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Bernard Stiegler

Dossiers

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Bernard Minier

Bernard Minier est un auteur de thrillers et de romans policiers français né en 1960 à Béziers (Hérault), dont les romans sont caractérisés par des intrigues sombres et complexes, une grande précision dans la description des environnements naturels et des personnages qui explorent les recoins les plus sombres de leur âme. 

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Charles Bukowski

Né en 1920 en Allemagne, à Andernach, le jeune Heinrich Karl Bukowski n’a que 3 ans lorsque ses parents décident de partir pour les États-Unis. Celui qui sera plus tard connu sous le nom de Charles Bukowski parcourt bientôt les États-Unis et s’acoquine plus spécialement avec Los Angeles, cité qui influencera toute son œuvre. Son parcours chaotique n’a d’égal que la vénération intense dont ses écrits font l’objet...

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Dossier

Audiolivre : une sélection d'ouvrages pour les enfants

Petit Ours Brun, Vampirette, mais également Mortelle Adèle, Mes p’tits docs et bien d’autres : les personnages et collections phares des éditions Bayard et Milan existent désormais en audio. Avec la création du label À écouter, les maisons proposent désormais de faire redécouvrir aux enfants leurs livres et héros préférés en fermant les yeux et se laissant bercer… 

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Dossier

Dix textes, pour voyager, avec soi, vers les autres

Le poète Horace nous l’a dit voilà bien longtemps : « Nul ne peut se fuir soi, en quittant sa patrie. » On lui opposerait tout de même que les voyages forment la jeunesse et qu’il ne cause aucun tort de partir à la découverte du vaste monde. Quitte à n’y trouver que soi. Alors, justement, voici quelques titres sélectionnés pour les périples qu’ils proposent.

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Dossier

Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marie-Hélène Lafon

Marie-Hélène Lafon est née en 1962 à Aurillac. Professeure de lettres classiques à Paris. Tous ses romans sont publiés chez Buchet/Chastel. Elle a choisi d’enseigner dans un collège situé en Zone d’Education Prioritaire. Elle rédige son premier texte, une nouvelle, à l’âge de 34 ans. Elle est un écrivain en quête d’une écriture absolue, animée par une irrépressible envie d’écrire et libérée des contraintes inhérentes à sa condition sociale originelle.

Extraits

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Ouvrages généraux

Amitiés de Bernard Stiegler

Bernard Stiegler écrit : "Ce que j'aime, je l'aime sans limites, sans condition : je ne peux l'aimer que de manière (fantasmatiquement) illimitée. Ce que j'aime et ceux que j'aime, vous, c'est-à-dire nous en tant que nous sommes susceptibles de former un nous, tout cela je l'aime et je les aime et je vous aime infiniment [...] faute de quoi il n'y a pas de nous possible." Ici sont rassemblés douze témoignages d'amitié, sans aucune exhaustivité ni exclusivité, sans brevets de compétence ni d'expertise. Non pas des travaux sur l'oeuvre mais des réponses à celui qui intitulait une conférence : Veux-tu être mon ami ? parce que cette question signifiait pour lui le début de ce qu'il nommait "l'avenir du nous."

04/2021

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Revues

Etudes digitales N° 9, 2020-1 : Capitalocène et plateformes. Hommage à Bernard Stiegler

Contributeurs : Julien Bellanger, Philippe Béraud, Annie Blandin, Armel Campagne, Fabien Colombo, Franck Cormerais, Gérard Dubey, Fabrice Flipo, Jean-Paul Fourmentraux, Michal Krzykawski, Gerald Moore, Jason W. Moore, Jean-Max Noyer, Maxime Ouellet, Marc-Antoine Pencolé, Vincent Puig et Paolo Vignola.

05/2021

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Philosophie

La technique et le temps. La faute d'Epiméthée ; La désorientation ; Le temps du cinéma et la question du mal-être suivi de Le nouveau conflit des facultés et des fonctions dans l'Anthropocène

L'objet de cet ouvrage est la technique appréhendée comme horizon de toute possibilité à venir et de toute possibilité d'avenir. La technique constitue ce que l'on a pris l'habitude d'appeler l'humanité — et cependant, tout aussi bien et tout aussi constamment, la technique destitue cette humanité "trop humaine", ne lui donnant son temps qu'en le lui retirant. Cette question paraissait encore seconde lorsque Bernard Stiegler en esquissa les premières formulations à l'aube des années 1980. Aujourd'hui, elle traverse tous les débats qui se tiennent anxieusement dans l'Anthropocène, quant au changement climatique, quant au transhumanisme, etc. Son énormité s'impose à tous. Le temps présent est emporté dans les tourbillons de processus dont les principes dynamiques et les tendances demeurent obscurs, et qu'il faut s'efforcer de rendre intelligibles — en vue aussi d'une "nouvelle sensibilité". L'emportement du temps est d'autant plus paradoxal que, tandis qu'il devrait ouvrir à l'évidence d'un avenir, jamais l'imminence d'une impossibilité à venir n'a semblé si grande. Le système technique mondial repose désormais intégralement sur les technologies numériques, qui marquent une immense rupture — et rouvrent la question de l'ubris : celle de la démesure — en ce que ces technologies permettent une exploitation systématique de la mémoire, des comportements, des processus de décision, bref de la conscience individuelle et collective. Le fait historique qu'il s'agit de penser est celui de l'industrialisation de l'esprit. C'est à introduire une pensée nouvelle de ces transformations — inspirée autant par l'archéologie et l'histoire des techniques que par la phénoménologie et sa dé-construction — qu'auront été consacrés les trois premiers tomes de La technique et le temps. Penser la technique est une tâche de longue haleine, dont il faut avertir de la difficulté et de la nécessité : à son origine même et jusqu'à maintenant, la philosophie a refoulé la technique comme objet de pensée. La technique est l'impensé. Penser la technique, c'est requalifier le projet philosophique en son entier, et par voie de conséquence, les rapports à la technique de toutes les formes de savoirs. De La technique et le temps, Jacques Derrida avait annoncé : "Voici une thèse qui fera date."

