Un marin. Enfin, la figure du marin, me précise Andrea De Fusco. Dans les faits c’est plutôt par les airs qu’Andrea navigue, comme tout un chacun. Mais peu importe, quand un Italien parcourt la route 66, quand il va en Thaïlande, à Prague, à Berlin, à New York ou bientôt aux abords de l’Himalaya, le tout dans le seul et unique but d’en obtenir des tirages sur veilles pellicules ou d’en réaliser des documentaires aussi sauvages que maîtrisés, alors cet homme là, indéniablement, est un marin.