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Antonio Pennacchi

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Poches Littérature internation

Les Peruzzi Tome 1 : Canal Mussolini

Les Peruzzi : dix-sept frères et soeurs, une tribu. Des paysans sans terre, tendance marxiste, à la tête dure et au sang chaud. Parce qu'un certain Benito Mussolini est un ami de la famille, ils abandonnent le rouge pour le noir. En 1932, avec trente mille autres affamés, ils émigrent dans les marais Pontins, au sud de Rome, où démarre le chantier le plus spectaculaire de la dictature. Huit ans sont nécessaires pour creuser un gigantesque canal, assécher sept cents kilomètres carrés de bourbiers infestés de moustiques et bâtir des villes nouvelles. Enfin, les Peruzzi deviennent propriétaires de leurs domaines. Mais tandis que l'Histoire emporte les aînés dans le tourbillon des conquêtes coloniales et de la Seconde Guerre mondiale, au Canal, les abeilles d'Armida, l'ensorcelante femme de Pericle, prédisent un sombre avenir. Entre chronique et farce, Pennacchi signe un roman époustouflant où la saga d'une famille sur trois générations croise un demi-siècle de l'histoire italienne.

05/2019

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Littérature étrangère

Mammouth

Bleu de travail et bleus à l'âme. Tels sont les signes distinctifs de Benassa, le coriace leader syndical de l'usine de câbles Supercavi. Depuis vingt ans, dans chaque manif, chaque grève, les ouvriers ont scandé avec lui : « Un pour tous, tous pour un ! » Mais en Italie comme ailleurs, la loi du marché torpille peu à peu l'unité syndicale et les idéaux révolutionnaires. Le drapeau rouge est en berne et Benassa broie du noir. Ça tombe bien : les patrons aussi en ont assez de cet énergumène et ont décidé de lui faire une offre qui ne se refuse pas.Entremêlant le récit des quelques jours qui précèdent sa décision, faits d'armes du syndicat et portraits savoureux des ouvriers de Supercavi, ce roman d'Antonio Pennacchi compose une peinture drôle et fraternelle de la classe ouvrière.

01/2013

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Littérature Italienne

Les Peruzzi Tome 2 : Diomède

Les Peruzzi ! La grande famille de paysans sans terre aux dix-sept enfants qui avait été embraqué par Benito Mussolini dans l'aventure du fascisme et ses chantiers spectaculaires en est à la troisième génération, et la guerre réussit l'impensable : diviser la famille, faire que des frères se battent à mort dans des camps opposés, Chemises noires, Armée royale, Résistance. Pourtant, tous veulent la même chose : libérer leur ville de Littoria, libérer leur peuple, libérer l'Italie entière ! Avec le débarquement, les marais Pontins sont dévastés, les villages pillés, les Peruzzi exilés à nouveau dans les montagnes comme des milliers de malheureux. Le cousin Diomède, lui, le rouquin bâtard, débrouillard et chanceux de 18 ans, prend la tangente et saisit sa chance. Il est au bon endroit au bon moment, dans les ruines fumantes de la Banque d'Italie d'où s'échappent les dollars. La reconstruction que tous appellent de leurs voeux, c'est lui qui va l'incarner. Devenir riche, courir partout, bâtir des villes entières, se faire appeler Big Boss par les Américains ? Oui, c'est possible, car impossible n'est pas Peruzzi ! Grâce à la verve intarissable d'Antonio Pennacchi, un demi-siècle d'histoire italienne défile à brides abattues. Et ce western familial, d'une ironie teintée de magie, donne un nom propre aux événements. La Mafia avait les Corleone, le peuple a les Peruzzi !

03/2021

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Littérature française

Antonio

Antonio descend de l’auto et pose ses fesses contre la portière. Il prend appui sur sa jambe gauche pour soulager sa cuisse droite en partie nécrosée à la suite d’un accident de plongée durant la récolte de corail quand il avait tout juste dix-sept ans. Il sort de sa poche un paquet de cigarettes blondes de contrebande acheté dans les rues de Naples. D’un clic métallique, il ouvre son Zippo tandis qu’il tient entre ses dents le filtre de sa cigarette. D’un geste sûr, il en actionne la molette et une large flamme colorée et malodorante jaillit dans un court crépitement. Il soulève alors ses yeux d’un noir d’ébène et lui lance : Andiamo bella ragazza...

09/2019

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Romans graphiques

Antonio

Né à Naples en 1894, Antonio Caffiero a très tôt manifesté un goût marqué pour les histoires qu'elles soient réelles ou imaginaires. L'aventure principale, qui prend à certains moments une allure de thriller, est celle du moulage en vermeil du coeur du sultan ottoman Abdelmecit, qu'Antonio et son père ont réalisé, à la demande de son fils, le sultan Mehmet V Resad. Ses aventures, Antonio les vit ou les imagine sur fond de plusieurs conflits - guerre italo - grecque, 1ère guerre mondiale, guerre gréco - turque, démembrement de l'empire ottoman, guerre d'Abyssinie, deuxième guerre mondiale - qu'il traverse avec un détachement qui s'accentue au fil des années. Il s'attache en revanche profondément à toutes les villes méditerranéennes où il s'installe : Petit délinquant à Naples, orfèvre du sultan à Istanbul, latin lover de la chanteuse Roza Eskanazi au Pirée, principal fournisseur d'argenterie des grands hôtels à Beyrouth, il promène sa silhouette nonchalante et son regard à la fois curieux et désabusé dans les rues de ces villes-monde où il se sent chez lui. Allergique à la pensée unique, il sera mal vu des communautés italiennes de Beyrouth et d'Istanbul parce qu'il n'adhère pas au fascisme, mais s'engagera quand même comme cuisinier dans la guerre d'Abyssinie, pour fuir une maîtresse qui le harcèle. Maria, son épouse dont il est fou amoureux, parce qu'il a rêvé d'elle, avant même de la rencontrer, est la seule constante de sa vie. Rythmé par une voix off qui n'est autre que celle de son arrière-petite-fille, l'autrice Michèle Standjofski, le récit prend toute sa dimension grâce au graphisme réalisé aux crayons de couleur.

09/2021

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Littérature française (poches)

Antonio

Comment un Comte italien désargenté a-t-il pu se hisser en quelques années, et à l'insu de sa famille, au poste de directeur parisien de l'une des plus importantes banques d'affaires internationales ?

09/2018

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