Ecrire serait l'épicentre du jour
Un dialogue. Deux écritures. Des moments d'été. dans le Cantal, Marie-Hélène Lafon les note par le menu, dans un vrai-faux journal en fragments ; dans le Jura, Claire Angelini les saisit en dessins. Les étés débordent, les vies débordent, sont mêlées, emmêlées. Les coutures de l'autobiographie craquent. Le 14 juillet 2016, sur la promenade des anglais, troue la quiétude paisible et attentive des mots et des signes graphiques. Il les imbibe de sang. Le livre devient. Le rouge est mis.
11/2019