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9782364905948

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Littérature érotique

Clayton's college

" On était au début de juillet, et c'est l'époque où, à Clayton-Davila, les orages sont les plus fréquents... " Le collège de filles de Clayton est presque désert. Comme celui des garçons de Davila, tout à côté. Seuls restent à Clayton le directeur, M. Boni, et sa femme ; Job, l'homme à tout faire ; deux femmes de charge et deux pensionnaires, la ravissante Brenda Fleming et l'attachante Conception. A Davila, demeure surtout le jeune et beau Joël Lincoln. Tout est prêt pour que l'orage éclate... Clayton's College, paru en 1948, connut les mêmes foudres de la censure que J'irai cracher sur vos tombes signé Vernon Sullivan (Boris Vian), sur le principe du roman " traduit de l'américain ". Longtemps interdit malgré une longue bataille juridique, c'est pourtant l'un des romans érotiques qui ont marqué la fi n des années 1940. On sait désormais que c'est l'oeuvre de José-André Lacour (1919-2005), romancier et dramaturge belge de grand talent.

06/2021

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Littérature érotique

Clayton's College

" On était au début de juillet, et c'est l'époque où, à Clayton-Davila, les orages sont le plus fréquent "... Le collège de filles de Clayton est presque désert. Comme le collège de garçons de Davila, tout à côté. Seuls restent à Clayton pour le moment le directeur, M. Boni, et sa femme ; Job, l'homme à tout faire ; deux femmes de charge et deux pensionnaires, la ravissante Brenda Fleming et l'attachante Conception. A Davila, demeure surtout le jeune et beau Joël Lincoln. Tout est prêt pour que l'orage éclate... Clayton's College, qui passait en 1948 pour une traduction de l'américain, est resté interdit des années, malgré une longue bataille juridique. Enfin réédité, il est aujourd'hui épuisé depuis longtemps. Et pourtant c'est un des érotiques qui ont marqué la fin des années 40. On sait aujourd'hui que c'est un texte d'origine française.

03/1999

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Littérature érotique

Clayton's College

" Et elle posa un doigt sur le flanc du jeune homme, où il y avait une éclaboussure, puis sur son genou, où il y avait une autre éclaboussure. Ensuite, comme avec distraction, elle laissait son doigt remonter et descendre le long de la cuisse de Joël. Elle eut enfin un rire de grande sœur indulgente et le regarda dans les yeux avec une expression à la fois naïve et amusée. - Eh bien ! Je vais donc vous laver, dit-elle. Vous n'avez pas honte, monsieur Joël Lincoln, de vous salir ainsi et de vous mettre en situation de vous faire laver par une femme... "

04/2008