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Ce que le jour doit à la nuit

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Ce que le jour doit à la nuit

Avec ses beaux yeux bleus et son physique avantageux, Younes, petit Algérien de dix ans, intègre une communauté de roumis, ces Français vivant en Algérie à la veille de l'insurrection. Younes, un petit Algérien de dix ans, vit avec ses parents et sa soeur. Après l'incendie criminel de leur récolte, ils sont ruinés et doivent quitter leurs terres pour trouver du travail en ville à Oran. Son père, ne pouvant subvenir à ses besoins, décide de confier son fils à son frère, pharmacien, marié à une Française. Younes devient Jonas et intègre une communauté de roumis c'est-à-dire des Français vivant en Algérie, les futurs " pieds-noirs ". Avec ses beaux yeux bleus et son physique avantageux, Younes est vite accepté par sa nouvelle communauté aisée. Au fil des années, il va découvrir son pays et apprendre à l'aimer, l'amitié entre quatre amis, de jeunes colons, et l'amour nommé Emilie. Mais il va aussi découvrir la misère des siens, la guerre et l'injustice. A travers le destin de Younès, Yasmina Khadra retrace l'histoire de l'insurrection algérienne et les raisons du déracinement des français d'Algérie.

10/2023

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Littérature française

Ce que le jour doit à la nuit

Attention chef d'oeuvre, livre culte à (re)découvrir pour 5 euros ! Algérie, années 1930. Les champs de blés frissonnent. Dans trois jours, les moissons, le salut. Mais une triste nuit vient consumer l'espoir. Le feu. Les cendres. Pour la première fois, le jeune Younes voit pleurer son père. Confié à un oncle pharmacien, dans un village de l'Oranais, le jeune garçon s'intègre à la communauté pied-noire. Noue des amitiés indissolubles. Et le bonheur s'appelle Emilie, une " princesse " que les jeunes gens se disputent. Alors que l'Algérie coloniale vit ses derniers feux, dans un déchaînement de violences, de déchirures et de trahisons, les ententes se disloquent. Femme ou pays, l'homme ne peut jamais oublier un amour d'enfance... " Le vrai talent de Khadra est là. " Grégoire Leménager - L'Obs Cet ouvrage a été élu meilleur livre de l'année 2008 par le magazine Lire et a reçu le prix France Télévisions .

01/2025

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Littérature française

Ce que le jour doit à la nuit

Algérie, dans les années 1930. Les champs de blés frissonnent. Dans trois jours, les moissons, le salut. Mais une triste nuit vient consumer l'espoir. Le feu. Les cendres. Pour la première fois, le jeune Younes voit pleurer son père. Et de pleurs, la vie de Younes ne manquera pas. Confié à un oncle pharmacien, dans un village de l'Oranais, le jeune garçon s'intègre à la communauté pied-noire. Noue des amitiés indissolubles, françaises, juives : "les doigts de la fourche ",,comme on les appelle. Et le bonheur s'appelle Emilie, une "princesse" que les jeunes gens se disputent. Alors que l'Algérie coloniale vit ses derniers feux, dans un déchaînement de violences, de déchirures et de trahisons, les amitiés se disloquent, s'entrechoquent. Femme ou pays, l'homme ne peut jamais oublier un amour d'enfance...

09/2009

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Littérature française

Ce que le jour doit à la nuit

Yasmina Khadra nous offre ici un grand roman de l'Algérie coloniale (entre 1936 et 1962) - une Algérie torrentielle, passionnée et douloureuse - et éclaire d'un nouveau jour, dans une langue splendide et avec la générosité qu'on lui connaît, la dislocation atroce de deux communautés amoureuses d'un même pays.

08/2008

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CD K7 Littérature

Ce que le jour doit à la nuit

Alors que Younes n'a que neuf ans, son père, paysan ruiné, doit se résoudre à le confier à son frère, un pharmacien parfaitement intégré à la communauté pied-noir d'une petite ville de l'Oranais. Rebaptisé Jonas, il grandit parmi de jeunes colons dont il devient l'inséparable camarade et tombe passionnément amoureux d'Emilie, La révolte algérienne sera, pour Younes-Jonas, sanglante et fratricide. Avec la verve romanesque qu'on lui connaît, Yasmina Khadra éclaire d'un nouveau jour ce conflit ayant opposé deux peuples amoureux d'un même pays.

11/2008

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Non classé

Ce que la nuit doit au jour

La vie n'a pas épargné Nsungu. Sa mère perd la vie en lui donnant naissance. Son père sombre alors dans l'alcool et l'accuse d'être le responsable de cette mort tragique. Il grandit avec ce poids sur les épaules jusqu'à la mort de son père. A l'âge de deux ans, c'est le décès brutal de sa marraine qui le bouleverse à nouveau. Dès lors, commencent les vicissitudes qui vont traumatiser son enfance et celle de sa soeur. Livré à lui-même, Nsungu doit se battre pour survivre. A l'âge de cinq ans, bien qu'il se passionne pour l'éducation, il ne peut pas se scolariser. Déterminé, il prend son courage à deux mains et va voir le directeur d'une école primaire de Mwenda Mukuma à Bukunga, un village situé au centre de Buluba – Nation, et lui propose de payer sa scolarité en troc. S'ensuit un cursus secondaire en littérature. Tantôt hébergé, tantôt enfant de la rue, Nsungu réussit à survivre et se lance dans un périple durant lequel il va traverser une quinzaine de pays africains. Il atteint le Maroc en 2014 alors âgé de seize ans. Il trouve une école, le Petit Collège, où il termine ses études lycéennes et accède en 2018 à l'université Mohammed V de Rabat où il étudie le droit public et obtient sa licence, option science politique et relations internationales. Un récit de vie rempli d'espoir.

01/2022

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