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9782081202917

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Français spécialisé

La bête humaine

Dans un décor de gares et de trains, se joue une histoire peu commune, faite d'amour et de haine. Un conducteur de train, Jacques Lantier, un homme en apparence calme et doux, souffre d'un terrible mal : il ne peut aimer sans avoir envie de tuer. Autre " bête humaine " : La Lison, sa locomotive à vapeur, qu'il entretient avec passion et qui va l'entraîner dans une effroyable catastrophe ferroviaire...

08/1996

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Littérature française

La bête humaine

Zola voulut faire de La Bête Humaine, dix-septième romand e la série des Rougon-Macquart, un roman du mouvement et de la vie dans lequel le train serait un véritable protagoniste. " (...) tout le roman aura la couleur des lieux et l'on y entendra, comme un accompagnement musical, la trépidation de cette vie précipitée, et l'on y verra l'amour en wagon, l'accident sous le tunnel, l'effort de la locomotive, la collision, le choc, le désastre, la fuite. "

12/1972

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Littérature française

La Bête humaine

Le sang exécrable des Bougon-Macquart court dans les veines de Jacques Lantier, fils de Gervaise et héritier d'une lignée maudite. Lantier a assisté au meurtre d'un notable par le chef de gare du Havre. Pour se protéger, la femme de ce dernier, Séverine, le séduit et devient sa maîtresse. Auprès d'elle, et dans les vapeurs de sa chère Lison, sa locomotive, Jacques pense pouvoir conjurer ses pulsions meurtrières, résister à " la hèle enragée qu'il sent en lui " à la seule vue de la nudité d'une femme. Un voyage tragique commence, où la démence, la jalousie et le crime sont portés à l'incandescence dans le plus russe des romans français.

10/2009

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Littérature française

La bête humaine

L'histoire évoque le monde du chemin de fer et se déroule tout au long de la ligne Paris-Saint-Lazare - Le Havre. Entre les deux gares, décrites avec une grande précision, les héros ne cessent d'osciller, dans un trajet pendulaire, jouets des passions qui les dominent. De grands drames arriveront à mi-chemin du parcours, au croisement des destins, dans un tunnel, et au carrefour (lieu-dit imaginaire à consonance négative) de la Croix de Maufras. Outre son aspect documentaire, La Bête humaine est un roman noir, sorte de thriller du XIXe siècle qui a choqué les contemporains de Zola. On ne décompte pas moins de deux viols, plusieurs meurtres, au moins deux suicides, et deux catastrophes, dont beaucoup sont inspirés de faits divers réels. Enfin, La Bête humaine est un roman à charge sur la période de décadence bien caractéristique de la fin du Second Empire, aboutissement voulu du cycle des Rougon-Macquart. Ce livre, comme d'habitude dans nos éditions, est en version intégrale.

12/1992

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Classiques

La Bête humaine

La Bête humaine réunit tous les ingrédients du polar : un meurtre (voire plusieurs), du sang, de la violence, une femme fatale, du suspense, des scènes chocs, une enquête avec arrière-plans politiques, notables véreux et magistrats carriéristes... et, bien sûr, au moins un assassin. Nul d'entre ces gredins ne se retiendra de tuer s'il y trouve son compte : l'un le fera par jalousie, l'autre par brutalité, le troisième par intérêt, un quatrième pour se venger ou simplement par bêtise, ou par calcul, ou pour l'argent. Le seul (ou presque) à susciter l'indulgence est le criminel-né, le cheminot qu'affecte un besoin maladif de poignarder une femme. Ce malade trouvera-t-il, dans les délices d'un amour partagé, la force de vaincre la tare héréditaire qui pèse sur lui ? Mérite-t-il d'ailleurs d'échapper à son destin ? C'est toute la question que pose cet épisode très noir du cycle des Rougon-Macquart...

09/2010

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Littérature française

La Bête humaine

Des Batignolles à Auteuil, un mécanicien de locomotive erre, le couteau en main, hanté par une idée fixe : tuer une femme... Dans le train qui mène au Havre, un couple poignarde sauvagement un notable du régime impérial, avant de le jeter sur la voie. A la Croix-de-Maufras, lieu-dit reculé, un garde-barrière empoisonne son épouse, dans l'espoir de mettre enfin la main sur son magot. La Bête humaine n'est pas seulement le grand roman ferroviaire du maître du naturalisme : c'est aussi son grand roman du crime - un Dahlia noir signé Zola, où chaque personnage semble être tour à tour le traqueur et la proie. En 1888, au moment d'entamer ce qui allait devenir l'un des volumes les plus célèbres du cycle des Rougon-Macquart, Zola écrivait : " Je voudrais quelque chose d'hallucinant, d'effroyable [...], qui reste à jamais dans la mémoire, qui donne un cauchemar à toute la France. "

03/2007

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