre sur laquelle elle était née en 1942, 38 jours avant lui. Ce mauvais rêve avait réveillé les souvenirs heureux et aussi très douloureux qui avaient été enfouis dans sa mémoire, il y avait si longtemps ! En 1959 ! Ses souvenirs avaient rejailli peu à peu mais brutalement. Les paroles prononcées par sa mère lui revinrent alors en mémoire ainsi que les mentalités et croyances qui régnaient dans les petits villages dans les années 1950. En se remémorant ce contexte, Henri va véritablement revivre, 56 ans après, son histoire avec Amandine et la raconter à la petite-fille de celle-ci et à la sienne, toutes deux étudiantes en psychologie. Ensemble réussiront-ils à maîtriser les douleurs qui vont rejaillir ? Pourront-ils les empêcher d'emporter l'amour qui le lie à son épouse, Annette, qu'il aime par-dessus tout depuis 50 ans ? Va-t-il pouvoir retrouver la paix intérieure ? On n'aime pas à 17 ans ! Ces 7 mots, érigés en vérité absolue, ont déjà bouleversé deux vies. Vont-ils en bouleverser une troisième ? Des blessures vieilles de 56 ans vont-elles pouvoir se cicatriser enfin ? Ne vont-elles pas toucher d'autres personnes ?

09/2016

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Les vrais durs ne dansent pas

Une station touristique de province dans la trompeuse quiétude de la morte-saison. Tim Madden, un écrivain dont les livres ne se vendent pas, un amateur de femmes abandonné par la sienne, noie son ennui dans le bourbon et les joints. Un matin, Tim se réveille avec une formidable gueule de bois, un curieux tatouage sur le bras, du sang dans sa voiture et, dans la cache où il planque sa marijuana, la tête, proprement coupée, d'une blonde... Tim Madden est-il pour autant un assassin ? Pour répondre à cette question, il se lance dans une enquête personnelle, sans savoir s'il est ou non le coupable qu'il recherche. Une poursuite pleine de péripéties, qui l'amènera à rencontrer des ex-boxeurs, des maniaques sexuels, des repris de justice, une ancienne maîtresse et enfin son propre père, dont la figure haute en couleur restera l'une des créations les plus mémorables de Mailer.

12/1995

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J'écris en afrikaans, la langue du diable

Impossible de ne pas être dans l'attractivité du livre de Ronelda Kamfer, jeune poétesse du Cap Sud. Dès le titre, elle annonce la couleur - la sienne - par la langue choisie : l'afrikaans, cette langue ainsi désignée dans le temps de l'apartheid. La jeune Ronelda Kamfer la revendique relatant le présent et évoquant la vie de ses grands-parents. Dans une langue simple, courte, percutante nous sommes plongés dans le quotidien de ces lieux clos où règnent pauvreté, délinquance, drogue... de ces quartiers fermés et réservés aux populations à la couleur de peau qui n'est pas blanche. Poésie forte par sa spontanéité, sa relation aux petits faits du quotidien si significatifs. Vous ne ressortirez pas indemne dans votre émotion, votre réflexion sur les chemins de l'histoire de l'homme blanc, occidental, dans sa domination du monde et des hommes. Un livre fort et plein de tendresse.

03/2021

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Littérature française

Danser sous la pluie

" Ce livre est très librement inspiré de l'histoire des quatre dernières années. Mon interprétation de cette histoire, passée au prisme déformant de la mémoire et de l'esthétique. Un travail d'écriture, romancé, dont certaines scènes sont imaginaires, dont les personnages ont été mélangés, et dont la réalité n'est pas forcément celle dont le lecteur aurait pu faire lui-même l'expérience. C'est l'histoire de ma mère, et celle de ma fille, entremêlées comme les branches d'un lierre, l'effondrement de l'une laissant place à la renaissance de l'autre. C'est l'histoire d'un diptyque, et celle de l'épreuve d'une vie. Dans les moments les plus sombres, les plus absurdes, ou les plus suspendus, ce livre s'est imposé comme une évidence. Comme une nécessité, plutôt. Celle de cesser d'étudier la frontière entre haine et maladie, et de me distancier d'une méchanceté qui n'était pas la mienne. Celle de transformer mes cris de douleur ou d'effroi en un récit, me forçant ainsi au recul. Digérer, réfléchir, comprendre, puis choisir ses mots avant de s'exprimer. Sublimer les difficultés, la cocasserie, la perte de sens souvent, en une production artistique, en faire un projet. C'était le seul moyen d'aller de l'avant : utiliser ce terreau pour créer. " A. Osdoit Entre le suicide de sa mère, et la maladie de sa fille, Anne explore un quotidien bouleversé, fracassé mais bien réel. Loufoquerie, rires malgré tout, parfois une lueur fugace qui éclaire le cauchemar, et toujours une légèreté digne d'un premier ministre connu pour ses bons mots. La route est droite, mais la pente est forte.

10/2023

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Bonne année et bonne santé

"Avez-vous une idée du quotidien d'une femme avec le sida ? Il n'est évidemment pas le même aujourd'hui comparé aux années 1990. J'ai passé ma vie avec l'ombre de la mort derrière moi. Je me suis détruite, je me suis cachée, je me suis révoltée. Je ne veux plus me taire, même si les révélations de ce livre me feront perdre des amis ou des connaissances. Tant pis. L'homme a toujours eu peur de ce qu'il ne connaît pas. Le sida fait peur et dérange encore de nos jours. Pourtant, je resterai la même qu'hier avant que vous ne sachiez la vérité. Je m'appelle Corinne et je pourrais être votre voisine, votre collègue ou votre cousine... car vous n'imaginez pas la banalité de mon quotidien. Je ressemble à tout le monde. La maladie n'est pas inscrite sur mon front. Par contre, la souffrance et la douleur se sont imprimées au plus profond de mes rides et de mes cicatrices. Elles sont les preuves de mes combats. Il y a autant d'espoir que de chagrin entre ces lignes. Il me fallait les écrire car je me faisais un sang d'encre. Dorénavant, je veux relever la tête et rire de cette vie qui a été la mienne. Ne dit-on pas que l'humour est ce qu'il reste à ceux qui n'ont plus rien ? "

11/2021

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