La réédition de classiques donnait, jadis, l’opportunité à un éditeur d’enrichir le texte d’une préface, d’une postface, de quelques lignes sur l’œuvre, le contexte, ou autre. Désormais, elle est propice à ce que des romans soient frappés de ce que Musset appellerait ironiquement « le mal du siècle ». Et ce cher Ernest en fait les frais.