10/2018

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Philosophie

La télécratie contre la démocratie. Lettre ouverte aux représentants politiques

La télécratie qui règne désormais en France comme dans la plupart des pays industriels ruine la démocratie: elle remplace l'opinion publique par les audiences, court-circuite les appareils politiques et détruit la citoyenneté. La télévision et l'appareil technologique qui la prolonge à travers les réseaux numériques de télécommunication sont en cela devenus le premier enjeu politique. A travers ce que l'on appelle les industries de programmes, c'est la relation politique elle-même qui est devenue un nouveau marché, et ce marketing confine aujourd'hui à la misère politique: au cours de la dernière décennie, l'appareil télécratique a développé un populisme industriel qui engendre à droite comme à gauche une politique pulsionnelle, et qui semble conduire inéluctablement au pire. Ce devenir infernal n'est pourtant pas une fatalité. La philosophie se constitua à son origine même contre la sophistique: celle-ci, par une appropriation abusive de l'écriture, développait une gangrène qui menaçait de guerre civile la cité athénienne. De cette lutte contre les tendances démagogiques de la démocratie grecque résultèrent les formes de savoirs qui caractérisent l'Occident. Prônant un nouveau modèle de civilisation industrielle, cet ouvrage affirme qu'un sursaut démocratique contre les abus de la télécratie est possible, et appelle l'opinion publique française et européenne à se mobiliser contre la dictature des audiences.

10/2008

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Sociologie

La vérité du numérique. Recherche et enseignement supérieur à l'ère des technologies numériques

La métamorphose numérique des savoirs et de l'enseignement constitue un enjeu majeur du 21e siècle et se place au premier rang des priorités des universités et des organismes de recherche. De nouvelles conditions de publication, de certification et d'éditorialisation se mettent en place. Des règles et des méthodes pédagogiques inédites forment un processus dynamique qui doit pousser les institutions académiques, l'industrie et le monde économique à coopérer au-delà de la modernisation de la pédagogie ou du développement de compétences nouvelles. Mais beaucoup d'initiatives apparaissent comme des tendances en vogue sujettes à tous les vents et contrevents médiatiques, et vite dépassées par la dernière nouveauté, à l'exemple des MOOC déjà remplacés par les SPOC. Bernard Steigler a fait appel aux meilleurs spécialistes mondiaux pour démontrer que ce n'est pas seulement la pédagogie qui est bouleversée mais ce sont les savoirs eux-mêmes, depuis la recherche de pointe jusqu'aux formes les plus élémentaires de l'enseignement. L'ouvrage dresse un panorama complet des technologies réflexives et contributives, analyse en profondeur le principe de gouvernementalité algorithmique considéré désormais comme "régime de vérité" et "tournant computationnel" de la société hyperindustrielle. Il propose une méthodologie novatrice de gestion de débats et de communautés, construite sur un autre modèle que celui des réseaux sociaux actuels. Cet ouvrage de référence pose les bases d'une nouvelle industrie éditoriale numérique et audiovisuelle.

07/2018

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Sociologie

Le nouveau génie urbain

Reconfigurés par le processus d'hyper industrialisation, les villes et les territoires tentent de répondre aux défis presque inconcevables que constitue l'Anthropocène en se mettant en réseau à l'image des open cities ou des "territoires et villes en transitions". Mais dans le même temps, les smart cities, généralement présentées comme solution à tous les problèmes urbains, s'imposent sans concertation citoyenne, et leurs promoteurs font de l'espace public un marché privé au détriment de l'intérêt collectif des localités qu'ils disruptent. Cela affecte les conditions de l'aménagement du territoire, de la gestion et des services, tout autant que l'économie urbaine et les politiques locales. Cet ouvrage, dirigé par Bernard Stiegler, apporte une double contribution essentielle : la première est l'analyse du problème crucial de la restitution de la souveraineté numérique aux individus et aux puissances publiques face à la montée en puissance des plateformes digitales (GAFAM) ; la deuxième propose une description des profonds changements causés par un déploiement immature des nouvelles technologies digitales. Sur ces bases, il est impératif de développer des savoirs (savoir-faire, savoir-vivre et savoir-théoriser) prescripteurs de pratiques et usages nouveaux que ces technologies ouvrent, afin de reconstruire par la contribution des singularités territoriales. Une énorme transformation est en cours dans le domaine des technologies urbaines qui pourrait conduire à une véritable refondation du développement urbain, et avec lui, à une refondation de la démocratie en général, en particulier en milieu citadin. Faute de politiques appropriées réaffirmant la puissance publique, cette nouvelle "révolution urbaine" et territoriale promet au contraire d'être profondément inurbaine - c'est-à-dire dénuée d'urbanité, et donc inhumaine, la ville devenant une jungle technologique.

06/2020

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