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Après la rafle

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Historique

Après la rafle

Jo Weismann, un destin : l'un des derniers rescapés de la rafle du Vel'd'Hiv'. Le 16 juillet 1942, les autorités de Vichy procèdent à une rafle de familles juives parisiennes. Joseph et les siens sont conduits ou Vélodrome d'Hiver, puis en wagons à bestiaux jusque dans le camp de transit de Beaune-la-Rolande. Transit... Vers où ? Un matin, on arrache à la ses parents et ses deux soeurs, qui sont déportés à Auschwitz. A Beaune-la-Rolande, une autre guerre o commencé : celle d'un enfant de 11 ans perdu dans un camp d'orphelins. La folle évasion d'un enfant innocent. Joseph est jeune, mais il sent, comprend. Il monte un plan d'évasion avec un autre enfant : Joseph Rogan. Ensemble, ils se glissent sous 15 mètres de barbelés qu'ils s détricotent o moins nues, durant 6 heures d'affilée. Une fois extirpés des barbelés, ils courront pour leur liberté, dans un monde devenu cauchemar. Ils se retrouveront des années après leur évasion, pour tenter de mettre du boume sur leurs souvenirs... Depuis, Joseph Weismann, 90 ans aujourd'hui, participe à des conférences, des colloques, des débats, des films. Et il raconte. Sa guerre à lui ne s'est jamais vraiment achevée. Mais nous sommes tous les héritiers de sa douleur et de ses espérances.

01/2022

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Après la rafle

Juillet 1942. Joseph Weismann a 11 ans lorsqu'il débarque au camp de transit de Beaune - la - Rolande après une sinistre étape au Vél'd'Hiv. Très vite séparé de sa famille, le garçon décide de s'évader avec un copain quand arrive le jour de la déportation. Il leur faudra cinq heures pour franchir les barbelés qui cernent le camp. Jusqu'à la Libération, Joseph va se cacher. Dénonciation ignoble, protection inattendue, maltraitance de familles d'" accueil ", sévices : le chemin sera long avant de trouver le bonheur. Après une phase de déni, c'est en se rendant à Auschwitz qu'il accepte de regarder l'horreur en face. Son témoignage a été plébiscité par Simone Veil. Pour que les jeunes générations sachent et qu'elles prennent garde que l'histoire ne se répète pas.

06/2013

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Après la rafle

Juillet 1942. Au camp de transit de Beaune-la-Rolande où il a été transféré avec toute sa famille après une sinistre étape au Vél'd'Hiv, Joseph Weismann a déjà perdu l'insouciance de ses onze ans. Quand arrive le jour de la déportation, les forces de l'ordre s'emparent brutalement des adultes, laissant des centaines d'enfants déchirés de douleur. Les soeurs de Joseph ont également été emmenées. A bout de larmes, le jeune garçon décide de s'enfuir avec un copain. Ils mettront cinq heures à traverser les barbelés qui cernent le camp... Jusqu'à la Libération, ce gamin chétif va se cacher. Dénonciation ignoble, protection inattendue de deux gendarmes, maltraitance de certaines familles d'"accueil" et enfin un couple merveilleux qui va en faire un homme. Désormais, il a pour devise : "Le bonheur droit devant". Il veut tout gommer, la souffrance a presque engendré le déni. Et ses cauchemars, la nuit, il n'en parle à personne. Ce n'est qu'en se rendant à Auschwitz, où les siens ont disparu avec tant d'autres, qu'il accepte de regarder l'horreur en face. Et c'est Simone Veil, un jour, qui l'incite à témoigner. Pour que les jeunes générations sachent. Pour qu'elles veillent à ce que l'Histoire ne se renouvelle pas.

