Cet ouvrage n’a ni l’ambition ni la prétention d’être une réflexion raisonnée, encore moins de répondre à des considérations politiques, car l’heure et la primauté est à l’émotion. Donner la parole à ceux qui font Beyrouth, qui sont son essence, ceux qui y vivent, qui la vivent et la rende vivante est la motivation première de ce livre.