« Je pense que chaque auteur d’imaginaire porte en lui la volonté de créer son propre monde, un monde cohérent, crédible, où il peut, à volonté, se perdre et voyager quand il a envie de fuir la réalité. » Ces quelques lignes de Jean-Luc Marcastel, en prélude à Renaissance, premier volume du cycle Thair ont fait mouche. Car non seulement le romancier a conçu cet univers, mais plus encore, il l’a documenté. Richement.