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Alexandre Lacroix

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Philosophie

La joie est plus profonde que la tristesse. Entretiens avec Alexandre Lacroix

"Tout est foutu, soyons joyeux". "Rassurons-nous, tout va mal". Voilà les maximes préférées de Clément Rosset, telles des remèdes à notre époque contemporaine angoissante. Il nous apprend à nous foutre de tout et à rester joyeux malgré notre condition de mortel, à être capable d'embrasser gaiement l'existence pour accéder à la sagesse et au bonheur, à écarter toute raison de désespérer. Clément Rosset a accordé une quinzaine d'entretiens à Alexandre Lacroix pour Philosophie magazine entre 2006 et 2017. Nous en avons sélectionné huit, qui permettent de faire un premier pas dans la pensée de ce grand homme. Philosophe de la joie et du tragique, mais non pessimiste, Clément Rosset défendait une vision incarnée de la philosophie, loin de l'image du penseur dans sa tour d'ivoire. Il défendait surtout un réalisme absolu et radical. Pour lui, seul le réel existe. Le recueil idéal pour s'initier à la philosophie et découvrir les grands philosophes - Nietzsche, Spinoza, Platon, Heidegger, Pascal, Bergson - en décortiquant Tintin, Gaston Lagaffe ou encore un morceau de camembert.

10/2019

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Policiers

Les soeurs Lacroix

Les haines familiales s'exacerbent dans la maison des sœurs Lacroix où vivent Poldine et Mathilde avec leurs enfants : Sophie, la fille adultérine de Poldine et du mari de Mathilde, Geneviève et Jacques, les enfants de Mathilde... L'atmosphère est lourde, malsaine, et le drame couve.

02/2003

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Ouvrages généraux

Au coeur de la nature blessée. Apprendre à voir les paysages du XXIe siècle

A l'heure du réchauffement climatique et de l'Anthropocène, quels liens sensoriels et émotionnels pouvons-nous tisser avec notre environnement ? Quel type de plaisir et d'émerveillement pouvons-nous encore y trouver ? Pourra-t-on ressusciter les paysages disparus ? Cet essai est un remède à l'éco-anxiété. Voilà un geste que nous avons tous fait : nous nous apprêtons à prendre une photographie d'un paysage, mais il y a un pylône. Qu'importe, nous cadrons de fac ? on à ce que ce détail gênant n'apparaisse pas sur l'image. Le véritable panorama qui nous entoure - avec ses routes, ses lotissements, ses traces multiples de la civilisation industrielle -, nous refusons de le voir. La littérature écologique, qui chante les grands espaces et la rencontre avec les animaux sauvages, contribue largement à nous maintenir dans l'illusion que nous vivons au coeur d'une nature vierge. Mais ce monde-là n'existe plus, ou seulement dans des zones circonscrites par l'humain, les réserves naturelles. Bien des paysages de notre enfance n'existent déjà plus. Cet essai ose affronter les questions qui dérangent, et qu'il n'est plus possible d'esquiver : à l'heure du réchauffement climatique et de l'Anthropocène, quels liens sensoriels et émotionnels pouvons-nous tisser avec notre environnement ? Quel type de plaisir et d'émerveillement pouvons-nous encore y trouver ? Pourra-t-on ressusciter les paysages disparus ? En nous faisant voyager de la mer Baltique au lac Titicaca, en passant par les collines de Bourgogne, Tai ? wan ou la passe de Tiputa, ce livre nous ouvre les yeux sur la nature abîmée. Une lucidité d'autant plus urgente qu'elle ne conduit ni à l'apathie, ni à la tristesse, mais à l'engagement.

01/2024

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Histoire ancienne

Alexandre

La moitié de l'humanité célèbre encore Alexandre le Grand à travers la Bible, le Coran, le folklore, les lettres classiques, le roman, le cinéma. C'est que ce mystérieux personnage, entré vivant dans la légende, n'est mort ni dans les mémoires ni dans les cœurs. Autant de générations, autant d'avis sur lui. Après une enquête de quinze années sur le terrain et en faisant valoir quelques textes et quelques faits nouveaux, Paul Faure présente non la biographie d'Alexandre, mais sept points de vue très contrastés sur les diverses péripéties de son existence : ceux de l'historien, du psychologue, de l'admirateur antique, du moraliste, du théologien, du sociologue, du pragmatiste. Sept façons de le voir naître, se former, lutter, aimer et finir solitaire, à 32 ans, après avoir conquis la moitié du monde.

08/1994

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Philosophie

Microréflexions

Des vertus de la forme courte. En littérature, la microfiction a une origine légendaire, magnifique : Ernest Hemingway, mis au défi d'improviser l'histoire la plus émouvante possible en six mots, aurait écrit sur une nappe de restaurant : "A vendre : chaussures bébé, jamais portées." Avec ces microréflexions, Alexandre Lacroix explore les possibilités de la forme courte en philosophie. En une ou quelques pages, il aborde des thèmes comme la morale, les animaux, le deuil, l'érotisme, la fête ; la douleur, le travail, l'amour, la maladie, le couple ou la solitude. Pour philosopher en si peu de mots, chaque texte part d'une expérience vécue qui, sous la plume de l'auteur, se transforme en occasion de pensée. Pas de considérations abstraites, pas d'aphorismes, chacune de ces microréflexions naît d'un rapport concret au monde et fait jaillir un processus de réflexion que le lecteur a le loisir de poursuivre par lui-même.

10/2019

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Littérature française

La naissance d'un père

La paternité, une épopée ! Père de cinq enfants, la vie de famille d'Alexandre Lacroix prend au fil des chapitres l'allure d'une épopée, semée d'épreuves et de vertiges. " La paternité est la grande affaire de ma vie adulte. Elle a occupé une large partie de mon temps. Mon premier enfant est né quand j'avais vingt-cinq ans ; mon cinquième quand j'en avais quarante-deux. Quatre garc ? ons, une fille. De deux mères différentes. J'ai attendu que le cycle des naissances s'achève pour raconter cette expérience. J'en ressentais le désir depuis longtemps. Les romanciers, les intellectuels, s'ils évoquent souvent leurs pères, restent très discrets sur leur propre paternité. En un sens, je les comprends. Ecrire sur ses enfants, c'est prendre le risque de la partialité. Et puis, comment alimenter le romanesque avec des petits pots ? A mesure que j'avanc ? ais dans l'écriture, j'ai pourtant eu la sensation de relater une épopée. Dans les romans de chevalerie, il y a des duels, des moments lumineux et violents où l'on joue sa peau - comme lors d'un accouchement. Il y a des épreuves aussi - et s'occuper de ses enfants, c'est en affronter sans cesse. Il faut écarter les dangers autour d'eux, en trac ? ant une route. Si la filiation est une expérience épique, c'est encore qu'elle nous confronte à notre propre mort. Nos enfants sont ce que nous laissons sur Terre après nous. Dans la logique des choses, ils se trouveront réunis autour de notre cercueil. Mais cela n'a rien de triste. A mesure que nous vieillissons, nous transférons sur eux notre amour de la vie. " A. L.

08/2020

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