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Beat Generation

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Divers

Au crépuscule de la Beat Generation

Au cours des années 1950, une nouvelle génération d´auteurs et d'artistes ébranle l´Amérique avec son style percutant et contestataire. Ils prennent le nom de Beat Generation, nom signifiant à la fois "génération battue" , "génération de la pulsation" et "génération en quête de béatitude" . Parmi eux Jack Kerouac, William S. Burroughs, Neal Cassady... En 1988, le journaliste français Gilles Farcet se rend à New York auprès d´Allen Ginsberg - l'un des plus célèbres poètes américains du 20e siècle, conscience morale de l'Amérique et pilier central du mouvement - pour observer, après trois décennies de culture Beat, vers quelle maturité " la route " chère à Kerouac a conduit ses auteurs. Ce qui n'était pas prévu, c'est qu'un véritable "clochard céleste" déboule au cours de ses entretiens : poète sauvage, incarnation pure de l'esprit Beat, génie marginal dont les paroles, fusant par giclées épaisses, expriment sans filtre le souffle de la grande pulsation, et entraînent Gilles dans un voyage intérieur "sur la route" de l'initiation psychédélique. Sur la base des témoignages de Gilles Farcet, Etienne Appert nous (re)plonge dans l´histoire et l'héritage de ce mouvement qui a nourri la plupart des contre-cultures du XXe siècle (beatniks, hippies, punk, écologistes...) et changé la face de l´Amérique.

04/2023

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Que-sais-je ?

Les 100 mots de la Beat Generation

En 1948, Jack Kerouac emploie pour la première fois l'expression "? Beat Generation ? " . Quelques années plus tard paraît Sur la route, roman-manifeste de ce nouveau mouvement littéraire et artistique qui va marquer les Etats-Unis des années 1950. Adolescence, haïku, autostop, Allen Ginsberg, William Burroughs, beatniks... Ces 100 mots explorent ce qui a fait la Beat Generation : ses auteurs sulfureux, bien sûr, mais aussi ses lieux et ses tendances. Que serait l'esprit beat sans la terre d'Amérique, à la fois page vierge et immense poème ? Quel visage la liberté prend-elle pour cette génération et les suivantes ? Avec une plume alerte - celle du romancier -, Jean-François Duval donne à voir une époque qui a marqué la littérature américaine par son audace et qui a irrigué l'ensemble de la contre-culture, de la musique au cinéma en passant par la photographie et la peinture.

06/2024

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Non classé

Sur les origines d'une génération

" Voilà le Beat. Vivez vos vies à fond ? Non, aimez vos vies à fond. " Qu'est-ce qu'être " Beat " ? Sur un rythme hypnotique, l'auteur de Sur la route nous entraîne aux origines de la Beat Generation ; l'occasion pour lui d'évoquer avec justesse ses thèmes de prédilection : la littérature, le jazz, le voyage, la route, le bouddhisme, le zen...

03/2022

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Littérature anglo-saxonne

Sur les origines d'une génération

"Voilà le Beat. Vivez vos vies à fond. Non, aimez vos vies à fond. Quand ils viendront vous lapider, au moins vous ne serez pas dans une serre, vous n'aurez que votre peau transparente". Qu'est-ce qu'être "Beat" ? A travers ses thèmes de prédilection - la littérature, le jazz, le voyage, la route, le bouddhisme, le zen... - l'auteur de Sur la route nous entraîne vers la réponse à un rythme hypnotique.

04/2025

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Littérature anglo-saxonne

Sur les origines d'une génération suivi de Le dernier mot

Qu'est-ce qu'être « Beat »? « Sur les origines d'une génération » raconte la naissance de la « Beat Generation », – dont Kerouac est un porte-parole majeur –, depuis la fin des années 50, où beat signifiait « pauvre, fauché, à la dérive, dans la dèche » jusqu'à « sa reconnaissance officielle » à l'époque où il écrit ce texte (1959) : « Beat Generation est devenu le slogan d'une révolution de moeurs en Amérique ». Dans ses chroniques pour la revue Escapade entre avril 1959 et juin 1960, recueillies sous le titre Le dernier mot , il aborde ses sujets de prédilection – la littérature, le jazz, le voyage, la route, le bouddhisme, le zen… Une écriture au rythme échevelé, syncopé, hypnotique; une lecture souvent drôle : « De là je suis allé à Paris, où il ne se passait rien si ce n’est que la plus belle fille du monde n’aimait pas mon sac à dos et avait rendez-vous avec un type à petite moustache debout une main dans la poche et un sourire méprisant aux lèvres devant les cinémas de nuit de Paris. » (Le dernier mot, août 1960) Ces textes sont extraits du recueil Vraie blonde, et autres (Folio n°3904).

09/2012

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Romans noirs

Ces femmes couleur sang

Bruno Baudart vous présente son "anthologie polar noir" de 14 nouvelles et un bonus. Son travail sur l'écriture, essentiellement noire est très inspiré par les auteurs de la Beat Génération.

10/2020

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