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Caroline Blackwood

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Littérature étrangère

Blackwood

Vénéneux. Après y avoir vécu un drame quand il était enfant, Colburn est de retour à Red Bluff, Mississippi. Il y trouve une ville qui se meurt en silence. Lorsque deux enfants disparaissent, les tensions alors sous-jacentes éclatent au grand jour, et la vallée s'embrase. La prose lyrique de Michael Farris Smith est à l'image du kudzu, cette plante invasive qui s'accroche à tout ce qui se trouve sur son chemin et étouffe lentement Red Bluff : plus le lecteur avance dans le livre, plus il se sent enlacé, retenu, pris au piège. Jusqu'à un final sidérant.

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Littérature anglo-saxonne

Blackwood

"Blackwood est un piège dont on ne sort pas indemne". Le Soir 1975. Red Bluff, petite ville du Mississippi, se meurt en silence, étouffée par le kudzu, une plante grimpante qui envahit tout. Les rues sont désertes, les devantures closes, les habitants rares. Après des années d'absence, Colburn est de retour sur les lieux de son enfance, dans l'espoir d'exorciser le passé. Mais sa présence semble échauffer les esprits, déjà passa- blement agacés par l'apparition d'une mystérieuse famille de vagabonds aux abords de la ville. Lorsque deux enfants disparaissent, la vallée s'embrase. PRESSE : " Ce beau récit de Michael Farris Smith nous plonge dans une Amérique oubliée, celle du Sud des déshérités et des marginaux. " L'Obs. " Comme son illustre prédécesseur William Faulkner, Michael Farris Smith est le romancier du quart-monde au coeur du Mississippi et des existences gâchées par les fantômes du passé " Le Monde des livres. " La végétation envahit tout dans ce livre oppressant [... ] Symbole du mal qui ronge les âmes, elle court, monstrueuse et féroce, au fil des pages de ce formidable roman noir ". Le Figaro magazine.

05/2022

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Littérature française

Caroline

Immersion dans une école primaire... Avec de jolies mamans efficientes, bien pétillantes et bien mariées. Quelques-unes aussi, moins jolies peut-être ou moins bien mariées. Mais toutes sûres de leur droit d'ingérence dans le fonctionnement de la scolarité de leurs petits anges pleins d'appétence qu'elles confient, sourcilleuses, à des enseignants convaincus par leur tâche, tellement indispensable. Des psychologues de haut lignage portant un regard distancié et pertinent sur les apprentissages fondamentaux. Des édiles attentifs en leurs devoirs à l'égard de la gestion de l'école, berceau de l'avenir des enfants de leur commune. De talentueux Inspecteurs de l'Education Nationale faisant appliquer de bénéfiques et congrues directives ministérielles... Parmi toutes ces personnes hautement concernées, une jeune Professeure des Ecoles, Caroline, fraîchement nommée dans ce marigot, tentant de ne pas trop y patauger... Garder les yeux rieurs jusqu'à ce que je la rencontre, elle ou une autre, sur une page de mon quotidien préféré dans la rubrique des faits divers. Elle était gracieuse et souriante et maman également. Tenter de comprendre pourquoi un environnement paisible, loin des turbulences de banlieues fébriles, devient hostile.

