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Albéric d' Hardivilliers

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Livres, actualités : tout sur Jean d'Ormesson

Venu au monde dans le 7e arrondissement de Paris, le 16 juin 1925, au sein d’une famille noble, Jean d'Ormesson s'engagea tardivement, de son propre aveu, dans l'écriture, trop occupé qu'il était à lire. Il publie son premier ouvrage, L’amour est un plaisir, en 1956, aux éditions Julliard, mais son livre La gloire de l’Empire, en 1971, lui vaut une reconnaissance littéraire avec le Grand Prix du roman de l’Académie française.

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Le Prix Jean d'Ormesson

En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée. Chaque année, au mois de janvier, toute la ville d'Angoulême, mais aussi la France, découvre et redécouvre des œuvres du neuvième art. Avec son lot de dédicaces, d'événements, d'expositions, de débats, de récompenses et de mises en avant, le FIBD est ce moment spécial dans l'année où la bande dessinée est au cœur de l'espace médiatique.

Créé en 1974, reconnu dans le monde entier, le FIBD est aussi l'occasion de placer la création hexagonale en avant, même si toute la francophonie, et plus largement toutes les nations, sont accueillies sur place. 

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Poésies d'ici, poèmes d'ailleurs

La poésie a longtemps été considérée comme l'apanage des âmes sensibles, des rêveurs et des romantiques. Mais qu'en est-il vraiment ? Est-ce un art réservé à une élite ou peut-on tous s'y adonner ?

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Contes d'hier et d'aujourd'hui : une littérature aux multiples imaginaires

Si les contes ancestraux nous ramènent à des éléments mythologiques et des histoires découlant de créatures autant que d’aventures fantastiques, ils conservent, à l’âge moderne, toute leur saveur. Simplement, dragons, bottes de sept lieux et loups dévoreurs d’enfants ont laissé place à des environnements plus contemporains. Mais toujours avec la perspective de raconter des histoires et de parler du monde, des rencontres que l’on y fait : offrir une formation, par les livres.

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Dossier

XIII : 40 années d'amnésie

Cette année marque le 40e anniversaire de XIII, le célèbre amnésique du neuvième art, dont les aventures ont vendu près de 20 millions d'exemplaires. Créé par Jean Van Hamme et illustré par William Vance, XIII est un personnage qui nous emporte entre espionnage, guerilla et secrets d'État dans des aventures pleines de rebondissements.

Extraits

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Critique littéraire

Ernest Hemingway. Vivre, écrire, tout est là

Ecrivain, correspondant de guerre et journaliste, né en 1899 à Oak Park et mort — volontairement — en 1961 à Ketchum, Ernest Hemingway fut un voyageur d'exception et demeure un compagnon de route tonitruant. Du jeune écolier du Michigan à l'écrivain couronné de succès — prix Nobel en 1954 —, de Paris à Cuba en passant par l'Espagne et l'Afrique, de L'Adieu aux armes au Vieil Homme et la Mer, se découvre un homme à la vitalité débordante, au courage sans bornes et au style unique. Mais surtout, derrière le mythe, derrière le grand chasseur, buveur et amateur de femmes : un homme passionné, passionnant, n'ayant réellement pour objectif que la littérature. Vivre, écrire, tout est là !

11/2019

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Critique littéraire

Ernest Hemingway, vivre, écrire, tout est là

Ecrivain, correspondant de guerre et journaliste né en 1899 à Oak Park et mort - volontairement - en 1961 à Ketchum, Ernest Hemingway fut un voyageur d'exception et demeure un compagnon de route tonitruant. Du jeune écolier du Michigan à l'écrivain couronné de succès - prix Nobel en 1954 -, de Paris à Cuba en passant par l'Espagne et l'Afrique, de L'Adieu aux armes au Vieil Homme et la Mer, se découvre un homme à la vitalité débordante, au courage sans bornes et au style unique. Mais, surtout, derrière le mythe, derrière le grand chasseur, buveur et amateur de femmes : un homme passionné, passionnant, n'ayant réellement pour objectif que la littérature. Vivre, écrire, tout est là ! Avec cette biographie inspirée, accompagnée de miscellanées ludiques, Albéric d'Hardivilliers, directeur artistique et auteur de l'Ecriture de l'ailleurs, Petits propos sur la littérature nomade, vous invite à suivre "Papa" dans ses aventures picaresques et à découvrir la vision éminemment moderne de ce représentant de la Lost Generation qui, n'ayant plus rien à perdre, osa tout.

02/2014

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Musique, danse

Albéric Magnard

Voilà un compositeur français majeur auquel ses contemporains tout comme la postérité ont fait payer fort cher son refus hautain de toute concession vis-à-vis du monde et de ses modes, tout comme sa prétendue inactualité. A une mort tragique à quarante-neuf ans, en 1914, carbonisé dans sa propriété en feu qu'il défendait, les armes à la main, contre l'envahisseur allemand, a fait suite un désintéressement progressif jusqu'à l'oubli à l'égard d'une œuvre profondément française bien qu'empreinte également d'un certain germanisme. Et pourtant ce fils du successeur du fondateur du Figaro bénéficiait au départ, outre de fortes dispositions musicales, d'un réseau de relations et d'une considération que lui valait le rôle influent de son père. Mais ce misanthrope farouchement indépendant peu tendre pour le genre humain en général et pour nombre de ses confrères en particulier préféra littéralement se terrer avec sa famille dans son manoir isolé de l'Oise, défendant ainsi son " silence " contre les grondements d'un XXe siècle commençant. Idéaliste, il épousa cependant certaines causes et idées les plus nouvelles de son temps. C'est ainsi qu'il compose un Hymne à la justice en écho à l'affaire Dreyfus, qu'il fait créer sa 4e Symphonie par un orchestre à majorité féminine, et qu'il décide de faire graver ses œuvres par une obscure imprimerie communiste. Exigeant dans la vie, il l'est tout autant dans son œuvre. Puisant à la source beethovénienne, sa musique puissante, d'une magnifique veine mélodique, aux accents parfois brucknériens, rejoint les audaces du premier Schoenberg. Loin de l'impressionnisme ambiant, il emprunte une voie qui s'inscrit dans la tradition des grandes formes (symphonies, sonates, quatuor, opéras, dont Guercœur et Bérénice).

03/2001

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Littérature française

Daily fiction. Histoires de la vie ordinaire

Ce sont des passants dans les rues de Brooklyn, de Paris ou d'Odessa. Peu importe, en fait. Un regard, une ombre sur le mur, une phrase à peine entendue, des choses comme on en voit tant, tous les jours, sans y prêter attention. A tort : Matthieu Raffard et Albéric d'Hardivilliers nous offrent ces instantanés de la vie ordinaire avec un relief et une sagacité nouvelle. L'écriture investit le hors-champ de l'image, le quotidien devient le socle d'une histoire à mille ramifications. Avec ironie parfois, mais toujours tendres et bienveillants, les deux auteurs dessinent une humanité sur le fil, et chacun de ces anonymes, fragiles et magnifiques, de devenir soudain les héros du monde contemporain. La recette est simple, un jeu d'enfant : chaque jour, une photo inspire une histoire de quelques lignes. L'effet est marquant, vif, frais, revigorant. Pendant deux ans, le photographe et l'écrivain ont extrait de la gangue du quotidien, de l'insignifiant porté par le hasard, une matière insolite. Cette centaine de fictions proposent de véritables illuminations. La plage qui se vide, un fils qui visite sa mère, l'inconnue du bistrot, ou cette lumière étrange qui tombait sur Manhattan... Daily Fiction est un beau livre. Par cette combinaison originale de la photographie et de la fiction, par la fraîcheur qui s'en dégage, par la justesse et la nervosité du trait, aussi vif qu'un instantané. Des petits bouts de bonheur, des nouvelles à lire et à voir telle une friandise que l'on s'accorderait tous les soirs. D'Odessa à New York, de Dunkerque à Stockholm, ces quidams deviennent soudain les héros anonymes de notre monde contemporain et renvoient à quelque chose d'universel.

10/2012

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Littérature française

Les brumes d'Albérich

C'était une voix inhumaine, émise par un gosier géant hurlant dans une caverne. Plusieurs phrases résonnèrent, séparées par des intervalles irréguliers : « Cellules humaines, Attention ! Ne cherchez pas à aller plus loin, car vous seriez anéanties ». La voix, aux sons broyés et malaxés, passait à travers le crâne d'Hermann comme un fleuve en cru, charriant dans ses sonorités chuintantes une épouvantable menace. Dans le cerveau d'Hermann, aux neurones envahis d'une ivresse sauvage, une Créature trouble, impure et bouillonnante s'avança. Subissant des métamorphoses mystérieuses, des morceaux d'ombre sortaient d'elle, se détachaient, se contorsionnaient, spasmaient, se composaient on ne savait quelle forme avec l'obscurité, prenaient vie et s'en allaient à travers les éthers. C'étaient les prolongements du dieu ; c'étaient les Ases, les Nibelungen et les Profonds. Ils vivaient à l'extrémité des cercles noirs de son aura. Et du fond du sarcophage de limon, son Esprit transperça celui du naute. Ainsi se présenta Wotan, sphinx terrible proposant l'énigme terrible. L'énigme du Mal.

10/2015

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Littérature française

La mort d'Albéric Magnard. 3 septembre 1914

" Magnard (Albéric), compositeur français (Paris 1865 - Baron, Oise, 1914). On lui doit de nombreuses oeuvres symphoniques ainsi que des oeuvres dramatiques. Son langage musical est âpre et grave, souvent émouvant. A. Magnard fut tué par les Allemands dans sa maison de campagne. " (Grand Larousse encyclopédique) " Magnard recula de quelques pas, sans lâcher son revolver, et s'assit sur le tabouret du piano. Il resta là, immobile, dans une odeur de poudre, à regarder la fumée que striaient les rais du soleil filtrés par les interstices des persiennes. Sa tête était vide, mais il sentait qu'il avait fait la seule chose qui convînt. Une petite idée qui l'amusa lui traversa la tête : "Ma musique sera oubliée depuis belle lurette qu'on se souviendra encore de mon geste." "

10/2014

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