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Arno Münster

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Dossier

Milan Kundera par ses livres : la passion française

Milan Kundera est né le 1er avril 1929 à Brno, en Tchécoslovaquie (aujourd'hui République tchèque). Il est l'un des écrivains les plus importants et les plus influents du 20e siècle. Ses écrits, qui abordent des thèmes tels que l'amour, l'existence et l'identité, sont connus pour leur complexité et leur profondeur philosophique.

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Dossier

Saint-Elme, la folie d'un Twin Peaks, quelque part en Europe

« Ici, c’est spécial. » Depuis trois ans, Serge Lehman et Frederiks Peeters nous ont plongés dans une série dont les couleurs folles peinent à rester dans tranquillement dans leurs pages. Un polar percutant, aux personnages franchement décalés : avec la sortie du cinquième tome, Les Thermopyles, les comparses mettent le point final à leur saga au milieu des montagnes…

 

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marie-Hélène Lafon

Marie-Hélène Lafon est née en 1962 à Aurillac. Professeure de lettres classiques à Paris. Tous ses romans sont publiés chez Buchet/Chastel. Elle a choisi d’enseigner dans un collège situé en Zone d’Education Prioritaire. Elle rédige son premier texte, une nouvelle, à l’âge de 34 ans. Elle est un écrivain en quête d’une écriture absolue, animée par une irrépressible envie d’écrire et libérée des contraintes inhérentes à sa condition sociale originelle.

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Dossier

Les 5 Terres : une saga médiévale où règnent les animaux

Cinq continents abritent les peuples qui occupent Les 5 Terres : autant d’espèces dont les luttes de pouvoir ont forgé les relations. Félins, reptiles, herbivores, primates ainsi qu’ours et loups, qui se partagent un territoire, chacun a affiné avec le temps des savoir-faire. Leurs terres, reflets de leurs coutumes autant que de leur passé, font cohabiter les êtres… mais n’enfouissent pas les rivalités.

Extraits

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Philosophie

Osons l'utopie pour construire un monde meilleur. Esquisse d'une autobiographie politique

L'auteur de cette Esquisse d'une autobiographie politique s'est proposé de reconstruire l'itinéraire d'un intellectuel critique, lucide et "rebelle", celui d'un enfant de guerre, né en Silésie, en 1942, et jeté dans un monde brutal et inhumain, celui de l'Allemagne de l'après-guerre. Il décrit le drame d'une enfance malheureuse, encore ombragée par le nazisme, dans un milieu caractérisé par le refoulement collectif des crimes nazis, par l'anticommunisme et par la restauration, sur les ruines du IIIe Reich, en Allemagne de l'Ouest, d'une société bourgeoise parlementaire "démocratique", ayant conservé les mentalités autoritaires du passé. Il raconte aussi comment cette rupture affective et politique avec la société allemande fera de lui assez tôt un homme "révolté", politiquement engagé pour la vraie démocratie et le progrès social et pour une société égalitaire et fraternelle, sans maître et esclave et sans domination de l'homme sur l'homme. Arrivé à Paris, en septembre 1967, il se jettera "corps et âme" dans la révolte de Mai 68, vécue par lui-même comme "le plus grand mouvement anti-autoritaire d'émancipation du XXe siècle". C'est ce même intérêt pour les mouvements politiques d'émancipation qui le conduira aussi au Chili, à l'époque de "L'Unité populaire" de Salvador Allende (1970-1973), et au Portugal, pendant la révolution des "oeillets" (1974-1975), où il sera le témoin d'une révolution démocratique antifasciste dont il analysera les raisons et les contradictions dans un de ses livres. L'émancipation sera aussi le leitmotiv de sa propre philosophie sociale critique très orientée vers l'écosocialisme, vers un marxisme "ouvert" non dogmatique et un cosmopolitisme citoyen rejetant le racisme, l'antisémitisme, le souverainisme et le nationalisme, sous ses diverses variantes, et dont le mot d'ordre inspiré d'Ernst Bloch est : osons l'utopie de la construction d'un monde meilleur !

