PODCAST – Elle revendique une passion pour l’Antiquité tardive, et plus spécifiquement le partage des lieux saints bibliques au Moyen-Orient. Après des études d’histoire de l’art, Dima Abdallah se lançe dans des études d’archéologie. Mais le volet préventif ne l’intéresse pas assez pour poursuivre dans cette voie. Elle a publié son premier roman, Mauvaises herbes (Sabine Wespieser Editeur). Un ouvrage sur l’exil et la famille, qu’elle nous raconte, dans ses connexions avec Camus, Kundera… depuis le Liban.