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Abdellatif Laâbi, Yassin Adnan

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Poésie

Anthologie de la poésie palestinienne d'aujourd'hui

Un de ces jours j'arracherai la porte et me mettrai debout à sa place afin de m'interdire de sortir vers la fosse du monde Mazen Maarouf Cette anthologie pose un acte fort : réunir les plumes les plus prometteuses de la nouvelle poésie palestinienne, rompre le silence en redonnant une voix à celles et ceux qui vivent aujourd'hui dans la pénombre de l'impasse, presque invisibles, en tout cas inaudibles. S'y révèle un champ poétique entièrement renouvelé, espace sans limites où tout est encore possible : écrire, aimer, rêver, voyager loin, penser librement. "Jamais auparavant nous n'avions eu, venant de l'aire culturelle à laquelle ces femmes et hommes appartiennent, une poésie s'inscrivant avec autant de naturel dans ce qui se fait de plus pertinent, de plus percutant en matière de poésie contemporaine". Abdellatif Laâbi Textes réunis par Yassin Adnan Choisis et traduits de l'arabe par Abdellatif Laâbi

03/2022

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Littérature étrangère

Hot Maroc

Hot Maroc est l'histoire d'un antihéros, Rahhal, personnage insignifiant, lâche et timoré qui, par le biais des réseaux sociaux, règle ses comptes avec ses "ennemis intimes", c'est-à-dire toute personne ayant mieux réussi que lui. Son immense aptitude à nuire par clavier interposé est découverte et appréciée à sa juste valeur par les services de sécurité. Et le voilà soudain contraint d'utiliser ses talents de blogueur pour répandre sur la puissante revue électronique Hot Maroc les rumeurs assassines et les fake news que lui dictent les taupes du gouvernement. Véritable radioscopie de la nouvelle société marocaine née des bouleversements socioéconomiques que connaît le pays depuis les années 1980, ce premier roman de Yassin Adnan dénonce avec verve tous ceux qui, à l'ombre du pouvoir, bloquent la marche du Maroc vers la démocratie. Qu'il s'agisse de bourgeois affairistes, de prédicateurs démagogues, d'universitaires prétentieux ou d'anciens militants apprivoisés, tous se retrouvent impliqués à leur insu dans la féroce "comédie animale" imaginée par le diabolique Rahhal, et brillamment restituée par l'auteur.

03/2020

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Littérature française

Marrakech, lieux évanescents

Ce livre est une restauration symbolique de la ville de Marrakech, des palimpsestes réécrivant par amour ses pages effacées, un travail collectif sur la mémoire de la ville ocre. Des écrivains de Marrakech sollicitent, chacun de son côté, sa mémoire pour déclencher le jeu de la restitution et se rappeler des endroits que la ville a perdus. C'est prendre parti pour la mémoire et signaler que les mutations dans lesquelles s'inscrit Marrakech peuvent être, nonobstant leurs aspects parfois positifs, très dures pour la mémoire et l'affect.

05/2018

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Policiers

Marrakech noir. 15 nouvelles noires inédites

15 nouvelles noires, inédites en français, qui emmènent le lecteur hors des quartiers touristiques et dessinent un portrait méconnu de Marrakech, pour une "immersion choc dans l'univers sombre de la ville ocre". Avec des textes de : Halima Zine El Abidine, Mohamed Achaari, Taha Adnan, Yassin Adnan, Lahcen Bakour, Abdelkader Benali, Mahi Binebine, Allal Bourqia, Hanane Derkaoui, Fouad Laroui, Fatiha Morchid, Karima Nadir, Mohamed Nedali, My Seddik Rabbaj, Mohamed Zouhair. Langues d'origine : arabe (Maroc), français, néerlandais. Traduction de l'arabe : Catherine Charruau, Mohamed Hmoudane, France Meyer. Traduction du néerlandais : Daniel Cunin.

01/2020

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Poésie

La saison manquante suivi de Amour Jacaranda

La Saison manquante, suivi de Amour-jacaranda : Abdellatif Laâbi revient sur le plus intime de la condition humaine. Amour et combat constitue les ferments de la quète de liberté du poète qui se fera, pour l'occasion, impertinent et, pourquoi pas, jouissif.

05/2014

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Poésie

L'arbre à poèmes. Anthologie personnelle 1992-2012

Abdellatif Laâbi est né à Fès en 1942, au temps du protectorat français au Maroc. Son père est artisan sellier, et sa mère, femme au foyer. Il sort à peine de l'enfance lorsque son pays accède à l'Indépendance. Après des études universitaires à la faculté des lettres de Rabat, il est nommé professeur de français dans un lycée de la capitale. Sa vocation pour la culture se décide tôt. Encore étudiant, il est l'un des créateurs du Théâtre universitaire marocain, qui met en scène des pièces de Bertolt Brecht et de Fernando Arrabal. A la radio nationale, il anime brièvement deux émissions littéraires. En 1966, il fonde avec un groupe de poètes et de peintres la revue Souffles, qui aura un vrai rayonnement, notamment à l'échelle du Maghreb. Au Maroc, elle jouera un rôle déterminant dans le renouvellement des formes d'expression littéraires et artistiques, ensuite dans la contestation de l'ordre social et politique qui régnait à cette époque. La revue est interdite en 1972 et Laâbi est arrêté, torturé, puis condamné à dix ans de prison. Libéré en 1980, suite à une campagne internationale en sa faveur, il quitte le Maroc cinq ans plus tard pour s'installer en banlieue parisienne. Dès lors, son oeuvre, essentiellement poétique, touche néanmoins à tous les genres : roman, théâtre, livres pour la jeunesse, écrits sur la culture, essais politiques... Pour autant, il ne renonce pas à ses engagements d'intellectuel citoyen. Ses interventions se multiplient, tant en France qu'au Maroc, contre le despotisme, les obscurantismes de tout bord, et en faveur de la dignité humaine, des libertés et du dialogue des cultures. L'anthologie personnelle qui paraît en Poésie/Gallimard a pour but d'arpenter le continent poétique d'Abdellatif Laâbi sur un trajet de plus de vingt ans et de se laisser traverser par sa parole rebelle autant que généreuse, parole " adressée ", ouverte au partage, qui apporte une réponse sans qu'il soit besoin de discourir. " Lecture roborative, souligne Françoise Ascal dans sa préface, qui lève les doutes quant au pouvoir des mots. La suspicion contemporaine à leur égard, souvent martelée par les poètes eux-mêmes, en est désarmée. La poésie de Laâbi est incarnée, vibrante de toutes les passions humaines, elle va droit à l'essentiel, n'a peur de rien, se joue des modes esthétiques, du poétiquement correct, elle témoigne avec simplicité de ce qui est complexe, elle explore sans répit la condition humaine, entre misère et grandeur pascaliennes, et souffle sur nos capacités de résistance comme sur des braises. "

01/2016

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