Au mois de mai, un sondage avait été lancé à travers l’ensemble du Royaume-Uni par le Women’s Prize for Fiction. Il visait à encourager davantage d’hommes à lire des romans d’autrices. Et si l'on ne présente plus la dystopie de Margaret Atwood, La servante écarlate (traduction de Michèle Albaret-Maatsch, Robert Laffont), cette dernière se hisse à la première place du classement des 10 lectures indispensables pour les hommes, écrites par des femmes.