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Littérature française

Le lierre

Ce récit de Pierre Brisson s'inscrit dans une prestigieuse tradition française, celle de La Princesse de Clèves et d'Adolphe. C'est une histoire d'amour qui peut se résumer en une phrase : Jean et Jacqueline s'aiment, ce qui ne les empêche nullement de se meurtrir mutuellement, Leur amour n'est pas un sentiment abstrait, mais la passion vraie qui unit deux êtres aux caractères différents et irréductibles. Pierre Brisson, pour peindre les cruautés, les subtilités, les douceurs, les nuances infinies de cet amour, a retrouvé la lucidité de Benjamin Constant. Jacqueline, gaie, fantasque, sensible à l'extrême, douée d'une grande capacité de souffrir, est une admirable figure féminine dont s'enrichit le roman français. Et Jean, capricieux, clairvoyant, à la fois glacial et passionné, qu'une sorte de lierre sentimental envahit, véritable "épaisseur d'ombre" qui l'isole du monde, est bein un petit-neveu d'Adolphe, un homme que l'amour embarrasse.

02/1955

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