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Cahiers André Gide. Volume 9, Correspondance André Gide et Dorothy Bussy : juin 1918-décembre 1924

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Livres, actualités : tout sur Andrée Chedid

Née le 20 mars 1920 au Caire, en Égypte, sous le nom Andrée Saab, Andrée Chedid y mène ses études, apprenant le français et l'anglais, et utilisant de manière ponctuelle l'arabe. Avec son mari Louis Selim Chedid, qu'elle épouse en 1942, elle part au Liban l'année suivante, où elle publie son premier recueil poétique, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake.

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Romans, nouveautés : les livres d'Andrea Camilleri

Andrea Camilleri était un écrivain italien renommé, célèbre pour sa série de romans policiers mettant en scène le commissaire Montalbano. Il est né le 6 septembre 1925 à Porto Empedocle, en Sicile, et a grandi dans la ville voisine de Agrigente.

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Roman, nouveautés : les livres d'Andrea Camilleri

Andrea Camilleri était un écrivain italien, né le 6 septembre 1925 à Porto Empedocle (Sicile) et décédé le 17 juillet 2019. Il a grandi dans un environnement marqué par les traditions et les coutumes de la Sicile. Après avoir terminé ses études secondaires, il a déménagé à Rome pour poursuivre des études à l'université La Sapienza, où il a obtenu un diplôme en littérature.

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Andreï Kourkov, symbole de la résistance ukrainienne par les Lettres

En l'espace de quelques heures, toute l'Europe a pris peur : la Russie décidait d'envahir l'Ukraine, contre toute attente – ou plutôt, confirmant les craintes d'un grand nombre d'observateurs. Et depuis le 24 février, l'écrivain d'origine ukrainienne, Andreï Kourkov prend la parole dans les médias. Loin d'un couple “Je vous l'avais bien dit”, l'auteur apporte explications et commentaires, comme il l'a fait à travers ses livres.

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Le Prix Décembre

Créé en 1989 sous l’appellation Prix Novembre, le Prix Décembre a été pensé comme un anti-Goncourt, un de plus : la récompense entendait se démarquer de par sa sélection initiale, mais aussi son choix de lauréat. Pensé et doté, à l'origine, par Michel Dennery, il fut ensuite soutenu par Pierre Bergé, se nommant alors Prix Décembre.

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En juin, la bande dessinée donne Rendez-vous à Amiens

« Soleil de juin luit de grand matin », comme chacun le sait : voilà qui tombe à pic, tout le mois de juin sera consacré, week-end après week-end, au 9e Art. La ville d'Amiens accueille ses traditionnels Rendez-vous de la BD, mais celle-ci prend ses quartiers, bien plus que d'ordinaire. 

Extraits

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Critique littéraire

Cahiers André Gide. Volume 9, Correspondance André Gide et Dorothy Bussy : juin 1918-décembre 1924

En juillet 1918, André Gide, accompagné du jeune Marc Allégret, se rend à Cambridge. Il y rencontre Dorothy Bussy, soeur de l'écrivain Lytton Strachey et femme du peintre français Simon Bussy. D'emblée éprise de l'oeuvre de Gide, Dorothy, qui vit à Londres et à Roquebrune, se propose comme traductrice de ses livres. Ainsi s'établissent d'abord entre eux des rapports de travail. Mais très vite, elle découvre que sa passion s'adresse autant à l'homme qu'à son oeuvre. Elle le lui dit. Il élude. Leur correspondance met alors en scène, jour après jour et pendant plus de trente ans, le récit à deux voix d'une "liaison" exceptionnelle. Dorothy cherche à conquérir l'homme qui se refuse. Frustrée souvent désespérée, lucide ou aveuglée par son amour, elle analyse ce qui est pour elle la perversité de son correspondant. On verra, au cours des années, comment Gide se tire de cette situation impossible avec une longue patience et une douce fermeté. Une longue et riche introduction de Jean Lambert éclaire non seulement les deux acteurs de ce drame singulier, mais l'époque littéraire tout entière, la gestation de certains romans de Gide, les antinomies du coeur et de l'esprit chez ces deux êtres qui tantôt s'éloignent et tantôt se rapprochent, mais qui resteront tumultueusement unis jusqu'au bout de leur existence.

11/1979

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Critique littéraire

Cahiers André Gide. Volume 10, Correspondance André Gide et Dorothy Bussy Tome 2, Janvier 1925 - Novembre 1936

Lors d'un séjour à Cambridge en 1918, Gide fait la connaissance de Dorothy Bussy, soeur de Lytton Strachey, qui vit pour la plus grande part de l'année dans le midi de la France avec son mari, le peintre Simon Bussy. Elle tombe aussitôt amoureuse de l'auteur déjà célèbre, mais à peu près inconnu du public anglo-saxon, et se propose comme traductrice de ses oeuvres en anglais. Dès lors s'établit entre eux une correspondance régulière, brûlante du côté de la femme déjà mûre (elle a cinquante-trois ans à l'époque de la rencontre, Gide va en avoir cinquante), beaucoup plus réservée du côté de l'écrivain, qui a conscience de la valeur exceptionnelle de son amie, mais ne peut répondre à sa passion. Ces lettres constituent un extraordinaire document psychologique et culturel, qui met en lumière certains mécanismes du comportement gidien à l'égard d'une femme, en même temps qu'il dessine avec précision la silhouette des amis communs et la courbe de leur activité intellectuelle. Ce tome II contient les lettres de janvier 1925 à novembre 1936, autrement dit du départ pour le Congo au retour de l'U.R.S.S. Le premier volume avait révélé aux lecteurs français la personnalité de celle qu'ils connaissaient seulement comme l'auteur d'Olivia. Avec les années, la passion de Dorothy Bussy s'est faite plus lucide, mais elle sait ce qu'auront eu d'unique ses rapports avec Gide, en dépit des désillusions.

