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Autour d'un feu de cheminée...

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Autour d'un feu de cheminée...

Quand on vit seule, quel plaisir de partir à la neige avec ses deux meilleures amies ! Prendre un bon bol d'air, se changer les idées... Mais on ne sait jamais ce qui nous attend... La suite à l'intérieur ! L'émotion et le suspense sont au rendez-vous, comme d'habitude avec l'autrice Isabelle Desbenoit.

05/2022

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Littérature anglo-saxonne

Toute passion abolie

Lorsque meurt son époux, ancien vice-roi des Indes, Lady Slane, quatre-vingt-huit ans, décide de quitter la demeure familiale pour s'installer dans un quartier excentré de Londres. Là, dans le calme de son nouveau logis, elle regarde son passé, sans fard ni amertume et entame une vie nouvelle autour d'amitiés légèrement excentriques. Si toute passion est abolie, le feu n'est pas mort, il est contenu par l'âge comme dans l'âtre d'une cheminée. Vita Sackville-West nous livre ici un roman délicatement féministe, au charme fou.

04/2021

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J'ai gravi la montagne et touché le ciel

Tout chez Bérénice Flocon n'était que désert et montagne. Sa vie, elle l'avait passée seule, entourée de sa montagne d'ouvrages dans la bibliothèque où elle travaillait : La Cabane aux livres. Elle avait pour seuls compagnons, ses romans. L'amour, elle en rêvait à travers les mots. Un matin de novembre, alors que Bérénice se trouvait dans son grenier, elle tomba sur un carnet vert sapin. Un carnet qui bousculera le cours de son existence. Mais qui se dissimule derrière le mystérieux, amoureux, L. C, auteur du carnet ? "J'ai gravi la montagne et touché le ciel" est une comédie romantique dans laquelle on retrouve les saveurs de l'hiver : chocolat chaud, feu de cheminée, plaid duveteux. Mais surtout un roman qui amène le lecteur à se libérer des préjugés et à toucher le ciel.

04/2021

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Littérature française

LE CRIME DE L'OPÉRA

Le boudoir était tendu de soie bouton d'or, parce qu'elle était brune, cette merveilleuse Julia d'Orcival qui tenait si bien son rang à la tête du grand état-major de la galanterie parisienne. Un feu clair brûlait dans la cheminée, garnie de chenets Louis XVI, des chenets authentiques où s'étaient posés les petits pieds des belles du Versailles d'autrefois. La lueur adoucie d'une lampe en porcelaine du Japon éclairait le réduit capitonné où n'étaient admis que les intimes. On n'entendait pas d'autre bruit que le roulement lointain des voitures qui descendaient le boulevard Malesherbes, et le murmure de l'eau bouillante qui chantait sa chanson dans le samovar de cuivre rouge. Pourtant, Julia n'était pas seule. Près d'elle, à demi couchée sur une chaise longue, un jeune homme, plongé dans un vaste fauteuil, tortillait sa moustache blonde, et regardait d'un oeil distrait une terre cuite de Clodion, représentant des Bacchantes lutinées par des Faunes. L'élégant cavalier ne songeait guère à cette oeuvre d'art, pas plus que la dame ne songeait au splendide tableau de Fortuny qui rayonnait en face d'elle, et qu'elle avait payé une somme folle. Et s'ils se taisaient, ce n'était pas qu'ils n'eussent rien à se dire, car ils s'observaient à la dérobée, comme deux adversaires d'égale force s'observent avant d'engager les épées. Un viveur expérimenté aurait jugé à première vue qu'entre ces amoureux il allait être question de choses sérieuses. Un auteur dramatique aurait flairé une situation.

02/2023

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Littérature française

LE CRIME DE L'OPÉRA

Le boudoir était tendu de soie bouton d'or, parce qu'elle était brune, cette merveilleuse Julia d'Orcival qui tenait si bien son rang à la tête du grand état-major de la galanterie parisienne. Un feu clair brûlait dans la cheminée, garnie de chenets Louis XVI, des chenets authentiques où s'étaient posés les petits pieds des belles du Versailles d'autrefois. La lueur adoucie d'une lampe en porcelaine du Japon éclairait le réduit capitonné où n'étaient admis que les intimes. On n'entendait pas d'autre bruit que le roulement lointain des voitures qui descendaient le boulevard Malesherbes, et le murmure de l'eau bouillante qui chantait sa chanson dans le samovar de cuivre rouge. Pourtant, Julia n'était pas seule. Près d'elle, à demi couchée sur une chaise longue, un jeune homme, plongé dans un vaste fauteuil, tortillait sa moustache blonde, et regardait d'un oeil distrait une terre cuite de Clodion, représentant des Bacchantes lutinées par des Faunes. L'élégant cavalier ne songeait guère à cette oeuvre d'art, pas plus que la dame ne songeait au splendide tableau de Fortuny qui rayonnait en face d'elle, et qu'elle avait payé une somme folle. Et s'ils se taisaient, ce n'était pas qu'ils n'eussent rien à se dire, car ils s'observaient à la dérobée, comme deux adversaires d'égale force s'observent avant d'engager les épées. Un viveur expérimenté aurait jugé à première vue qu'entre ces amoureux il allait être question de choses sérieuses. Un auteur dramatique aurait flairé une situation.

02/2023

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Littérature française

La délégation norvégienne

" Est-ce l'alcool en carafon, le cuir brun, le mobilier vieux chêne, le feu qui crépite dans la cheminée ? Ce climat anglais où l'on s'assassine en grignotant des scones et en buvant du thé ? Il lui semble que chaque chose est bien à sa place, que chaque personne autour de cette table est un peu trop racée pour être honnête. S'appelle-t-on Ethel Brakefield dans la vie ? Ou Ernst von Sydow ? Ou même Lucas Cranach ? " Un relais de chasse absent de tous les guides spécialisés. Cinq hommes, deux femmes, qui viennent des quatre coins de l'Europe et ne se connaissent pas. Sept chasseurs pris par la neige, qui doivent se défendre du froid, de la faim, de la paranoïa qui les guette. Prisonniers ? D'une île à la rigueur, mais d'une forêt ? Ils le sont pourtant, serrés par les arbres, piégés par la neige. L'un d'eux commence à douter : et s'ils n'étaient pas victimes du hasard, de la malchance ? Au fil des pages, René Derain acquiert la conviction qu'il est condamné, qu'il va mourir. Non pas de froid, de fatigue, de gangrène ; il sera assassiné. Il sent, dans son dos, le souffle d'une intelligence. Il sait qu'ils sont devenus de vulgaires pantins. Et que le piège ne demande qu'à se refermer. Un style vif et moderne, des personnages énigmatiques et ambivalents, La Délégation norvégienne est un roman fantastique au climat lourd et oppressant. Une mise en abyme vertigineuse !

09/2007

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