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Alex Pascoët

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Littérature française

D'Amour et de Foi

Roman philosophico-religieux, baignant dans la pesanteur des traditions. Elle, Florence, fille de kabyle mais athée, revendiquant sa liberté à la fois dans sa vie de femme mais aussi dans son activité professionnelle (D. R. H. d'une grande entreprise). Lui, David, prof de philo, élevé dans le plus pur judaïsme séfarade à l'égard duquel il s'efforce très tôt de prendre ses distances. Deux écorchés de la vie, se méfiant de toute relation durable, parviendront-ils à se rapprocher et peut-être à s'aimer ?

01/2014

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Littérature française

Un beau soleil, un jour d'enterrement…

Le désamour constitue la pointe acérée de ce roman : nécessité pour certains des protagonistes de se défaire de ce terrible fardeau familial. Cette lutte est bien sûr, pour la plupart, inconsciente et devient, à l'âge adulte, un véritable handicap social. Mais il existe un antidote au poison "désamour" , c'est tout simplement l'Amour. Un long et difficile combat. Qui va gagner ?

07/2018

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Religion

Le fait religieux dans le monde

Pourquoi intituler cet essai ainsi et non "Histoire des religions" ? Parce que l'auteur aborde les différentes religions sous un angle plus critique, tout en en respectant la tradition la plus classique dans leurs descriptions. Un bréviaire pour tous...

07/2018

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Philosophie

Plotin, philosophe et mystique

Plotin philosophe gréco-romain du 3ème siècle, chef de file de ce qui a été appelé le néo-platonisme ; on peut dire que Platon c'est la base, le fondement de cette forte pensée, la théorie des deux mondes. Mais Plotin va plus loin, il crée l'architecture de l'évolution de l'univers et de l'espèce humaine. Il part de l'Un, principe créateur pour aboutir à l'âme. La mystique de Plotin, un peu comme celle de Spinoza, passe par l'accès à la vraie réalité par le détachement et la purification. Pour lui, l'intelligence est en quelque sorte asservie à une forme de présence supérieure, un Principe innommable. Avec Plotin, pas de guerre de religion possible.

07/2018

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Thrillers

Alex

Alex, une jeune femme de 35 ans, belle et attirante, essaie des perruques dans un magasin du boulevard de Strasbourg. Quelques heures plus tard, elle est enlevée par un inconnu qui la suivait, jetée dans une camionnette et séquestrée dans un hangar désaffecté. Le ravisseur a organisé sur place un théâtre de tortures qu'elle va subir jusqu'à l'horreur. Alex parvient à se libérer avant que la police ne la retrouve, et n'identifie son tortionnaire, suicidé sur le périphérique. Dès lors, l'énigme d'Alex et de son passé ne peut plus lâcher le lecteur, qui la découvre du point de vue de la victime et de ses bourreaux, jusqu'au terme d'une tragédie imprévisible et fatale. Il est impossible d'en dévoiler davantage sans déflorer une intrigue d'une intelligence et d'une construction diaboliques qui touchent à la perfection. L'écrivain se révèle dans le ton et le style du récit (d'une feinte impassibilité) à l'image du commandant Verhoeven, le flic qui élucide la tragédie d'Alex, d'une attachante complexité. Pierre Lemaître, qui déclare "je ne cherche à écrire que des livres qu'Hitchcock aurait voulu filmer", porte à son comble, sans le moindre artifice ni trucage, l'art du suspense et de la peur.

02/2011

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Littérature française

Chez Alex

C'est à Bruxelles que Jeff De Boer vient au monde, à l'aube des années '50. Un lourd secret lié à sa naissance lance son père dans des choix funestes qui mèneront la famille d'infortune en infortune. Ballotté, négligé, mal aimé, humilié par ses proches, Jeff trouvera du réconfort auprès d'un oncle humble et généreux mais c'est surtout l'amitié qu'il nouera avec son cousin Alex, de huit ans son ainé, qui lui permettra d'enfin s'épanouir et de devenir un homme heureux. Histoire d'une famille hantée par une ombre, cette saga se déroule de l'après-guerre à la fin du vingtième siècle dans un Bruxelles populaire dont les souvenirs aujourd'hui s'estompent. Les personnages y sont dépeints sans complaisance, avec une tendresse mêlée d'ironie et un soupçon de crudité. Sans oublier la saveur du parler bruxellois qui émaille les dialogues et donne à la langue de Shirin Rooze une sonorité particulière.

12/2019

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