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Adrien Leroy

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Ecrits sur l'art

EUGÈNE LEROY

Ce livre reprend les textes du catalogue de l'exposition "Eugène Leroy - Peindre" édité par Paris Musées. Il est enrichi d'une chronologie retraçant la vie de l'artiste et d'un cahier d'images en couleur.

06/2022

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Beaux arts

Eugène Leroy

C'est avec une exemplaire humilité, mais non sans robustesse, que la peinture d'Eugène Leroy traverse toutes les modes artistiques de ces cinquante dernières années. Si, depuis le début des années quatre-vingt, cette peinture a fini par s'imposer internationalement, c'est qu'il est dans sa nature de se livrer tout en se protégeant. Le peintre aime à rappeler comment son activité consiste essentiellement à réactiver une émotion originelle faite de deux "sons justes".
Une émotion pour lui liée au "geste" — c'est-à-dire à l'image et à la vie — qui rend possible la peinture, mais qui n'est pas la peinture. Il faut voir les oeuvres d'Eugène Leroy comme des champs de bataille où s'affrontent impitoyablement, mais aussi fraternellement, hors de tout expressionnisme, ces deux dimensions. Cette oeuvre singulière ne relève en rien d'un quelconque matiérisme : Leroy considère l'épaisseur de ses tableaux, ainsi que l'acharnement qu'il met à reprendre indéfiniment ses toiles, davantage comme une fatalité inscrite au coeur de la peinture que comme une volonté stylistique.
Par-delà l'épaisseur, c'est la lumière qui est ici en jeu. Une lumière qui ne renvoie pas au pittoresque, mais au déploiement même de la peinture. Un déploiement qui est une fête pour les sens, la mise en oeuvre d'une énergie-harmonie qui aujourd'hui s'exprime avec bonheur et fulgurance. A un texte analytique et distant, Bernard Marcadé a préféré l'accompagnement et l'écoute d'une pensée. "Ecouter la parole de Leroy, dit-il, c'est déjà commencer à aborder une peinture qui s'entend autant qu'elle se voit".
Deux entretiens et une biographie détaillée complètent cette première monographie consacrée à Eugène Leroy.

05/1994

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Littérature étrangère

Ballade pour Leroy

La première chose que voit Leroy lorsqu'il sort du coma, c'est la photo d'une pin-up en bikini aux couleurs du drapeau américain. Une vision aussi nette que les sept années qui séparent son départ pour l'Irak de cet instant précis où il se réveille dans un établissement spécialisé. Lui qui avait oublié jusqu'à son nom pourra-t-il redevenir un jour celui qu'il a été ? Alors qu'il prend une terrible décision, son destin va bouleverser la vie de ceux qui gravitent autour de lui : Freddie, un gardien de nuit, Pauline, une infirmière, sa petite amie Jeanette et sa mère Darla, qui continue à lui lire à haute voix des romans de science-fiction. Pendant que Leroy lutte dans un inquiétant monde parallèle pour sauver sa peau... Après Motel Life et Plein nord, Willy Vlautin signe un roman très fort sur les oubliés du rêve américain. Un livre magnifique sur ceux qui s'accrochent à la vie envers et contre tout, où courage et bienveillance font contrepoids à la noirceur du quotidien. " Profondément émouvant, le roman de Willy Vlautin touche en plein coeur et rappelle le meilleur de Steinbeck. " Library Journal

02/2016

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Beaux arts

Eugène Leroy. Autoportrait

Eugène Leroy (1910-2000) est une référence pour l'histoire de la peinture contemporaine. Des toiles expressionnistes qui le firent connaître au milieu du XXe siècle aux vastes empâtements qui ont considérablement marqué la scène artistique internationale depuis une trentaine d'années, Eugène Leroy a construit un œuvre très personnel, au croisement des débats qui animent la question de la peinture dans l'art contemporain. Sa longue pratique artistique lui a permis d'approfondir ce questionnement jusqu'à la fin et ainsi d'être non seulement une source, mais aussi l'expression la plus aboutie de cette réflexion nourrie d'une formidable culture. Parmi les thématiques traversant l'œuvre de Leroy, l'exercice de l'autoportrait intervient avec un entêtement jamais démenti rappelant les obsessions de Rembrandt. Traitée à l'huile, au fusain, au burin, l'image de l'artiste est un motif récurrent qui, abordé avec plus ou moins d'évidence ou de complexité, est une sorte de fil d'Ariane dans le labyrinthe d'une vie de création.

07/2004

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Fantastique

Adrien

C'est pour ça que les vampires ne voient pas leur reflet dans les miroirs... Ils ont une sale gueule... ADRIEN Cloîtré dans son petit studio, Adrien vit un enfer, maudissant la responsable de son malheur. Désormais incapable d'affronter la lumière vive du soleil, il appréhende la terrible mutation qu'il subit nuit après nuit. Poussé par une inextinguible soif de sang, il se décide enfin à arpenter les toitures parisiennes, persuadé d'avoir trouvé un remède à son état. Adrien résistera-t-il à ses pulsions meurtrières ? Une fois de plus, Nil Borny flanque un coup de pied dans la fourmilière du genre, mélangeant les mésaventures d'un jeune vampire malgré lui avec une enquête policière. Fidèle à lui-même, le conteur de sornettes n'hésite pas à casser bon nombre de codes en émaillant son récit d'action, d'amitié, d'amour et d'un zeste de cynisme.

09/2023

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Littérature française

Adrien

De l'autre côté de la rue, il y avait le lycée, les cafés, il y avait les aînés, les flâneries dans les rues de la ville... il y avait tous les rêves, Julie, Marthe ou Madame Arnoux, c'était selon. Il y avait Salomé, ... Et puis Elsa. Au sortir du lycée, il y avait la plage, il y avait les amours, les vitrines, et les néons qui flambaient de toutes leurs modernités - tourne-disques et transistors, trente-trois tours, livres de poche et mocassins Iowa, vélo Solex et Vespa... Parler, lire, écouter, s'indigner, disputer, manifester, c'était la même chose. La vie ressemblait à ce qu'en disaient les livres... "La vie est à nous... " comme le croyait toute la génération de l'après-guerre. Sur le port, le Génie de la mer, l'homme de Cuverville comme on l'appelait montrait l'horizon. Là-bas était l'aventure, là-bas était la vraie vie... Mais à la nuit, la ville s'éclairait d'une étrange lueur bleutée. Celle d'un petit écran bombé dont les images sous le discours lénifiant montraient toutes les cruautés du monde et jetaient sur nos joies un voile d'angoisse et d'inquiétude... Le monde n'était pas beau et les hommes n'étaient pas bons ! De l'autre côté de la Rade, il y avait la Méditerranée, il y avait l'Algérie où il faudrait peut-être mourir un jour... Toulon 1956-1962... Années de ce temps et de ce lieu où l'on ne faisait que passer, devenues "choses d'un monde inachevé" selon la belle formule de Carlos Fuentes, "transformées, changées en Histoire, en narration, en langage, en expérience, en lecture sans fin... "

10/2011

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