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Babacar Ndaw

Extraits

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Sociologie

Génération étudiante des années 80 : le refus des diktats, du FMI et de la banque mondiale

"Cet essai est une contribution appréciable pour la compréhension du mouvement étudiant africain particulièrement de l'Afrique occidentale, de l'Institut des hautes études jusqu'à la transformation de celui-ci en université à la fin des années cinquante. Des informations historiques accompagnées d'une analyse approfondie y sont données sur le mouvement étudiant des années 60 mais particulièrement des années 70 et 80, lesquelles années ont été vécues par l'auteur. L'auteur, à la fin des années 70 et au début des années 80, a été formé dans la prise en charge des idées progressistes, voire marxistes. Ce qui le met à l'aise dans ses analyses sur la question des indépendances des anciennes colonies, particulièrement françaises et portugaises, lesquelles colonies, surtout portugaises, ont connu d'âpres luttes souvent armées pour recouvrer leur souveraineté." Extrait de la préface de Mbaye Diack

09/2016

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Littérature française

Babacar a disparu

«Les hommes du village étaient assis en cercle. Ils frappaient frénétiquement sur leur tamtam en secouant la tête en tous sens. Au milieu du cercle un corps recouvert de draps était allongé inerte. Les femmes dansaient au rythme des tamtams en lançant leurs bras de libellules frénétiques vers le ciel. Leurs fesses tournaient en cercles concentriques comme un ventilateur emballé. Les hommes buvaient constamment dans des calebasses un liquide blanchâtre épais. Plus la nuit m’entourait, plus les danses et les cris des femmes redoublaient de fureur. Soudain, sortant d'une case comme un diable d’ébène il est apparu.» Au gré de son voyage initiatique en Afrique, Pierre Limbert découvre un monde de bruit et de fureur qu’il ignorait. Il fait la connaissance du jeune Babacar et noue avec lui une belle relation d’amitié et de confiance, mais soudain Babacar disparaît...

09/2020

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Photographie

Ndar

José Ramón Bas s'initie à la photographie en autodidacte à l'âge de quinze ans, puis à vingt ans prend des cours de photo et de vidéo à l'Ecole de l'image et du Design de Barcelone, avant de très vite orienter son travail sur les nouvelles formes d'expression et sur la mémoire du voyage. "José Ramón Bas est inclassable, poète et voyageur, attentif aux gens qu'il rencontre, aux espaces qu'il traverse ; il ne se soucie pas de constituer une oeuvre mais s'attache à chaque projet à restituer les temps du voyage, en Afrique, à Cuba, au Brésil. Pendant ses parcours, il photographie de façon ludique, compulsive, puis de retour en Espagne, il transforme les images en objets. C'est à ce moment que commence le travail, il fait faire des tirages sur lesquels en fonction de l'humeur, de l'inspiration du moment, du souvenir qu'il garde du moment de la photo, il va écrire dessus, la griffer, la peindre ou simplement dessiner, avant de la figer dans une inclusion de résine. Chaque image choisie, s'ouvrira à une infinité de possible qu'il réalisera dans des formats divers avec comme propre exigence de relater son souvenir de l'expérience du voyage".

09/2017

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Critique

Hommages posthumes

Dans cet ouvrage, Alpha Amadou Sy rend un vibrant hommage à des figures emblématiques qui ont particulièrement contribué au rayonnement culturel et intellectuel du Sénégal. Il s'agit, notamment de Charles Camara, Alassane Ndaw, Abdoulaye Bara Diop, Assane Seck, Amady Aly Dieng, Alioune Diop, Mamadou Ablaye Ndiaye, Père Dominique Cata, Ousmane Sow Huchard, Doudou Diène, Babacar Touré, Laurent Gomis et Fatou Niang Siga. Pour l'auteur, une République, aux assises encore incertaines, a besoin d'un vigoureux imaginaire pour la constitution d'une solide mémoire nationale. Partant, il questionne la toponymie, telle qu'elle est conçue au Sénégal, invitant, du coup, à une réflexion plus systématique sur la judicieuse articulation entre devoir de reconnaissance et exigence de transmission.

10/2022

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Ecole des loisirs

Famille Quichon : Dans les basquettes de Babakar Quichon

Elles sont rouges. Quand il les chausse, Babakar Quichon bat tout le monde à la course, ses frères, ses soeurs, son papa, sa maman, et même le lion de Stéphanie. Et ce n'est pas tout ! Quand il porte ses basquettes fantastiques et mirifiques, Babakar Quichon passe le mur du son, va plus vite que la lumière, plus vite que la musique, il sort de l'espace-temps ! Et puis, une fois qu'il a gagné, il les ôte, et, tranquillement, il attend les autres.

05/2021

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Philosophie

Penser l'Afrique noire

"C'est en 2010 que le doyen Alassane Ndaw me confia l'édition d'un recueil de ses textes incluant des articles déjà publiés ainsi que des inédits. Il me demanda expressément de rédiger, à cet effet, outre une introduction, une préface, et m'assura que j'avais toute liberté de conduire le travail éditorial. L'ouvrage, Penser l'Afrique noire, se présente donc comme un ensemble de quatorze textes déjà publiés ou inédits, auxquels s'ajoute un quinzième constituant l'épilogue qui fut à l'origine une magistrale préface de Ndaw au beau livre d'art d'Olivier Föllimi, Hommage l'Afrique (Paris, Editions de la Martinière, 2010, 336 p.). Toute sa vie, Alassane Ndaw a poursuivi une seule idée, un seul objectif : établir une puissante synthèse entre tradition et modernité, entre pensée africaine et philosophie occidentale, en vue d'aboutir à la définition d'une personnalité culturelle capable, en surmontant tout déchirement, de se remembrer. Il cherchait moins une philosophie africaine qu'une forme africaine de la philosophie. L'élaboration de cette forme africaine de la philosophie lui apparaissait comme la tâche par excellence de l'herméneutique, qu'il fallait d'abord créer. Aussi bien s'était-il constamment attelé à deux activités majeures : expliciter et interpréter les traditions culturelles africaines, c'est-à-dire créer l'herméneutique africaine en la faisant. De la permanence de cette tâche, en même temps que de son actualité, témoigne cet ouvrage posthume de ce grand maître de la pensée africaine. " Djibril Samb.

07/2019

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