10/2019

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Philosophie

Socialisme et religion au XXe siècle. Judaïsme, christianisme et athéisme dans la philosophie de la religion d'Ernst Bloch

L'objet de ce livre est le rapport complexe et assez conflictuel du socialisme/ communisme avec la religion (ou les religions), comme conséquence de la sécularisation, du développement de la pensée matérialiste-athée et de la critique radicale de la religion par Feuerbach, Marx et tous les autres représentants d'une pensée socialiste, communiste ou athée aux XIXe et XXe siècles. Après avoir abordé la problème de la "guerre" déclarée à la religion, au nom de l'athéisme et de la vision du monde scientifique du matérialisme historique et dialectique, par Lénine, Staline et les bolcheviks, pendant les campagnes anti-religieuses, menées en Union Soviétique, notamment à partir de l'année 1925, ainsi que la situation a priori difficile des Eglises dans les pays satellites de l'URSS, en Europe de l'Est, dans l'après-guerre, l'auteur consacre une partie importante de ce livre à l'analyse de l'amorce d'un dialogue entre marxistes (athées) et chrétiens, dans les pays de l'Est, dans la période 1960 à 1975, en focalisant notamment sur la situation en R.D.A. et sur la contribution importante et originelle à ce dialogue par le philosophe marxiste allemand Ernst Bloch dont le livre Athéisme dans le christianisme (1968) avait été assez favorablement accueilli par certains théologiens protestants progressistes allemands (J. Moltmann, C.H. Ratschow...) mais surtout par les représentants de la Théologie de la Libération en Amérique Latine (L. Boff, Gutierrez, Dussel, E. Cardinal) qui s'en sont inspirés pour leur combat en faveur d'une Eglise des pauvres et une alliance des chrétiens avec les forces politiques progressistes. En effet, il s'agissait, pour Ernst Bloch, de plaider en tant que philosophe "athée-religieux" pour une alliance constructive d'un marxisme authentique libéré de ses scories dogmatiques, avec les chrétiens de gauche, libérés des entraves de l'orthodoxie religieuse, afin de construire ensemble un monde meilleur, démocratique et plus égalitaire, libéré des injustices et des violences.

05/2018

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Sciences politiques

Jean Jaurès : un combat pour la laïcité, la République, la justice sociale et la paix. Quelques réflexions en marge d'une commémoration

L'émergence de Jean Jaurès (1859-1914) à l'horizon politique français et européen de la fin du XIXe et au début du XXe siècle était incontestablement celle d'une figure emblématique dont le charisme faisait de lui la véritable incarnation d'un mouvement socialiste en plein essor et d'un combat inlassable pour la République, l'école laïque publique et obligatoire, la séparation des Eglises et de l'Etat, la justice sociale et la paix. C'était aussi, comme il sera mis en évidence dans cet essai, le combat permanent d'un philosophe, journaliste et député extrêmement courageux, dont le républicanisme et le patriotisme défiaient, avec ses convictions socialistes et pacifiques et ses grands discours, rassemblant dans ses meetings politiques des milliers de travailleurs, non seulement tous les conservatismes mais aussi et surtout le nationalisme qui risquait bientôt de précipiter l'Europe tout entière dans la catastrophe de la Première Guerre mondiale. La vie était celle d'un lutteur infatigable pour la justice, la fraternité et la paix entre les nations qui, jusqu'au dernier jour de sa vie, hélas écourtée par l'ignoble assassinat dont il a été la victime, le 31 juillet 1914 à Paris, avait tenté d'empêcher cette guerre, en appelant les travailleurs de toute l'Europe à s'opposer, par tous les moyens pacifiques, y compris la grève générale politique, à la guerre et à la mobilisation qui le préparait. Le présent ouvrage s'efforce de reconstruire l'itinéraire philosophique et politique du grand homme, philosophe, journaliste, député et "tribun du peuple", panthéonisé en novembre 1924, dans toutes ses étapes.

