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Au bonheur des bêtes. Le combat antispéciste

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Dossier

Nos amies les bêtes : les animaux dans la littérature

Depuis l’intérêt des Mésopotamiens dans des récits mythologiques aux premières fables d’Ésope, nos amies les bêtes occupent une place particulière. Tout à la fois créatures choyées et craintes, compagnons ou ennemis, elles bénéficient d’une affection particulière chez les écrivains. Et loin de ce que l'on imaginerait, pas uniquement en littérature jeunesse.

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Dossier

Editions Milan : 10 ouvrages jeunesse pour des fêtes pleines de lecture

À l'approche des fêtes de fin d'année, rien n'évoque mieux la magie de cette période que le partage d'histoires captivantes avec nos enfants. Le site ActuaLitté nous présente une sélection d'ouvrages de l'éditeur Milan, qui promettent de transporter les jeunes lecteurs dans des mondes de rêves et d'aventures. 

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Nouvelles têtes : les éditeurs suisses jeunesse et BD la jouent collectif

Nouvelles têtes est un projet porté par trois maisons d’édition suisse, axé sur la bande dessinée et la jeunesse. Considérant que l’union fait la force, Antipodes, Helvetiq et La Salamandre ont sorti de leur catalogue le meilleur de leurs ouvrages. Une mise en lumière inédite, où les textes se répondent, exposant des lignes éditoriales variées où se retrouvent les problématiques contemporaines.

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Dossier

Les éditions J'ai lu inaugurent le Prix Club des lecteurs 2023

Les éditions J’ai Lu ont souhaité se doter d’un prix véritablement incarné par ses votants, c’est-à-dire prix avec des vrais lecteurs dedans. Cette année, la maison lance donc son Prix Club des Lecteurs, une opération au long cours qui prolonge un dispositif d’animations pensé pour tous.

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

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Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

Extraits

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Faits de société

Au bonheur des bêtes. Le combat antispéciste

Il est minuit, une nuit de juillet, quelque part dans les Pays de la Loire. Devant nous, quatre militants encagoulés, cage en main, tout de noir vêtus, se dirigent vers un élevage. Ce soir, ils vont libérer de leur clapier des lapins, destinés à la consommation. Les animaux rejoindront une famille qui les accueillera pour la fin de leurs jours. Mieux que l'abattoir qui les attendait. Qu'est-ce qui pousse des personnes à transgresser la loi pour sauver quelques animaux ? Leur idéal antispéciste. Pendant plus d'un an, nous avons rencontré des militants, suivi leurs actions, discuté avec des philosophes, sociologues et historiens pour cerner ce qu'est aujourd'hui la lutte antispéciste en France. C'est aux activistes, des plus modérés aux plus radicaux, que nous avons décidé de donner la parole. A travers eux, nous racontons un militantisme multiple, aux stratégies diverses et qui parvient à faire bouger les lignes.

11/2020

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Beaux arts

Au Bonheur des Bêtes. Un voyage dans les oeuvres de Rosa Bonheur

A¢âLes jumeaux Anna et Willy vont au cirque pour la premieÌre fois avec leurs camarades de classe. Willy est ravi du spectacle. Mais Anna se pose beaucoup de questions : les animaux ne souffrent-ils pas d'eÌtre enfermeÌs et dresseÌs ? Toute la classe deÌcide qu'il faut faire quelque chose ! Mais quoi ? â¢âDésormais, la loi reconnaît aux animaux le statut d'être sensible. â¢âL'ouvrage est publié à l'occasion du bi-centenaire de la naissance de Rosa Bonheur, née en mars 1822.

