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Cédric Demangeot

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Policiers

Cobayes - Cédric

Ils ne se connaissaient pas... Ils ont tous répondu à la même annonce... Une compagnie pharmaceutique. Des cobayes. Des effets secondaires insoupçonnés. Ce que j'aime faire de mes journées : rien. Je me définis comme un paresseux. Les DVD et les livres sont mes seuls amis, car ils n'exigent aucune concession de ma part. Même travailler ne me viendrait pas à l'esprit. Voilà pourquoi je prête mon corps à la science. Je participe à des études cliniques en tant que cobaye. Pas de responsabilités, peu d'exigences. On me paie pour tester des produits. Point. J'ai récemment trouvé une compagnie pharmaceutique qui me proposait un énorme montant d'argent pour me guérir de ma dépendance à la marijuana. J'aurais été fou de ne pas sauter sur l'occasion. Depuis quelque temps, je me sens bien. J'ai l'impression de devenir quelqu'un. Comme si je méritais enfin de prendre ma place parmi les meilleurs. Lisez mon blogue, vous allez comprendre. Moi, Cédric Labonté, j'ai maintenant le monde à mes pieds ! Découvrez l'univers de COBAYES à travers la plume de sept auteurs différents. L'horreur et le suspense vous attendent dans les sept romans de cette série, à lire dans l'ordre... ou dans le désordre !

11/2019

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Poésie

Pour personne

Stop. Assez de ce travail et de ces confitures. Assez joué à l'homme. j'ai l'impression d'être pris dans les fils visqueux, dans l'oeuvre étrangleuse de l'araignée. La langue comme glu mortelle. Dire non à l'empire de l'histoire et du style, aux domesticités. Se méfier aussi du poème. Méchant penchant. Pas là pour ça. Justement pour le contraire. Au besoin, recommencer. Partir de zéro. S'il faut un drame, jouons celui des recommencements. Ouvrage-matrice situé au seuil de l'oeuvre de Cédric Demangeot, à part dans la production de son auteur et jusqu'à présent inédit, Pour personne part d'une défiance à l'endroit du poème pour s'engager, avec une défiance non moins grande, dans la voie de la narration. Anti-poésie, anti-récit : double impasse, passe étroite, d'où doit émerger un possible recommencement. Et de fait, quelque part entre la première partie, où un narrateur refuse férocement à son récit tout personnage et finit néanmoins par introduire un certain jean personne, et la seconde, journal intime dudit jean personne, dans lequel alternent anecdote, pensée, humeur, maxime, pastiche, portrait, lettre et même poème ; quelque part dans ce coq-à-l'âne tragique et jubilatoire, dans ce ruban de Möbius, dans ce grand huit d'écriture, dans ce chemin de chaussetrappes et vertiges, entre la prose du monde et l'intériorité de la poésie, la parole se retrouve, se libère et dégage, pour elle-même comme pour son lecteur, une nouvelle perspective.

08/2019

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Poésie

Un enfer

Un Enfer prolonge et amplifie ce premier ensemble et traverse une décennie parallèle. On y retrouve cette vision noire, inquiète, qui caractérise l'écriture de Cédric Demangeot : portraits gravés au couteau, complaintes au vitriol témoignant à la fois de son jugement sans concession sur le monde mais aussi d'une faille originelle, ou d'une blessure plus secrète. S'impose, sans concession, cette poésie violente, crue parfois, mais toujours hantée dans sa quête expressionniste par l'effroi d'un monde dont le regard ne se détourne pas.

01/2017

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Théâtre - Pièces

Le dernier séjour de Pouchkine à Boldino

En 1834, Pouchkine fuit la vie mondaine de Saint-Pétersbourg et son lot de dettes, d'embarras conjugaux, de rivalités en tous genres, pour rejoindre sa "forteresse littéraire" de Boldino, hameau décrépit perdu au milieu de la steppe, où il avait déjà trouvé refuge en 1830, lors du fameux "automne de Boldino" qui marqua l'une des périodes les plus créatrices de sa vie. Mais, cette fois, rien n'y fait, le monde est morne, l'inspiration impossible à trouver, et Pouchkine passe ses journées à chasser des mouches et à réciter des vers déjà anciens à ses poules. Mais son ami Nashokine vient lui rendre visite, le temps d'une beuverie...

06/2022

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Poésie

Une inquiétude

Le vers est une maladie. Un dysfonctionnement du corps - qui ne peut pas ne pas intervenir dans la production de sens - intervenir par interruption. Le vers est ce qui se produit à chaque fois que le corps entrave le trajet de la langue - à chaque fois que la langue trébuche sur le corps - et le poème est le son de la chute ensemble de ces deux morceaux que l'Histoire a séparés.

01/2013

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Poésie

Promenade et guerre

Et ce geste en pure perte de rage et cruelle compassion dont je risque avec toi l'échec ce geste d'agiter un lambeau d'être en remuant l'argile illumine les matières impensées que la danse a déposées dans les os.

02/2021

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