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Bien parti pour mourir

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Bien parti pour mourir

Bien parti pour mourir est un roman qui met en exergue les dérives d'une société déboussolée et presque abandonnée à elle-même, société au sein de laquelle tout le monde est roi. Tant pis pour l'autre et son droit à la vie, c'est ma justice propre qui compte et qui l'emporte. D'où les exactions en série qui n'émeuvent presque plus personne. Madiba, le personnage principal de l'oeuvre en est le symbole, lui qui se retrouve dans cette société, comparable à la jungle, où la loi du plus fort a fait son lit, à cause de son refus de rentrer au village avec ses parents, son père ayant été appelé à faire valoir ses droits à la retraite. Contraint à ''se chercher'' comme on dit au Comaran, il devient la cible privilégiée de tous les dangers, risquant de passer à la trappe d'une mort barbare. La vindicte populaire est l'arme fatale de cette société sans conscience dont les manières d'agir n'ont d'explication que celle que peuvent lui donner ses justiciers qui agissent à découvert, mettent à mort comme bon leur semble. Qui peut arrêter la déferlante ? Les occurrences ''bien parti pour mourir'' qui constituent par ailleurs le titre du roman en disent long.

09/2020

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Bien parti pour mourir

"Bien parti pour mourir" est un roman qui met en exergue les dérives d'une société déboussolée et presque abandonnée à elle-même, société au sein de laquelle tout le monde est roi. Tant pis pour l'autre et son droit à la vie, c'est ma justice propre qui compte et qui l'emporte. D'où les exactions en série qui n'émeuvent presque plus personne. Madiba, le personnage principal de l'oeuvre en est le symbole, lui qui se retrouve dans cette société, comparable à la jungle, où la loi du plus fort a fait son lit, à cause de son refus de rentrer au village avec ses parents, son père ayant été appelé à faire valoir ses droits à la retraite. Contraint à "se chercher" comme on dit au Comaran, il devient la cible privilégiée de tous les dangers, risquant de passer à la trappe d'une mort barbare. La vindicte populaire est l'arme fatale de cette société sans conscience dont les manières d'agir n'ont d'explication que celle que peuvent lui donner ses justiciers qui agissent à découvert, mettent à mort comme bon leur semble. Qui peut arrêter la déferlante ? Les occurrences "bien parti pour mourir" qui constituent par ailleurs le titre du roman en disent long. Pourtant, le développement durable, auquel je suis attaché, lequel promeut la bonté, l'humanité, bref le vivre ensemble, fait mauvais ménage avec des crimes odieux que commettent des gens sans foi ni loi dans cette société. D'où ma révolte contre l'ignominie humaine.

08/2020

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Au-delà

Mourir pour s'éveiller

L'expérience de mort imminente du Dr Rajiv Parti l'a fait voyager à travers l'au-delà, le menant à un éveil spirituel qui a bouleversé sa carrière, sa vie et ses convictions les plus fondamentales. Avant cette expérience, le Dr Rajiv Parti était chef anesthésiste à l'hôpital Bakersfield Heart en Californie. Fortuné, estimé et reconnu, il était très loin des considérations spirituelles. Homme de science, il ne croyait ni à l'enfer ni au paradis, jusqu'à ce qu'il les voie de ses propres yeux. Lors d'une grave opération, il a été accueilli par des archanges et son défunt père qui l'ont guidé à travers les méandres de l'enfer et lui ont révélé le cycle toxique de violence qui affligeait sa famille depuis des générations. Il a aussi passé en revue les luttes de ses vies antérieures qui, à bien des égards, reflétaient celles auxquelles il était toujours confronté dans le présent. Enfin, il a goûté au paradis. Après son expérience de mort imminente, le Dr Parti était un nouvel homme. Il a vendu son manoir et a ouvert une clinique de mieux-être.

11/2019

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Fin de partie pour le foot ?

Après une accumulation de déboires, tant structurels que conjoncturels, après avoir frôlé la révolution de la Super League européenne, l'avenir du football paraît bien incertain. Le modèle économique totalement déstructuré, dérégulé et libéralisé de ce sport semble le conduire à sa perte et aujourd'hui les investisseurs sont dépourvus, les dirigeants démunis, les fans déprimés. En pleine crise sanitaire, en pleine crise des droits télé, il est temps d'engager le changement, de faire évoluer le football pour le rendre plus inclusif, positif et durable, sous peine de le voir mourir de ses propres tares. C'est un véritable appel à la révolution qui est ici lancé.

08/2021

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Littérature Italienne

Plutot Mourir

Plutôt mourir. Au cours d'une partie de chasse, le corps d'une enfant est retrouvé dans un bois : un doigt est enduit d'huile, l'autopsie révélera un avortement subi récemment. Ines Ledda est la quatrième fillette de Nuoro à avoir disparu en deux ans ; toutes fréquentaient la même école. Le docteur Martis, psychothérapeute, est appelé au chevet de la prisonnière dont il s'occupe, condamnée à trente ans pour avoir tué son mari à coups de marteau. Lina lui parle de sa fillette, décédée une vingtaine d'années plus tôt parce que son père la croyait envoûtée. Des pins abattus pour construire un parking à la place du jardin public ne sont que le énième signe de la corruption qui gangrène l'administration de la ville. Les enquêteurs auront bien du mal à dénouer l'étrange mystère qui plane sur ces affaires et à rompre le silence de ceux qui cachent des choses indicibles et des fautes inavouées. Après Un silence de fer, Marcello Fois reprend le récit de cette Sardaigne dure et contradictoire, terre d'histoires anciennes et de nœuds inextricables. Plutôt mourir est un roman noir captivant, mais c'est aussi une histoire qui dépasse le genre pour atteindre le cœur de la tragédie.

04/2001

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Littérature française

Mourir un peu

" Partir, dit-on, c'est mourir un peu. Mais partir d'où, pour aller où, et qu'entend-on par mourir un peu ? Comment le verbe mourir peut-il s'accommoder d'un adverbe de quantité alors qu'il désigne un événement à chaque fois unique, définitif, absolument inquantifiable ? Il en est du verbe mourir comme du verbe aimer : leur adjoindre un adverbe de quantité, d'intensité ou de manière revient à en moduler le sens de façon radicale, l'air de rien. Il m'aime / Elle m'aime / Je t'aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie... pas du tout , scandent les amoureux sur un ton enjoué en effeuillant des marguerites. Mais la désinvolture n'est qu'un masque, le jeu s'avère bien plus sérieux qu'il n'y paraît car l'enjeu est extrême en vérité - il en va présentement, ardemment de l'amour. On risque son coeur, sa joie, son plus vif espoir. L'amour, la mort : on ne badine ni avec l'un ni avec l'autre. Effeuiller le verbe mourir ainsi qu'une fleur des champs c'est mettre à nu son propre coeur, ses pensées, son espérance". Dans ce livre, Sylvie Germain traque la dynamique de la quête spirituelle à travers le thème des pas, de l'arrachement de la mort à nous-mêmes, avec l'écriture vive et inspirée qu'on lui connaît. Prix Femina en 1989, Prix des Libraires religieux 1997, Sylvie Germain est l'auteur de plus d'une trentaine d'ouvrages, parmi lesquels Le Livre des nuits, Les Echos du silence et A la table des hommes.

01/2017

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