Recherche

Adèle Van Reeth

Extraits

ActuaLitté

Non classé

Ouh là l'art !

Botticelli est-il devenu fanatique ? Pourquoi Chagall peint-il des personnages qui volent ? Matisse et Picasso es étaient-ils amis ? Pourquoi Georgia O'Keeffe peignat-elle des fleurs ? A quoi pense Le Penseur de Rodin ? Pourquoi Soutine peignait-il des cadavres d'animaux ? Arcimboldo était-il à la mode ? Pourquoi certaines peintures de Goya sont-elles noires ? Pourquoi Picasso a-t-il peint Guernica en gris ? Picasso était-il communiste ? A quoi ressemblent les héros de Baselitz ? Comment Vivian Maier devint-elle la nounou la plus célèbre du monde ?

10/2021

ActuaLitté

Non classé

La vie ordinaire

"Les tracas domestiques sont des drames en robe de chambre. A tout moment, ces phrases ("qui voudra de la tisane ? "), objets (le dessous de plat en liège légèrement brûlé) ou événements ("j'ai ENCORE perdu mes clefs, tu m'ouvriras ? ") transpercent l'épais matelas de déni qui enrobait, croyais-je, mon univers domestique." Dans ce texte très personnel, Adèle Van Reeth déploie une fascinante réflexion sur l'ordinaire de nos vies intimes. Alors que chacun côtoie la tragédie et le miracle - la mort et la naissance -, l'entre-deux n'est-il fait que d'ennui et de soubresauts ?

02/2022

ActuaLitté

Non classé

Vivre et revivre encore

"Attention, lecture addictive ! On n'envoie pas impunément la balle de l'actualité à une philosophe véloce comme Adèle Van Reeth. Elle vous la renvoie avec une puissance et une érudition jamais dénuée de fantaisie, qui chaque fois vous emportent et vous emplissent de gratitude autant que de gai savoir. On n'imaginait pas - même si on s'en doutait un peu, à la longue... - qu'en la mettant au défi de philosopher sur, dans le désordre, le sport, les jeunes, les femmes, le pétrole, l'opinion ou encore ces fous d'Anglais ou cette étrange madame Merkel, qu'elle nous saisirait chaque fois par tant de profondeur [...] Maintenant, bon voyage, Adèle Van Reeth a de bonnes nouvelles pour nous. Avant que d'apprendre à mourir, les philosophes nous aident à vivre. " Eric Fottorino, Directeur de l'hebdomadaire Le 1.

03/2021

ActuaLitté

Non classé

La vie ordinaire

"La vie ordinaire est une vie d'hypocrite. On fait comme si c'était "déjà ça" de vivre "tranquillement", comme si on ne voulait pas d'aventure. Comme s'il suffisait de se la couler douce dans les plis du laisser-être pour atteindre la tranquillité tant recherchée. Sauf que la plupart du temps, on n'y arrive pas. Puisque l'existence humaine est à la fois provisoire et continue, puisque rien ne dure et que le temps ne se retient pas, la tranquillité n'est pas de ce monde. Et c'est tant mieux. Que le dard de l'intranquillité vous pique encore et encore ! Demandez-vous, au moins une fois, si le nombre d'années parcourues, les épreuves et les angoisses endurées, si vous avez vécu tout ça pour vous réfugier dans la mauvaise foi de l'émerveillement ordinaire, sans jamais vouloir fouiller en dessous, remuer la vase qui étouffe vos désirs et vous fait croire qu'être quelqu'un, c'est peser lourd, et s'accrocher aux horaires comme si la vie en dépendait".

06/2020

ActuaLitté

Littérature française

Inconsolable

Le chagrin conduit le coeur vers la littérature et la philosophie dans l'espoir d'y trouver une consolation, comme un enfant se réfugie dans les bras de sa mère. Mais les mots des autres ne consolent pas. Regarder la mort en face, n'est-ce pas constater notre condition d'êtres résolument inconsolables ? Qu'est-ce que ça change, vraiment, de perdre son père ? Sans croyance en un au-delà, que signifie l'ultime disparition de ce qui est ? A. V. R.

08/2024

ActuaLitté

Littérature française

Inconsolable

Le chagrin conduit le coeur vers la littérature et la philosophie dans l'espoir d'y trouver une consolation, comme un enfant se réfugie dans les bras de sa mère. Mais les mots des autres ne consolent pas. Regarder la mort en face, n'est-ce pas constater notre condition d'êtres résolument inconsolables ? Qu'est-ce que ça change, vraiment, de perdre son père ? Sans croyance en un au-delà, que signifie l'ultime disparition de ce qui est ? Rien ne change, et pourtant le monde n'est plus le même. Il faut s'habituer à vivre dans un monde sans lui. La vie continue, les matins se succèdent, les enfants grandissent, un nouveau chat rejoint la maison, et après la grande tristesse c'est la peur de l'oubli qui survient. Et si tout redevenait comme avant ? La vie, même dans l'impossible face-à-face avec la mort, se trouve dans cette alternative : quand le temps s'étire, on s'ennuie ; quand le temps s'arrête, on gémit. Le drame n'est-il qu'une suspension provisoire de nos soucis ? Mais alors, nous autres, êtres inconsolables, avons-nous la possibilité de jouir de l'existence en connaissance de cause ?

01/2023

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté