Recherche

Alphonse Layaz

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Naguère et les mangeurs de pommes de terre

Encore un de ces récits paysans avec ses drames et ses cocasseries, ses vieux de la vieille matois sous des airs débonnaires, ses femmes aux sensualités animales, ses mots du terroir savoureux et truculents ? Eh bien non ! Car il y a Les Mangeurs de pommes de terre, et c'est ce qui change tout. Par une trouvaille de poète, l'auteur place son récit sous le signe du chef d'oeuvre de van Gogh. Un concours de circonstances, historiquement plausible, a mis dans les mains du héros de notre histoire, Naguère, neuf ans, la lithographie que van Gogh avait réalisée sur le même sujet. Les cinq personnages attablés autour d'une platée de pommes de terre fumantes, leurs gestes, leurs regards, leurs mines, la lampe à huile qui les enveloppe dans son cercle lumineux, tout cela forme un tableau où le jeune garçon croit reconnaître – tantôt l'un, tantôt l'autre – les hommes et les femmes qu'il côtoie dans sa vie de tous les jours.

08/2017

ActuaLitté

Romans historiques

J'ai vu le loup, le renard et la belette...

Le héros, Colin Zurich, est embarqué dans un joyeux roman d'apprentissage, qui pourrait être de tous les temps. Alphonse Layaz nous emporte dans ses phrases rythmées par la fête et les rires. Il y a un appétit de Bénichon pour la vie, pour les nourritures, pour les corps, et pour les mots et les phrases qui les disent, les célèbrent en riant et dansant. On mange et boit les mots comme le bon vin et les bonnes nourritures. Il y a un Carnaval de mots qui dansent, de personnages qui surgissent du passé comme du présent, qui se mêlent et mêlent les époques. On chante, à la Renaissance où vit Colin Zurich, des chansons qui sont bien de ce temps-là, mais les événements font surgir soudain des chansons d'aujourd'hui. Une manière de nous dire : ça se passait autrefois, ça se passe maintenant. Le récit nous promène ainsi dans de joyeux allers-retours temporels, qui nous tendent en fin de compte une sorte de miroir ; ce n'est pas un musée des hommes du temps passé que l'on visite, mais soi-même aujourd'hui. Il suffit de mettre ses pas dans ceux de Colin. Jean-François Haas.

04/2019

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Le voyage restreint

Dans " Le Voyage restreint ", Alphonse Layaz nous propose une série de textes plus ou moins brefs tantôt nouvelles, tantôt récits ou contes. L'imaginaire le dispute à la vraisemblance dans une quête de l'image juste ou de l'expression succincte pour que surgissent au détour d'une ligne des personnages de cette belle glaise humaine que savaient pétrir un Guy de Maupassant ou un Léon Tolstoï, mais dans un éclairage contemporain. Que l'expression soit littéraire ou picturale, cet artiste manie les couleurs chaudes d'une palette généreuse d'où l'empathie s'extrait comme une seconde nature. " Si un jour mon art ressemble à la peinture de Giorgio Morandi, je pourrai m'abandonner à l'aventure de la contemplation. " Morandi, le tragique autour de formes essentielles l'écriture d'Alphonse Layaz vous prendra corps et âme.

05/2009

ActuaLitté

Littérature française

Alphonse

1916. Année terrible. Entre la bataille de Verdun et l'offensive de la Somme, le soldat Alphonse obtient une permission pour retourner dans la ferme familiale, loin du front, au doux soleil de Provence. Alphonse est un homme simple. Il appartient au " grand troupeau " des paysans arrachés à leur terre pour être enterrés dans les tranchées. Alphonse a souffert en silence de la peur, de la solitude, de l'abandon, du froid. Durant les trois jours voyage en train, que représente son évacuation du théâtre des opérations militaires vers sa paisible maison, il tente de s'arracher à la fascination de la mort pour épouser à nouveau la vie. Trois jours de transport ferroviaire chaotique qui ressemblent aux trois jours du Christ aux enfers. Vers la résurrection. Vers l'espérance, la paix, la fraternité et l'amour. Avec ce roman bouleversant, Jean Debru donne la parole aux martyrs de la Grande Guerre, aux humbles qui vécurent leur chemin de croix au Chemin des dames.

05/2002

ActuaLitté

Gallimard - Jeunesse

Alphonse

Voici Alphonse. Un peu maigrichon, l'air rêveur, un pull rose et les cheveux en bataille... Un drôle de bonhomme, pas vraiment les pieds sur terre. Il a essayé de nombreux métiers : pompier, plombier, banquier, antiquaire, promeneur de chiens, fleuriste, boxeur, sauveteur en mer, facteur... mais aucun ne lui convient et tout va toujours de travers ! Trouvera-t-il un travail adapté à sa personnalité ?

05/2023

ActuaLitté

Critique littéraire

Alphonse Allais

"Il créait tout le temps", écrira Jules Renard à propos d'Alphonse Allais (1854-1905). C'est sans doute ce qui a été dit de plus vrai sur celui qui est à la fois le plus grand des humoristes français et le plus fécond. Ce qui l'anime ? Un anticléricalisme et un antimilitarisme primaires, le refus de toutes formes d'autorité, une agressivité contre la bêtise, un dégoût profond des crapuleries parlementaires. Telles sont les sources de la verve d'Alphonse Allais. Et il la dispense généreusement dans ses contes et dans ses chroniques au Chat noir ou au Journal. En attendant de lire ou de relire son oeuvre riche et abondante, redécouvrez ici ses meilleurs mots. Il lui revient de droit, en tant que prince du calembour et inventeur de l'humour anglais, de rouvrir la mythique collection "En verve".

11/2016

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté