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Ainsi parlait Napoléon. Amour, pouvoir, politique... Les maximes d'un chef

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Dossier

Réussir le crime parfait, en 10 leçons

Le colonel Moutarde, la bibliothèque et le chandelier évoquent aujourd'hui quelque chose de délicieusement suranné. Pourtant, les parties endiablées de Cluedo à la recherche d'un coupable ont suscité des heures d'amusement. La victime méritait bien que son assassin soit identifié. Et au fil des indices, la vérité éclatait. Peut-être parce que ce cher Colonel n'avait pas suffisamment réfléchi son coup. Puisse ce dossier lui venir en aide... 

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Dossier

L'oiseau moqueur de Harper Lee, un chef d'oeuvre à la peau dure

L’histoire que raconte Jean Louise Finch, alors âgée de six ans, est devenue l’un des plus grands classiques de la littérature américaine. To Kill a Mockingbird, prix Pulitzer Littérature 1961, un an après sa sortie, est réputé pour son humour et sa chaleur, alors qu’il traite de viol et d’inégalité raciale.

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

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Dossier

Sangre : espoir, désespoir, rage et amour

Lorsqu'on évoque le monde de la bande dessinée, certains noms se démarquent instantanément. Christophe Arleston est l'un de ces talents incontournables. Avec une plume affûtée et une imagination débordante, il nous a offert de nombreuses sagas captivantes. Parmi elles, "Sangre" se distingue par son originalité et sa profondeur.

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Dossier

Affaire Renaudot : un auteur autoédité chez Amazon qui dérange

Depuis 1926, le prix Renaudot n’aura jamais autant fait parler de puis qu’en cette édition 2018. La présence d’un ouvrage autopublié chez Amazon, manifestement chouchou de Patrick besson, fait désordre. 

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Dossier

La famille : entre amour et drame, les joies de la fratrie

La famille : soit on ne l’a pas choisi, soit on s’en fabrique une. Elle peut être le dernier endroit de la gratuité dans les relations ou le royaume des pires sévices. C’est également la famille politique, une famille en esprit, ou une « parenté d’oreille ». Objet multiforme et romanesque par excellence, la littérature s’en est servie pour certaines de ses plus belles créations.

Extraits

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Napoléon

Ainsi parlait Napoléon. Amour, pouvoir, politique... Les maximes d'un chef

Grand capitaine, conquérant, administrateur, souverain, Napoléon a exploré l'art de mener les hommes de mille façons. Pour en tirer le meilleur, il a joué sur tous les registres de la psychologie. Ce qui donne à ses opinions une force et une vivacité inaltérables. Art militaire, femmes, beaux-arts, réussite, vices, vertus, presse, surnaturel, histoire, législation... rien n'échappe à sa sagacité. En tout, il fait preuve de hauteur, de profondeur, de bienveillance. D'autorité et de sagesse. De lucidité. Par-dessus tout il est toujours positif. Plein d'énergie. Il ne s'arrête jamais aux tares, aux défauts, aux difficultés, aux échecs : tant qu'on peut agir, il y a de l'espoir, il faut réussir. Ses maximes révèlent une pensée supérieure, un homme attachant... et des traits de caractère agaçants. Il est pardonné : c'est un génie !

04/2021

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Littérature française

Ainsi parlait Chateaubriand. Dits et maximes de vie

L'oeuvre de Chateaubriand, disciple de Rousseau, est traversée par l'urgence et par la puissance du désir. Se comparant lui-même au " Juif errant qui ne devait plus s'arrêter ", il a connu la faim et la misère durant son exil en Angleterre, mais aussi le faste des ambassades lors de sa carrière publique de diplomate. Poète-voyageur, il se nourrit de ce changement perpétuel : " J'étais homme et je n'étais pas homme ; je devenais le nuage, le vent, le bruit. " Car si Chateaubriand voyage tant, de n'est pas par simple curiosité, c'est pour retrouver une unité de sens dans un univers qui se disperse : " Je me suis rencontré entre deux siècles, comme au confluent de deux fleuves ; j'ai plongé dans leurs eaux troublées, m'éloignant à regret du vieux rivage où j'étais né, nageant avec espérance vers une rive inconnue. " A la fin de sa vie, il s'interroge : " Ai-je une patrie ? " et si oui, y " ai-je jamais goûté un moment de repos ? " Attentif " au bruit lointain d'une société croulante ", il constate sa solitude face aux bouleversements de son temps : " J'ai toujours eu horreur d'obéir et de commander ", écrit-il. Il a 76 ans quand, dans sa sublime Vie de Rancé, son dernier ouvrage, il observe : " Je ne suis plus que le temps. " Ce temps, il sait pourtant que, grâce à l'écriture, il n'aura pas été vain : " Pourquoi me plaindrais-je de la rapidité des jours, puisque je vivais dans une heure autant que ceux qui passent des années à vivre ? "

05/2023

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Littérature française

Ainsi parlait Georges Bernanos. Dits et maximes de vie

En épigraphe de sa préface, Gérard Bocholier cite cette phrase révélatrice de Bernanos : " Qu'importe ma vie ! Je veux seulement qu'elle reste jusqu'au bout fidèle à l'enfant que je fus. " D'instinct Bernanos déteste les postes, les fonctions, les honneurs. Tout cela qui ne peut que nous tromper. Nous ne sommes pas faits pour ça. Vivre est une aventure, pas une boutique. Avant que l'argent ne prenne le pouvoir en toutes choses, les hommes le savaient bien : " C'étaient des gens qui savaient vivre, et s'ils sentaient un peu fort la pipe ou la prise, ils ne puaient pas la boutique, ils n'avaient pas ces têtes de boutiquiers, de sacristains, d'huissiers, des têtes qui ont l'air d'avoir poussé dans les caves. " Bernanos n'a pas de mots assez durs pour ceux qu'il nomme les " réalistes " ou les " cyniques ", tous ceux qui apportent leur consentement ou leur soumission au " conformisme universel, anonyme ". Bernanos dénonce les ruses de ce type nouveau d'homme égoïste, logicien, hypocrite, ne vivant que pour le profit et la jouissance. D'où aussi, sur le fond, sa rupture avec Maurras, dont l'esprit lui paraît " abso-lument dépourvu, dépouillé, destitué de toute charité ". Polémiste, Bernanos ? Certes il admirait Bloy et sa plume était vive. Mais il détestait ce terme. Bien plutôt un " combattant de l'Esprit ", n'écrivant que pour se justifier " aux yeux de l'enfant " qu'il fut et qui ne veut pas mourir " sans témoigner ", qui va " jusqu'au bout du vrai, quels qu'en soient les risques". " C'est dire, souligne Gérard Bocholier, l'actualité toujours présente, toujours pressante, de Bernanos en notre XXIe siècle. "

09/2019

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Dictionnaires des citations

Ainsi parlait Eugène Delacroix. Dits et maximes de vie

Les écrits de Delacroix se partagent en trois ensembles : le Journal (1800 p.), plusieurs volumes de correspondance, les articles publiés en revue. Delacroix redoute toujours de figer les choses, que ce soit par la forme qui cerne ou par la pensée qui définit. Pour lui la matière est vie et la peinture espace en mouvement. Ce solitaire est toujours en dialogue, ce pessimiste est toujours en recherche de nouveauté. Reconnu et commenté dès ses premières présen-tations, il a aussi été haï jusqu'à sa mort. Jamais on ne lui a permis d'enseigner, et il n'est admis à l'Institut qu'à sa 7e candidature. Delacroix choque, car il montre la violence et le tragique du monde : guerres, crimes, suicides, viols, corruption. " Le sauvage revient toujours, écrit-il. La civilisation la plus outrée ne peut bannir de nos villes les crimes atroces qui semblent le partage des peuples aveuglés par la barbarie. " Il y une profonde parenté entre Baudelaire et Delacroix, dans la violence et la cruauté même. Mais Baudelaire déteste la nature, Delacroix l'aime profon-dément. Baudelaire déteste la femme, Delacroix la respecte. " Delacroix n'a pas et n'aura pas de vieillesse, écrivait George Sand. Il est, dans son art, l'innovateur et l'oseur par excellence. " Quelques semaines avant de mourir, il écrit les dernières lignes de son Journal : " Un tableau doit être une fête pour l'oeil ". Sagesse pratique de Delacroix : opposer la joie de l'art au tragique inexorable de la vie.

