Face à la maladie de Samos, cet enfermement sans barreaux, enclave hors du temps, aux confins de la mer Égée et de la morale, qui prive le réfugié jusqu’au sentiment de son identité, l’éthique du médecin généraliste agonise, impuissante. Pour rendre vie à ce fondement de l’artisanat du soin, ce texte appelle une éthique de lutte à la rescousse.