9782385080310

En 1799, des paysans bretons et normands s'arment pour le retour du roi et contre le consulat. Le ministre de la police Fouché envoie une espionne séduire et capturer leur meneur. Mais elle en tombe amoureuse. Le premier grand roman de Balzac, dans un style à la Walter Scott. Il gardera une opinion mitigée sur cette oeuvre qui le fit pourtant connaître du grand public. Une édition en grands caractères pour une lecture plus facile.

En 1799, en Bretagne, la guerre civile qui a opposé monarchistes et républicains n'est pas terminée. Le jeune marquis de Montauran à la tête des partisans royalistes harcèle les soldats de la république. Le ministre de la police, Fouché, veut s'emparer de lui et charge de cette mission son agent secret Corentin et la belle Marie de Verneuil qui devra séduire le marquis. Mais Marie tombe amoureuse de Montauran. Cela ne fait pas du tout les affaires de Corentin qui va lui tendre un piège.

1799, le Consulat. Des paysans bretons s'arment pour le retour du roi. Une aristocrate, Marie de Verneuil, est alors envoyée par le chef de la police, Joseph Fouché, pour séduire et capturer leur guide, le marquis de Montauran. Mais en s'infiltrant parmi les vendéens, Marie met sa propre vie en danger... alors qu'il semblerait que leur chef ne laisse pas la jeune femme complètement insensible.

1799, le Consulat. Des paysans bretons s'arment pour le retour du roi. Une aristocrate, Marie de Verneuil, est alors envoyée par le chef de la police, Joseph Fouché, pour séduire et capturer leur guide, le marquis de Montauran. Mais en s'infiltrant parmi les vendéens, Marie met sa propre vie en danger... alors qu'il semblerait que leur chef ne laisse pas la jeune femme complètement insensible.

Extrait : "Dans les premiers jours de l'an VIII, au commencement de vendémiaire, ou, pour se conformer au calendrier actuel, vers la fin du mois de septembre 1799, une centaine de paysans et un assez grand nombre de bourgeois, partis le matin de Fougères pour se rendre à Mayenne, gravissaient la montagne de La Pellerine située à mi-chemin environ de Fougères à Ernée, petite ville où les voyageurs ont coutume de se reposer".

Impression en "gros caractères" . Extrait : "Dans les premiers jours de l'an VIII, au commencement de vendémiaire, ou, pour se conformer au calendrier actuel, vers la fin du mois de septembre 1799, une centaine de paysans et un assez grand nombre de bourgeois, partis le matin de Fougères pour se rendre à Mayenne, gravissaient la montagne de La Pellerine située à mi-chemin environ de Fougères à Ernée, petite ville où les voyageurs ont coutume de se reposer".