09/2016

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Littérature étrangère

Granny webster

Caroline Blackwood affirmait que la majorité de ses écrits n’étaient pas particulièrement autobiographiques, à l’exception de Granny Webster, dans lequel elle s’inspire de sa famille. Ce livre, publié en 1977, a été sélectionné pour le prestigieux Booker Prize. La jeune narratrice orpheline de père s’installe chez son arrière-grand-mère, l’avare et glaciale Granny Webster, dans une grande demeure sombre de la banlieue de Brighton, à Hove. Son regard impitoyable d’adolescente révèle la folie noire qui se dissimule derrière les décors des grandes demeures de l’aristocratie. Le personnage de Granny Webster est inspiré par l’arrière-grand-mère de Caroline Blackwood, une héritière écossaise pingre nommée Woodhouse. Le portrait qu’en dresse l’auteur est à la fois drôle et effrayant. La seule chose qui intéresse Granny Webster, c’est son coeur. Elle ménage ce dernier autant qu’elle le peut, jusqu’à l’absurde. De fait, la vieille dame évite toute émotion, toute parole inutile et toute nourriture qui pourrait être appétissante. Granny Webster n’a jamais tenté de nouer des liens avec d’autres personnes, préférant vivre seule dans sa demeure glaciale. Granny Webster a été le premier livre de Caroline Blackwood dans lequel elle condamna l’égoïsme absolu d’une matriarche riche et mesquine, d’une sorcière diabolique qui observe sans bouger la ruine de son enfant. Car, la narratrice s’interroge sur sa grand-mère, la fille de Granny Webster, que son arrière-grand-mère n’évoque jamais. C’est Tommy Redcliffe, un ami de la famille, qui dévoile à la jeune fille l’histoire de sa grand-mère. On apprend que, une fois mariée, cette femme frêle était incapable de tenir la maison, qu’elle passait ses journées cachée dans sa chambre, et ses nuits à errer aux abords de la demeure familiale de Dunmartin Hall. Elle ne semblait même plus reconnaître les membres de sa famille. Puis, elle donna libre cours à sa passion pour les fées sans se soucier de personne et se mit à apprendre leur langage. La folie de la grand-mère allant grandissante, la maisonnée tomba dans la décadence. Granny Webster finit par agir, uniquement pour ne pas salir le nom de la famille, et se déplaça pour faire interner sa fille, laissant son beau-fils nourrir une tristesse sans égale. D’autres personnages, tout aussi truculents et affligeants, complètent cette galerie de portraits. Tante Lavinia est un personnage inoubliable. Blackwood s’est inspirée de sa propre tante, Veronica Blackwood. Lavinia est une « jolie-laide » qui raconte des histoires scandaleuses, qui vit au-dessus de ses moyens et est connue pour ses nombreux mariages. Piégée dans l’inexorable vie de plaisirs de la haute société délurée de Londres, elle tente de se suicider dans sa baignoire de marbre. Cette scène devient comique sous la plume de Blackwood, de même que le devient la tentative de viol par le psychiatre à l’hôpital où on emmène Lavinia après qu’elle se soit taillé les veines. Le livre se clôt sur les funérailles de Granny Webster. Les seules pleureuses qui y assistent sont la narratrice (qui revient à Hove pour la première fois depuis quinze ans) et l’ancienne domestique borgne de son arrière-grand-mère, Richards. Le coup de grâce, à la fois comique et horrible, vient lorsqu’un flocon de cendre, tout ce qui reste de la vieille dame , s’engouffre dans l’oeil valide de sa servante dévouée.

05/2011

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Autres personnages

Caroline et ses amis : Caroline détective

Une nouvelle édition de la série Caroline, ce grand classique que tout le monde connaît et qui traverse le temps. Nostalgie de l'enfance ou découverte d'une héroïne intemporelle, profitez de ce bel album au grand format mettant en valeur les magnifiques illustrations de Pierre Probst. L'histoire de l'album : Incroyable mais vrai ! Pouf, le petit chat blanc, a disparu ! Caroline et ses amis s'inquiètent et partent à sa recherche ! Mais quelle n'est pas leur surprise lorsqu'ils croisent dans la ville plein de chats blancs portant chacun un noeud papillon ! Vont-ils le retrouver ?

07/2023

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Suspense

L'Héritage de Judith Blackwood

Londres, 19e siècle. Judith Blackwood, orpheline sans le sou, est envoyée chez son grand-père qu'elle n'a jamais vu. Celui-ci a une passion : les échecs, qui ornent chaque pièce de son imposant manoir. En arrivant, Judith est loin de se douter de ce qu'elle va y trouver : une famille étrange, une atmosphère pesante et des secrets inavouables... La jeune fifille est alors plongée dans une partie mortelle, dont elle ne sortira pas indemne. UNE ENQUETE A HUIS CLOS A LA AGATHA CHRISTIE !

09/2023

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