« Le progrès fait rage et le futur ne manque pas d’avenir », clamait vers les nues le chroniqueur matutinal Philipppe Meyer, chaque matin autour de 8 h. Quelle formule ! Précédemment, il en employait une autre, tout aussi percutante : « Je vous souhaite le bonjour, nous vivons une époque moderne. » À rapprocher sans nul doute de cet aphorisme : « Puissiez-vous vivre des temps intéressants… »