09/2011

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Historique

Après la rafle

Jo Weismann, un destin : L'un des derniers rescapés de la rafle du Vél'd'Hiv' Le 16 juillet 1942, les autorités de Vichy procédèrent à une rafle de familles juives parisiennes. Joseph et les siens furent conduits au Vélodrome d'Hiver, puis en wagons à bestiaux jusque dans le camp de transit de Beaune-la-Rolande. Transit... Vers où ? Un matin, on arracha à Jo ses parents et ses deux soeurs, qui furent déportés à Auschwitz. A Beaune-la-Rolande, une autre guerre commença : celle d'un enfant de 11 ans perdu dans un camp d'orphelins. La folle évasion d'un enfant innocent. Joseph est jeune, mais il sent, comprend. Il monte un plan d'évasion avec un autre enfant : Joseph Kogan. Ensemble, ils se glissent sous 15 mètres de barbelés qu'ils " détricotent " à mains nues durant six heures d'affilée. Une fois extirpés des barbelés, ils courent vers leur liberté, dans un monde devenu cauchemar. Ils se retrouveront des années après leur évasion, pour tenter de mettre du baume sur leurs souvenirs... Depuis, Joseph Weismann, 93 ans aujourd'hui, participe à des conférences, des colloques, des débats, des films. Et il raconte. Sa guerre à lui ne s'est jamais vraiment achevée. Mais nous sommes tous les héritiers de sa douleur et de ses espérances. Un livre-témoignage bouleversant.

01/2025

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La rafle des pauvres gens

Vers la fin de la semaine on a commencé à entendre des explosions terribles. Albert a dit, on s'y attendait sans y croire, ils font sauter tout le quartier, tous les immeubles. C'était si fort que tout tremblait dans la maison. Après une dizaine de jours, les gendarmes sont partis, on parlait de douze mille gendarmes venus de tous les coins de France pour cette opération. Raphaël : Quoi, tellement de policiers et de gendarmes ! Shlomo : Albert qui avait des renseignements a dit que Pétain et Laval étaient derrière tout ça et que Laval, lui, était sur place pour vérifier que tout allait se passer comme prévu. Marcel Chetrit est écrivain de langue française et artiste peintre. Il vit à Jérusalem depuis 1969. Après Liliana ailleurs encore, Un Foulard dans le vent et Aube d'un soir, il signe son quatrième roman La rafle des pauvres gens.

11/2021

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Déportation

La Rafle du Vél d'Hiv

La rafle dite du "Vel d'Hiv" est l'un des événements les plus tragiques survenus en France sous l'Occupation. En moins de deux jours, les 16 et 17 juillet 1942, 12 884 femmes, hommes et enfants, répartis entre Drancy (près de 4 900) et le Vel d'Hiv (8 000), ont été arrêtés par la police parisienne à la suite d'un arrangement criminel entre les autorités allemandes et le gouvernement de Vichy. Seule une petite centaine de ces victimes survivra à l'enfer des camps nazis. Cette opération emblématique et monstrueuse demeure pourtant relativement méconnue. L'arrière-plan administratif et la logistique policière de la grande rafle n'ont été que peu étudiés, et jamais dans le détail. Légendes (tel le nom de code " opération Vent Printanier ") et inexactitudes (sur le nombre de personnes arrêtées ou celui des effectifs policiers) sont répétées de livre en livre. Et l'on ignore que jamais Vichy ne livra plus de juifs français à l'occupant que le 16 juillet 1942 ! D'où l'ambition, dans cet ouvrage, d'une histoire à la fois incarnée et globale de la rafle du Vel d'Hiv. Une histoire incarnée, autrement dit au plus près des individus, persécutés comme persécuteurs, de leur état d'esprit, de leur vécu quotidien, de leurs marges de décision. Mais aussi une histoire globale, soucieuse de restituer la multiplicité des points de vue, des destinées, et attentive au contexte de la politique nazie et de la collaboration d'Etat. Une recherche largement inédite, la plus riche et variée possible, de la consultation de centaines de témoignages à une exploitation inédite des " fichiers juifs " de la Préfecture de police de Paris. Mais la partie la plus importante de l'enquête a consisté à rechercher des " paroles " de policiers : 4 000 dossiers d'épuration des agents de la préfecture de police ont été dépouillés. Parmi eux, plus de 150 abordent la grande rafle et ses suites. Outre les justifications de policiers, ces dossiers contiennent des paroles de victimes, des témoignages (souvent accablants) de concierges, et surtout des copies de rapports d'arrestation, totalement inédits. Fruit de plusieurs années de recherche menées par l'auteur, où les archives de la police et de l'administration auront été méticuleusement fouillées, La Rafle du Vel d'Hiv apporte une lumière nouvelle sur l'un des événements les plus terribles et les plus difficiles à appréhender de notre histoire contemporaine.

05/2022

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