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Alessandra Zamperini

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Littérature française

Alessandra

Chronique familiale qui débute au 12e siècle, valse familiale embrassant quatre générations de femmes libres et courageuses, épouses à la fois gâtées et soumises, l'auteur décrit ici les aventures de femmes entreprenantes dans un milieu où la peur est présente. Sautant les années pour mieux étirer l'instant, ce récit laisse aux personnages leur bien le plus précieux : la liberté. Des protagonistes décalés, les heurs et malheurs du vivre ensemble, comme pour cette femme délaissée par son époux et sa fille oubliée par son père. Pourquoi juger quand écrire permet d'interroger pour mieux comprendre ?

11/2018

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Beaux arts

Les stucs. Chefs-d'oeuvre méconnus de l'histoire de l'art

Ce livre est le premier à présenter une histoire quasi exhaustive du stuc en Europe. Comme art appliqué, le stuc a été peu étudié par l’historiographie et n’a pas bénéficié de toute l’attention prodiguée à la peinture, à la sculpture et à l’architecture. Pourtant, le stuc - enduit teinté dans la masse, à base de chaux, utilisé en recouvrement des plafonds et des murs, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur - et dont la technique voit le jour dans l'Égypte ancienne, jouit dans l’histoire de l’art d’un passé intrigant, connaissant une période de grande floraison à l’époque classique, puis de la Renaissance jusqu’au XIXe siècle. Considéré à tort par le sens commun comme un art simplement blanc, monochrome et donc un peu ennuyeux, il a pourtant été l'objet de phases importantes d’expression polychrome, et ce, dès l'Antiquité. Si son usage fut limité au Moyen Âge, la découverte de la Domus aurea à Rome au XVIe siècle initia sa consécration à la Renaissance, en particulier dans les Loges du Vatican de Raphaël ou avec son introduction en France par François Ier au château de Fontainebleau. Née de ces prémisses, la décoration en stuc va ensuite connaître une immense fortune dans l’Europe entière à la période baroque, puis pendant le Rococo où il suit une déclinaison plus gracieuse et polychrome, pour se développer, au XIXe siècle, selon les styles et les formes propres à l’éclectisme. Le stuc n’est donc jamais resté en marge. Constamment associé aux autres techniques, sa présence anime des murs et des plafonds, ses couleurs transmettent la luminosité et le clair-obscur, dans un kaléidoscope de formes et de vibrations qui expriment encore aujourd’hui l’intelligence des cultures qui ont su valoriser ses incroyables potentialités. C'est ce que s'attache à mettre en lumière cet ouvrage de référence, relevant ce pari artistiquement essentiel de remettre au premier plan ces chefs-d'oeuvre méconnus de l'histoire de l'art.

10/2012

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Beaux arts

Le Palais des Doges. Mythe et pouvoir

L'histoire de la construction du Palais des Doges est fortement liée à celle de la ville de Venise, se développant au gré de ses victoires et de ses défaites. L'association entre le Palais et la basilique Saint-Marc, qui est en quelque sorte une " chapelle " du Palais, montre la volonté de Venise d'associer étroitement l'administration politique de la cité à son mythe constitutif, élaboré au IXe siècle, qui avait fait de l'évangéliste Marc le saint patron de Venise. Ce choix est révélateur d'une volonté de prééminence, puisque saint Marc est le secrétaire de saint Pierre, qui est lui-même le " prince " des apôtres et le saint patron de Rome : c'est donc bien avec la ville des papes que Venise entend rivaliser. Le Palais des Doges a connu au cours des siècles de nombreuses phases de construction et de reconstruction, mais c'est à partir de 1342 qu'il commence à prendre la forme que nous admirons encore aujourd'hui. Au cours des agrandissements successifs, divers artistes de renom, parmi lesquels Giovanni et Gentile Bellini, Carpaccio, Titien, Tintoret, Véronèse, Sansovino et Tiepolo, travaillent à son ornementation, proclamant la richesse, la force et la moralité de la Sérénissime ainsi que son droit à la suprématie. Cet ouvrage, illustré de photographies inédites, nous permet d'en admirer la magnificence.

10/2014

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Musique, danse

Alessandro et Domenico Scarlatti

La famille Scarlatti s'inscrit de façon brillante dans les dynasties de musiciens fréquentes aux XVIIe et XVIIIe siècles, tels les Bach ou les Couperin. Si la notoriété du fils, Domenico, a longtemps éclipsé celle du père, Antonio recouvre de nos jours la considération que lui valut le rôle fondamental qu'il joua dans le développement du langage théâtral, comme l'un des révélateurs de l'opéra et de la cantate. C'est entre Rome et Naples que se déroula principalement sa carrière. Il composa pour l'église et pour le clavier, mais c'est l'opéra qui lui valut ses triomphes. Né à Naples et voyageant pour se former à Rome, Florence et Venise, Domenico assuma différentes charges avant d'être engagé par la Maison de Bragance : il s'installe alors au Portugal auprès de l'infante Maria Barbara, qu'il suivra à Madrid lorsqu'elle épousera le roi d'Espagne. C'est là qu'il compose ce qui demeure son héritage musical : ses cinq cent cinquante-cinq sonates, inestimable richesse du répertoire des clavecinistes, où son génie exubérant se révèle en une maturité tardive.

01/2003

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Littérature française

Une lettre pour Alessandro Giovaninetti

Un soir d'automne, le narrateur rencontre Helena sur le quai Rive Gauche à Perpignan. Elle est russe, la soixantaine, et n'a pas toujours été la pauvre femme qu'elle est maintenant devenue. Sa jeunesse, dans les années 50, à l'époque où avec Kroutchev les relations entre la France et l'URSS commencent à peine à se dégeler, son début de carrière de danseuse au Bolchoï, sa découverte de l'amour à quinze ans, tout semble la conduire vers un avenir heureux. Mais ce serait sans compter sur la police politique soviétique qui ne lui pardonnera pas d'avoir commis un faux pas. Le livre connaît un premier dénouement, mais c'est pour mieux rebondir dans la deuxième partie où le narrateur et son ami Mario partent imprudemment à la recherche du premier et grand amour d'Helena, le beau danseur italien Alessandro Giovaninetti dont la trace se perd à New York en 1960.

10/2021

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Beaux arts

Alessandra Chiffi, Giancarlo Mustich. "Siamo in tre"

Au mois d'août 2017, l'oeil du collectionneur Guillaume Saint-Clair s'arrête sur les dessins réalisés in vivo dans Les rues de Lecce par les artistes Alessandra Chiffi et Giancarlo Mustich. Revenu à Paris, il pariage son enthousiasme avec le galériste Georges Franck qui, à son tour, l'expose à l'historienne et historienne de l'Art, Agnès Callu. Le présent ouvrage rapporte les forces profondes de multi-rencontres triangulaires qui mettent au jour la " pensée-dessin " du couple d'artistes italiens aux " sentiers de la création " inédits. Configuré dans l'imaginaire de chacun, le geste graphique surgit, bondissant, privilégiant, chez elle, des bouquets de figures implorantes sous une ligne cubiste aux prologues hugoliens ; faisant danser, chez lui, dans la verticalité d'escaliers d'inspiration palladienne, des formes usinées de voltigeurs futuristes ; montrant au " Masculin Féminin ", une oeuvre duelle où les traits de chacun s'enlacent unis par une Cosa mentale aux registres esthétiques partagés.

05/2019

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