La libération de la parole de femmes travaillant dans l'industrie cinématographique, actrices ou non, a lancé des débats, dans le monde entier, sur la manière dont la société pouvait inciter des femmes agressées à se taire, ou encore favoriser l'impunité pour leur agresseur. Un collectif de femmes, dont Catherine Deneuve, Brigitte Lahaie, Catherine Millet et l'éditrice Joëlle Losfeld, a publié une tribune dans Le Monde pour défendre la « liberté d'importuner » des hommes, estimant que celle-ci est indispensable à la liberté sexuelle.