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9782070302758

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Littérature française

Les diaboliques

" Dieu, le créateur de toutes les réalités, n'en défend aucune à l'artiste, pourvu que l'artiste n'en fasse pas un instrument de perdition. " Se référant à la scène sublime qui ouvre Richard III de Shakespeare, Barbey d'Aurevilly se permettra tout dans ses récits de passion et de haine. Le comte de Ravila aimait l'amour, Albertine et Hauteclaire aussi ; la comtesse de Savigny et le duc de Sierra Leone, eux préférèrent l'honneur. Ses diables de femmes semblent échappées d'une toile de Delacroix. Le feu de l'enfer brûle ces pages mais c'est pour mieux " épouvanter les âmes pures ", clame l'auteur, le jour de son procès. " Ou il faut renoncer à peindre le cœur humain, ou il faut le peindre tel qu'il est. " Préface, commentaires et notes de Jean Decottignies.

03/1999

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Littérature française

Les diaboliques

Diaboliques nouvelles que signe Barbey d'Aurevilly, déterminé à expérimenter là la vérité la plus crue. Si scandaleuses, que Buloz refuse en 1850 d'en faire paraître dans sa célèbre Revue des Deux Mondes pour ménager les nerfs de ses lecteurs. Dans une verve exultée et hallucinatoire, ces six histoires brèves révèlent à tour de rôle les cruautés intimes, les jalousies et les amours meurtrières d'un monde si familier que le charme opère quand la fiction s'efface. Désormais reconnu comme un chef-d'oeuvre, ayant donné lieu à de nombreuses adaptations, ce recueil conserve l'intemporalité des réalités terriblement humaines, dont cette édition critique, finement élaborée par Jacques-Henry Bornecque et Philippe Berthier, permet d'apprécier la grandeur.

06/2018

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Poches Littérature internation

Les diaboliques

Diaboliques nouvelles que signe Barbey d'Aurevilly, déterminé à expérimenter là la vérité la plus crue. Si scandaleuses, que Buloz refuse en 1850 d'en faire paraître dans sa célèbre Revue des Deux Mondes pour ménager les nerfs de ses lecteurs. Dans une verve exultée et hallucinatoire, ces six histoires brèves révèlent à tour de rôle les cruautés intimes, les jalousies et les amours meurtrières d'un monde si familier que le charme opère quand la fiction s'efface. Désormais reconnu comme un chef-d'oeuvre, ayant donné lieu à de nombreuses adaptations, ce recueil conserve l'intemporalité des réalités terriblement humaines, dont cette édition critique, finement élaborée par Jacques-Henry Bornecque et Philippe Berthier, permet d'apprécier la grandeur.

12/1993

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Poches Littérature internation

Les diaboliques

Diaboliques nouvelles que signe Barbey d'Aurevilly, déterminé à expérimenter là la vérité la plus crue. Si scandaleuses, que Buloz refuse en 1850 d'en faire paraître dans sa célèbre Revue des Deux Mondes pour ménager les nerfs de ses lecteurs. Dans une verve exultée et hallucinatoire, ces six histoires brèves révèlent à tour de rôle les cruautés intimes, les jalousies et les amours meurtrières d'un monde si familier que le charme opère quand la fiction s'efface. Désormais reconnu comme un chef-d'oeuvre, ayant donné lieu à de nombreuses adaptations, ce recueil conserve l'intemporalité des réalités terriblement humaines, dont cette édition critique, finement élaborée par Jacques-Henry Bornecque et Philippe Berthier, permet d'apprécier la grandeur.

12/1996

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Contes et nouvelles

Les Diaboliques

Diaboliques nouvelles que signe Barbey d'Aurevilly, déterminé à expérimenter là la vérité la plus crue. Si scandaleuses, que Buloz refuse en 1850 d'en faire paraître dans sa célèbre Revue des Deux Mondes pour ménager les nerfs de ses lecteurs. Dans une verve exultée et hallucinatoire, ces six histoires brèves révèlent à tour de rôle les cruautés intimes, les jalousies et les amours meurtrières d'un monde si familier que le charme opère quand la fiction s'efface. Désormais reconnu comme un chef-d'oeuvre, ayant donné lieu à de nombreuses adaptations, ce recueil conserve l'intemporalité des réalités terriblement humaines, dont cette édition critique, finement élaborée par Jacques-Henry Bornecque et Philippe Berthier, permet d'apprécier la grandeur.

10/2007

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Littérature française

Les diaboliques

Quant aux femmes de ces histoires, pourquoi ne seraient-elles pas les diaboliques ? N'ont-elles pas assez de diabolisme en leur personne pour mériter ce doux nom-là ? Diabolique, il n'y en a pas une seule ici qui ne le soit à quelque degré. Il n'y en pas une seule à qui on puisse dire le mot de " mon ange " sans exagérer. Comme le Diable qui était un ange aussi, mais qui a culbuté, si elles sont des anges encore, c'est la tête en bas, le reste... en haut !

05/1998

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