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Azouz Begag, Rachid Arhab

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Histoire internationale

One, two, free : viva l'Algérie ! Les Algériens de la diaspora au service du Hirak dans leur pays d'origine

Cinquante-sept ans après l'Indépendance, le peuple algérien manifeste dans les villes pour exiger la fin du "système" et le départ de tous les dirigeants qui ont ruiné le pays et désespéré ses enfants. Gloire à ces "Manifestants du Vendredi" et à leur Hirak ! Cette révolution inédite par son civisme, son pacifisme et sa détermination, fait l'admiration du monde entier, et surtout celle de la diaspora algérienne qui rêve d'un retour au pays. Or, le pouvoir algérien, désormais déshonoré, a introduit en 2016 deux articles dans la Constitution afin de restreindre les droits des binationaux à intégrer la Haute Fonction publique. Discrimination insupportable, injuste et déraisonnable, dont cet essai se fait l'écho. Car enfin, bien informés, attachés à leurs origines, les binationaux aspirent à contribuer avec leurs frères à la renaissance de l'Algérie. Sur le cri de triomphe : "one, two, three, viva l'Algérie ! ", poussé quand l'équipe des Fennecs remporte la Coupe d'Afrique des Nations, résonne le slogan de la liberté "ONE, TWO, FREE, VIVA L'ALGERIE ! "

11/2019

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Littérature française

Mémoires au soleil

Le vieux s'est échappé, une fois de plus. Il marche au bord de l'autoroute, hagard et obstiné, prétendant arriver à Marseille et de là prendre le bateau pour rentrer dans son pays. Mais si ses fugues à répétition mettent la famille en émoi - son fils surtout, Azouz, qui se sent vaguement coupable de les avoir provoquées -, elles se terminent en général dans un café miteux de Lyon, entre les parties de dominos, le thé à la menthe et les disputes qui entretiennent l'amitié. Bouzid Begag, ancien travailleur du bâtiment, n'a plus toute sa tête. Il a contracté la maladie d'Ali Zaimeur, disent ses copains du Café du Soleil. Une maladie qui mange les souvenirs des gens - "déjà qu'on n'en avait pas beaucoup". En hommage à un père déclinant, Azouz Begag a composé le plus vibrant et le plus mélancolique des chants d'amour, dévoilant avec émotion un nouveau pan de cette vérité intime qu'il avait commencé à nous révéler dans Le Gone du Chaâba.

03/2018

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12 ans et +

Quand on est mort, c'est pour toute la vie

Mourad est mort, abattu par un chauffeur de taxi. Pourquoi ? Parce qu'il n'avait pas réglé le prix de la course... Pour Amar, son frère, au-delà de la douleur et de l'incompréhension, il y a la colère, immense. Et les questions sans réponse. A cause de tout cela, il lui faut partir. Retourner là où dort son frère, là où vit peut-être sa mémoire, son histoire, son " arabe généalogique ". Mais Amar n'est pas rentré au pays depuis treize ans et tout un monde le sépare de ce qu'il retrouve...

11/2002

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Sociologie

L'intégration

"S'intégrer, c'est pourtant simple" , "Etre intégré, c'est se faire discret" , "Certaines cultures s'intègrent mieux que d'autres" , "L'immigration menace l'identité française" , "La langue est un puissant facteur d'intégration" , "L'intégration passe par le mariage mixte" , "L'intégration, c'est la reconnaissance sociale". Autant d'idées reçues que nous entendons fréquemment et qui son ici analysés par Azouz Begag.

03/2003

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Littérature française

L'arbre ou la maison

De retour en Algérie, deux frères redécouvrent la maison de leur enfance, en même temps qu'un pays en pleine révolution démocratique. Un voyage initiatique fait de chair, de larmes et de rires. Après des années d'absence et la mort de leur mère, deux frères lyonnais, Azouz l'écrivain et Samy l'arboriculteur, binationaux franco-algériens, décident de rentrer quelques jours à Sétif, le temps de nettoyer les tombes de leurs parents et de vérifier l'état de la maison familiale. Tandis que Samy bougonne à l'idée de remettre les pieds dans cette ville où il n'a plus de repères, Azouz est impatient d'assister à la révolution démocratique qui secoue le pays. Par-dessus tout, il espère retrouver Ryme, la femme qu'il aime depuis toujours, son cordon ombilical avec la terre de ses ancêtres. Mais à Sétif, Samy et Azouz ne reconnaissent plus rien, et aux yeux des locaux, ils sont devenus des étrangers, des bi. Quant à Ryme, l'amour de la liberté lui a donné des ailes, comme à son peuple. L'aura-t-elle attendu ? Il n'y a que le bel arbre planté par leur père devant la maison, un demi-siècle plus tôt, qui n'a pas changé de place. Mais il a tellement grandi que ses racines en menacent les fondations. Les deux frères se retrouvent ainsi face à un dilemme : garder l'arbre ou la maison.

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Autres collections (6 à 9 ans)

Un train pour chez nous

L'auteur se souvient du voyage familial, effectué chaque été dans son enfance : les bagages entassés à Marseille, la nuit sur le pont du bateau, l'arrivée à Alger et le voyage jusqu'à Sétif...

02/2023

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