06/2015

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Autres philosophes

Max Horkheimer entre Marx, Freud et Schopenhauer. Essai sur la philosophie sociale du fondateur de l'Ecole de Francfort

La différence entre la Théorie critique de la société et la théorie traditionnelle, tient à préciser Horkheimer, est que l'objectif de la théorie traditionnelle est d'édifier un système universel de la science englobant tous les objets possibles, tandis que la Théorie critique, définie comme dialectique matérialiste ouverte, est a priori opposée à tout système universel achevé et clôturé, ce qui signifie qu'elle entre sur ce point précis en conflit avec l'idéalisme objectif de Hegel et de tous les systèmes philosophiques clos, rationalistes, tout en opérant une rupture épistémologique avec la structure de la science traditionnelle. Arno Münster.

07/2021

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Philosophie

Le marxisme ouvert et écologique de Michael Löwy. Hommage à un intellectuel "nomade"

On peut dire tout ce qu'on veut sur Michael Löwy et son attachement inébranlable au romantisme révolutionnaire, au messianisme utopique des penseurs juifs libertaires d'Europe centrale et à la révolution en Amérique latine (Che Guevara, Cuba...). Une chose est certaine : son principal mérite est d'avoir articulé une sociologie critique très orientée vers les déterminants socio-économiques de la conscience des classes sociales (très influencée par Max Weber et Karl Mannheim) avec une philosophie marxiste de la praxis dont le but est toujours l'émancipation des classes laborieuses, du prolétariat de toutes les formes d'exploitation et d'oppression du capitalisme. C'est dans cette perspective, celle d'une espérance émancipatrice, écosocialiste, qu'il a aussi fait sien le mot d'ordre de Rosa Luxemburg " socialisme ou barbarie ". Et c'est cela, le vrai message de ce grand intellectuel cosmopolite, internationaliste et libertaire auquel cet ouvrage est consacré.

03/2019

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Autres

Habermas, l'européen cosmopolite et historien de la pensée post-métaphysique

En s'opposant rigoureusement aux nationalistes et aux souverainistes de tout bord, Jürgen Habermas, disciple d'Adorno et fondateur de la "seconde génération" de l'Ecole de Francfort, a pendant les dernières décennies et surtout depuis le Traité de Maastricht, enrichi les débats de la philosophie politique contemporaine par un grand nombre de contributions et de réflexions sur l'Europe et l'idée européenne qui sont l'objet de la première partie de cet ouvrage. Dans ces écrits, il esquisse non seulement l'utopie concrète d'une Europe d'Etats post-nationaux, reliés entre eux par une Constitution européenne garantissant les libertés, la justice et l'Etat de droit, mais il plaide aussi en même temps pour une "conscience européenne" ayant la vocation de substituer les traditionnelles convictions et consciences identitaires des nations. Il s'agit de substituer progressivement, l'Etat-nation traditionnel républicain, devenu de plus en plus "obsolète", par une Union européenne devenue une union d'Etats "post-nationaux". Simultanément, Habermas se fait aussi l'avocat d'un renouveau de la démocratie, de plus en plus menacée par les populismes et les régressions anti-démocratiques constatées dans les pays néo-libéraux à représentation parlementaire indirecte, qui ne peut se faire que par la participation directe des citoyens à la gestion des affaires de la cité. Dans la seconde partie de l'ouvrage, l'auteur analyse en profondeur, en les résumant, les travaux et recherches récents consacrés par Habermas, ce penseur rationaliste et cosmopolite très inspiré par Emmanuel Kant, à la pensée post-métaphysique, à la philosophie de la religion et aux effets produits, dans l'histoire de l'Occident, par la tension permanente entre foi et savoir.

02/2021

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