10/2023

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Critique

Ainsi parlait James Joyce. Dits et maximes de vie

On a célébré en 2022 le centenaire d'Ulysse, le chef d'oeuvre de l'écrivain irlandais James Joyce et, avec La Recherche du Temps perdu de Proust, l'une des oeuvres majeures de la littérature du XXe siècle. Si la personnalité de Proust nous est connue dans ses moindres détails, la figure de Joyce reste en revanche très énigmatique. Génie ou farceur ? Ou les deux ? A coup sûr Joyce est un écrivain multiple. Il y a l'auteur des Gens de Dublin avec leurs célèbres "épiphanies" . Il y l'autobiographe encore plutôt classique du Portrait de l'Artiste en jeune homme. Et il y a ce livre étrange, Ulysse, qui change tout : dans les 700 p. de cette Odyssée vertigineuse et cocasse, c'est l'universel quotidien qui nous est révélé à travers les faits et gestes de Leopold Bloom au cours d'une unique journé à Dublin. Il y a enfin cette oeuvre testamentaire, Finnegans Wake où se mêlent langues, mythes et rêves, au risque d'en devenir illisible. Comme Proust, Joyce est devenu un mythe. Comme lui il a sa propre géographie. Non pas Combray, Balbec et Venise. Mais Dublin, Paris, Trieste, Zurich. A Nice, au bord de la baie des Anges, un hôtel rappelle qu'ici Joyce a commencé d'écrire Finnegans Wake en octobre 1922. Comme Proust, il a engendré une sorte d'idolâtrie, ses habitudes et ses manies servant de références ultimes. Comment aborder un tel monument à travers un volume de la collection Ainsi parlait ? C'est un défi qu'a relevé Mathieu Jung, spécialiste de l'écrivain irlandais et coordinateur de l'hommage que lui a rendu la revue Europe en 2022. Il nous offre ainsi l'indispensable initiation à une oeuvre-monde.

09/2023

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Littérature française

Ainsi parlait André Gide. Dits et maximes de vie

En 2019 le plus grand journal luxembougeois titrait : " Relecture d'un classique à l'ère du #metoo : faut-il bannir l'oeuvre d'André Gide ? " Les Nourritures terrestres, parues en en 1897, ont été dans une époque encore étroitement conformiste un évangile de libération : " Une existence pathétique, Nathanaël, plutôt que la tranquillité. " En plein symbolisme, Gide invitait avec une force inouïe, à revenir au naturel et à la vie authentique. Qui est André Gide ? Le Journal le montre tout à la fois sincère, esthète, immoraliste, nomade, engagé, pervertisseur. Gide préfère l'inquiétude à toute forme de tranquillité morale ou intellectuelle : " Je ne suis qu'un petit garçon qui s'amuse, écrit-il, – doublé d'un pasteur protestant qui l'ennuie. " Comme Montaigne, il n'est que mouvement : " Tour à tour je ressemble et diffère. " Gide place la sincérité au sommet de toutes les vertus. Elle est à la racine de toute morale authentique : " Ne pas se soucier de paraître. Etre seul est important. " Gide vit jusqu'au bout cette exigence comme un drame, dont le noeud se situe en lui-même. La matière de la création littéraire gidienne est constamment faite de problèmes moraux. Ceux-ci en sont " l'étoffe ", mais ils sont subordonnés à l'art : " Ne prendre chacun de mes livres que pour ce qu'il est : une oeuvre d'art. " Cinq ans avant sa mort, il écrit dans son Thésée : " Il m'est doux de penser qu'après moi, grâce à moi, les hommes se reconnaîtront plus heureux, meilleurs

05/2022

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