03/2022

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Actualité médiatique France

Ces animaux qui nous rendent bêtes. Contre l'idéologie antispéciste

L'animal serait-il devenu notre alter-ego ? Pour les antispécistes, il faudrait ouvrir en grand les portes les zoos, attribuer aux animaux des droits subjectifs et, bien entendu, s'abstenir de les consommer jusque dans leurs productions naturelles : les fourrures, bien sûr, mais aussi la laine et le cuir, sans oublier les aeufs, le miel et la soie, tous produits issus de la domestication. Ainsi pourquoi ne pas envisager d'expérimenter de nouveaux médicaments sur des handicapés et des comateux plutôt que sur des rats, des chiens et des singes en parfaite santé comme le préconisent certains ? Ou, selon d'autres, déculpabiliser la zoophilie lorsqu'elle est librement consentie ! Pour ces gens-là, l'animal serait un homme comme les autres et sa libération s'inscrirait dans un processus politico-social, tout comme l'antiracisme et le féminisme. Un projet qui n'est pas seulement chimérique, mais aussi pernicieux et dangereux pour notre société. Il avalise l'idée qu'il n'y a qu'une différence de degré entre l'homme et l'animal, lequel mériterait de jouir des mêmes droits que l'être humain. En jouant sur la corde sensible et en instrumentalisant les émotions liées à la condition animale, ce discours attaque la civilisation occidentale qu'il charge de tous les maux. En oubliant qu'il en est le pur produit. Cet ouvrage, entre l'essai et le pamphlet, veut démonter les arguments de l'idéologie antispéciste, mais aussi ceux du véganisme, de la collapsologie et de l'écologie radicale. Sans nier la nécessité d'améliorer le sort des animaux dans notre société, l'auteur rappelle que le monde humain s'est bâti sur la différence homme-animal. Et qu'il vaudrait mieux maintenir la part d'altérité des animaux plutôt que de vouloir les humaniser à tout prix.

04/2021

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Littérature française

Les bêtes à sept têtes

C'est l'été, en Ardèche. Elle a 11 ans. Il y a la petite masure, la pêche aux écrevisses, les draps rêches, les histoires de bêtes à sept têtes que lui raconte grand-père pour l'endormir. Il y a aussi les mains sournoises, humides de l'oncle, «celui qui ravissait aux petites filles leur ravissante éclosion». De cette enfance piétinée, à jamais fixée au silence, Patricia Campagne sculpte le portrait d'une femme soumise au désir des autres, esclave lourde du poids de la faute. Lorsque, dans un acte d'amour fou, son fils se décide à la venger, les bêtes à sept têtes des contes enfantins vont soudain prendre corps. Un roman implacable qui révèle du besoin d'amour ses formes les plus troubles : culpabilité, soumission et manipulation.

08/2015

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Littérature française

Marikiri au pays des bêtes

Après son retour définitif en Europe et son pactole dilapidé, Louis Charbonneau reprend ses carnets et décide d'en faire des récits. Celui-ci, agrémenté de ses photos et dessins inédits, parle bien plus du zoo qu'il a constitué que de son entreprise commerciale. Entourée des animaux qu'elle gâte, Marikiri, petite fille banziri, s'attache à son maître et vice versa. Mais il vit un paradoxe, non seulement celui d'un chasseur qui aime les bêtes, mais encore celui d'un paradis colonial pavé de bonnes intentions.

03/2014

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Actualité et médias

L'imposture antispéciste

L'antispécisme exige aujourd'hui violemment la "libération" des bêtes. Cela supposerait d'interdire tout produit d'origine animale, ainsi que des pratiques jugées "oppressives" (équitation, chasse, corrida, zoos...), voire de préférer la vie d'un chimpanzé à celle d'un handicapé mental. L'antispéciste est au végane ce que l'intégriste est au croyant. Ce courant dispose de théoriciens influents, comme Peter Singer, et de relais politico-médiatiques, comme l'association L214 ou le Parti animaliste. Or la disposition des animaux à souffrir ne suffit pas à leur donner des droits fondamentaux sur le modèle des droits de l'homme. Il est également malhonnête d'enrôler dans une telle cause le féminisme et l'antiracisme. Enfin cette utopie cache mal ses liens avec le transhumanisme... Les "libérateurs" des animaux apparaissent alors davantage comme le symptôme d'une société qui s'invente une idéologie pour mieux affronter le vide qui la ronge : productivisme sans fin, industrie agro-alimentaire devenue folle, perte du lien social, destruction de la planète... Mais ce n'est pas en faisant de l'animal un nouveau messie que nous infléchirons notre destin.

02/2020

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