01/1981

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Critique littéraire

Cahiers André Gide. Volume 14, Correspondance André Gide - Valery Larbaud (1905-1938)

A vingt-quatre ans, Valery Larbaud envoie à son aîné un poème. Bientôt, ils vont se rencontrer. Gide sera le premier, avec Claudel, à reconnaître l'importance de Larbaud. Ils vont voyager ensemble en Angleterre pour voir Joseph Conrad. Ils vont aussi à Florence. Gide rêve de s'installer à Rome avec son ami : "Le voisinage (oui, je dis voisinage plutôt que compagnie) d'un travailleur peut m'exalter autant que celle d'un flemmard peut me distraire". L'amitié et la confiance deviennent telles que Larbaud confie un secret à Gide : protestant, il s'est converti au catholicisme. Gide s'empresse de répéter ce secret à Claudel. Dès la naissance de la N. R. F. , Gide fait tout pour attacher Larbaud à la revue, et le détourner de La Phalange. Larbaud, toujours un peu sauvage, ne fera jamais partie du groupe directeur de la N. R. F. , mais il sera souvent consulté et appartiendra à cette nébuleuse d'écrivains qui se retrouvent et s'expriment dans la revue. Larbaud contribue en particulier à la découverte de Saint-John Perse et apporte ses connaissances en littérature étrangère. Gide finira par lui déclarer : "Vous êtes désormais un de ceux pour qui j'écris ; un des très rares". Larbaud reste discret sur sa vie sentimentale et Gide tout à fait muet. Leur correspondance est essentiellement celle de deux écrivains pour qui la littérature est la première préoccupation.

11/1989

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Critique littéraire

Cahiers André Gide. Volume 2, Correspondance André Gide - François Mauriac

Soixante-trois lettres, de 1912 à 1951, accompagnées de nombreux documents, textes rares et inconnus, font de ce livre le dossier complet des relations entre Gide et Mauriac. On retrouve dans cette correspondance la vivacité, la causticité de Mauriac et l'expression de son inquiétude spirituelle, aussi bien que, du côté de Gide, sa prodigieuse faculté de sympathie, son exigence et sa clairvoyance critique.

04/1971

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Critique littéraire

CAHIERS ANDRE GIDE N°12 : CORRESPONDANCE ANDRE GIDE JACQUES COPEAU. Décembre 1902-Mars 1913

C'est à la lecture des Nourritures terrestres et de L'Immoraliste que Jacques Copeau s'est épris d'André Gide, son aîné de dix ans. La première lettre qu'il ait reçue de lui, début janvier 1903, il l'avait attendue avec une impatience émue... Ainsi commence une riche et passionnante correspondance, l'une des plus longues que Gide ait entretenues, qui ne cessera qu'à la mort de Copeau en 1949 : près d'un demi-siècle d'échanges épistolaires, preuve tangible d'une amitié que ne devaient démentir ni les fluctuations de l'existence, ni les divergences d'opinions ou de préoccupations, ni les inévitables crises de confiance. Ces lettres, par la vivacité d'un dialogue tantôt grave, tantôt enjoué, dessinent le portrait au naturel de deux êtres en perpétuelle quête d'authenticité, reproduisent la courbe de deux carrières exceptionnellement fécondes. Ce premier tome correspond aux années 1903-1913, jusqu'à la fondation du théâtre du Vieux Colombier : une période intensément vivante dans les relations des deux amis que Claude Sicard, dans sa pénétrante introduction, appelle "le temps de la complicité" . Deux hommes se découvrent ici, se livrent, s'exaltent, s'encouragent dans leurs productions. Les sujets touchent à tous les domaines : la vie littéraire, la fondation de La N. R. F. et son fonctionnement au quotidien, la vie théâtrale, la vie artistique, la réflexion sur la création, la vie intime enfin dont se nourrit la lucide analyse d'eux-mêmes et de leur temps.

12/1987

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Critique littéraire

Cahiers André Gide. Volume 15, André Gide et le théâtre

André Gide, homme de théâtre ? Sans doute pas. Et pourtant le théâtre est resté pour lui une tentation ; à travers des expériences variées, il n'a cessé de l'intéresser. Il y avait là une facette inexplorée de cet écrivain-Protée, une facette trop méconnue - peut-être injustement -, d'une oeuvre pourtant amplement étudiée. Un bilan exhaustif de ses activités, liées de près ou de loin au théâtre, met en évidence au sein de sa carrière littéraire une véritable carrière dramatique. Ses idées sur le théâtre font apparaître une conception exigeante. S'il accorde toute son attention aux qualités du texte dramatique, il a exprimé en revanche beaucoup de réticences à l'égard des exigences de la représentation théâtrale, réticences qui expliquent ses contacts difficiles avec les metteurs en scène qu'il a côtoyés et qui illustrent les partis pris de toute une génération d'écrivains. Bien que Gide ne soit pas un théoricien de l'art dramatique, ses idées aident à comprendre ses propres oeuvres dramatiques qui, par-delà la diversité de leurs formes, se caractérisent par une formule originale. Elles représentent, comme ses récits, une expérimentation des possibles, une expérience vécue par procuration ; on y retrouve les mêmes préoccupations, qu'elles soient d'ordre moral, religieux ou politique. Mais l'objectivation propre au genre dramatique et l'incarnation de ces préoccupations dans des figures antiques ou bibliques les détachent de l'auteur qui ne peut cependant s'empêcher de manifester indirectement sa présence par le biais de l'ironie.

11/1992

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