• Newsletter
  • Contact
  • Dernières éditions
Inscription
Newsletter
Logo
soundcloud twitter facebook rss flicker youtube instagram
Recherche

En ce moment :

Sélection CNL : Nos amies les bêtes Pénurie de papier Vague de censure aux Etats-Unis Le monde littéraire en soutien à l'Ukraine
Recherche

Rubriques

Métiers Numérique Patrimoine Médias Éducation Insolite Livres

Multimédia

Vidéos Podcasts

À la loupe

Éditos Tribunes Humeurs Enquêtes Reportages Interviews Dossiers
Sortir Prix Littéraires
  • Livres
    • Avant-critiques
    • Avant-parutions
    • Chroniques
    • Ensablés
    • Extraits
    • Meilleures ventes
    • Vie littéraire
  • Métiers
    • Auteurs
    • Bibliothèque
    • Distribution
    • Droit / Justice
    • Economie
    • Edition
    • International
    • Librairie
    • Politique publique
  • À la loupe
    • Edito
    • Enquêtes
    • Humeurs
    • Interviews
    • Reportages
    • Tests
    • Tribunes
  • Numérique
    • Acteurs
    • Audiolivres
    • Ebooks gratuits
    • Législation
    • Technologie
    • Usages
  • Podcasts
    • Métiers du livre
    • Comment tu fée Comment vous fêtes
    • Onde et chiffres
    • Vois Lis Voix Là
    • Les mots en boîte
  • Patrimoine
    • Archives
    • Bibliophilie
    • Enchères
    • Livres anciens
    • Numérisation
  • Médias
    • Adaptation
    • Jeux vidéo
    • Presse
    • Radio
    • Réseaux sociaux
    • Télévision
  • Education
    • Programmes
    • Ressources
    • Scolarité
  • Insolite
Recherche

9782818040959

  • Tous les articles
  • Chroniques
  • Avant-parutions
  • Extraits
  • Dossiers
  • Rédacteurs

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

La conscience

Le 12 novembre 1958, vers 16 h, j'ai déplié une vieille table de bridge devant la fenêtre de droite du grand salon parental rue Copernic et j'ai précipité un récit intime : mon ami jean Crinyème (Crin, prononcer Crine) a sonné, je lui ouvre, mon père intervient, le concert des voix enroule des cycles, titre adopté dès les premières pages. Des temps s'emboîtent la guerre de 14 selon les tantes, les Croisades selon Mamie, mon enfance à Dainville, le séjour de mes vingt ans au sanatorium. Fin janvier 1959, ayant produit cent pages, j'ai renoncé à la facilité du langage parlé. En octobre 1959, j'ai quitté la spacieuse clarté parentale au-dessus de laquelle A. M. et moi jeunes époux dormions et faisions la sieste dans une chambre de bonne sans eau pour le sombre studio de la rue des Tournelles. Les objets résistent à ma conscience, je sens cela depuis que la lecture de L'Imaginaire de Jean-Paul Sartre pendant ma classe de philosophie (1951-1952) m'a mené à l'intensité poétique d'Edmund Husserl, désormais mon écriture insiste. Elle insistera jusqu'à ce 12 novembre 2013.

11/2016

Top Articles

Sylvain Tesson, face à la mort dans La Grande librairie Grève à la Bnf : "un recul sans précédent du service au public" Une carte de bibliothèque strictement dévolue aux livres interdits Déportation des homosexuels : Zemmour ou la “négation de l'histoire”
Lettre d'information Flux RSS Contact Qui sommes nous ? Mentions légales Connexion
Politique de confidentialité Furet.com Decitre.fr Edistat, statistiques de l’édition Tendances et Célébrités
soundcloud twitter facebook rss flicker youtube instagram
© 2007 - 2020 - Actualitte.com. Tous droits réservés.