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9782266091688

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Littérature française

Splendeurs et misères des courtisanes

Après Le Père Goriot et Illusions perdues, Splendeurs et misères des courtisanes achève " la trilogie de Vautrin ". Ce héros des bas-fonds, bagnard faussaire et assassin, est aussi un amant sublime et un poète à sa manière, qui consacre ses forces de Titan et son imagination infernale à la fortune de l'homme qu'il adore : Lucien de Rubempré. Jamais Balzac n'a plus cruellement ôté ses masques à une société dont il pénètre les secrètes compromissions. Des milieux de la pègre et de la prostitution à ceux de la police et de la justice, jusqu'aux plus hautes sphères de l'Etat, c'est un diagnostic impitoyable de gangrène généralisée qu'il pose, entraînant son lecteur subjugué à la découverte des aventures du désir dans la jungle de Paris, avec une superbe énergie.

03/1993

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Littérature française

Splendeurs et misères des courtisanes

Balzac nous donne, dans Splendeurs et misères des courtisanes, la véritable image du corps social. En quatre épisodes qui pourraient être un roman-feuilleton, il crée le roman de mœurs le plus impitoyable. Presque tous les personnages balzaciens sont ici rassemblés : Vautrin, le bagnard, père spirituel de Lucien de Rubempré, que rien n'arrête dans son ascension sociale. Ni le désespoir d'Esther, qui se suicide pour lui, ni les souffrances de Mlle de Grandlieu , sa fiancée. La justice et la police apparaissent personnifiées par le juge Camusot et le policier Corentin. Le roman le plus complet, le plus vivant, le plus implacable, le plus puissant de La Comédie humaine.

11/1993

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Littérature française

SPLENDEURS ET MISERES DES COURTISANES

" Oscar Wilde disait : " Le plus grand chagrin de ma vie ? La mort de Lucien de Rubempré dans Splendeurs et misères des courtisanes ". Dans cette dernière scène de cette première partie de la Tétralogie de Balzac (car dans Balzac, c'est rarement le roman qui est l'unité, le roman est constitué par un cycle dont un roman n'est qu'une partie) chaque mot, chaque geste, a ainsi des dessous dont Balzac n'avertit pas le lecteur et qui sont d'une profondeur admirable. "

01/1968

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Littérature française

Splendeurs et misères des courtisanes

Il faisait un clair de lune si magnifique qu'on aurait pu tout lire, même un journal du soir. Par le silence des bois, et, à cette lueur pure, le baron vit une femme seule qui, tout en montant dans une voiture de louage, regarda le singulier spectacle de cette calèche endormie. A la vue de cet ange, le baron de Nucingen fut comme illuminé par une lumière intérieure...Il se dressa sur ses pieds. - Hau crrante callot ! fichi pédate ki tord ! cria-t-il. - Sante frante si di haddrappe cedde foidire

06/1996

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Littérature française

Splendeurs et misères des courtisanes

Balzac nous donne, dans Splendeurs et Misères des courtisanes, la véritable image du corps social. En quatre épisodes qui pourraient être un roman-feuilleton, il crée le roman de moeurs le plus impitoyable. Presque tous les personnages balzaciens sont ici rassemblés : Vautrin, le bagnard, père spirituel de Lucien de Rubempré, que rien n'arrête dans son ascension sociale. Ni le désespoir d'Esther, qui se suicide pour lui, ni les souffrances de Mlle de Grandlieu, sa fiancée. La justice et la police apparaissent personnifiées par le juge Camusot et le policier Corentin. Le roman le plus complet, le plus vivant, le plus implacable, le plus puissant de La Comédie humaine. Préface, commentaires et notes de Roger Pierrot.

06/2008

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Littérature française

Splendeurs et misères des courtisanes

Après Le Père Goriot et Illusions perdues, Splendeurs et misères des courtisanes achève "la trilogie de Vautrin". Ce héros des bas-fonds, bagnard faussaire et assassin, est aussi un amant sublime et un poète à sa manière, qui consacre ses forces de Titan et son imagination infernale à la fortune de l'homme qu'il adore : Lucien de Rubempré. Jamais Balzac n'a plus cruellement ôté ses masques à une société dont il pénètre les secrètes compromissions. Des milieux de la pègre et de la prostitution à ceux de la police et de la justice, jusqu'aux plus hautes sphères de l'Etat, c'est un diagnostic impitoyable de gangrène généralisée qu'il pose, entraînant son lecteur subjugué à la découverte des aventures du désir dans la jungle de Paris, avec une superbe énergie.

09/2006

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