ROMAN FRANCOPHONE – Rendons en chœur à Thomas Gunzig ce qui lui revient justement : il y a dans ses romans une dimension balzacienne. Sans verser dans le gigantisme du maître, sa comédie d’une humanité foutraque et perdue n’en reste pas moins juste. Finement, et douloureusement juste. Surtout pour ces personnages, la douleur.