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"On ne peut plus rien dire..."

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Actualité médiatique France

"On ne peut plus rien dire..."

" On ne peut plus rien dire... " La complainte de celles et ceux qui dénoncent la " censure " s'étire à longueur de journée sur les plateaux télévisés. Il semblerait que la réaction se soit approprié la liberté d'expression pour mieux la dévoyer. Comment en est-on arrivé là ? Comment récupérer cette liberté fondamentale en démocratie ? Voilà l'enjeu de ce texte incisif. " On ne peut plus rien dire... " La complainte de celles et ceux qui dénoncent la " censure ", à l'instar d'un Donald Trump, s'étire à longueur de plateaux télévisés. Toute contradiction est dénoncée comme une agression, la lutte contre le racisme est présentée comme une marque d'intolérance " woke ". Par un incroyable retournement, tout effort de protéger le débat démocratique est aujourd'hui brocardé comme une atteinte à " liberté d'expression ". Pourtant, la haine et le mensonge nuisent gravement à la délibération démocratique : les restrictions de l'expression publique, loin d'être en contradiction avec la liberté d'expression, lui sont consubstantielles. Le juriste Thomas Hochmann révèle la manière dont la réaction a accaparé la liberté d'expression pour mieux imposer ses manières de dire. Mais il montre également comment se réapproprier cette liberté fondamentale, après avoir rappelé et défendu, exemples à l'appui, les lois qui interdisent les discours de haine et les campagnes de désinformation. Leur mise en oeuvre constitue désormais une de nos dernières chances de repousser l'extrême droite.

03/2025

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Faits de société

On ne peut pas tout dire

Depuis des années, des idéologues réactionnaires se plaignent qu'" on ne peut plus rien dire en France ". La gauche imposerait une " censure ", qui empêcherait de tenir publiquement certains propos : ce qu'ils appellent la " cancel culture " - ou la " culture woke ". En réalité, ces propagandistes solidement établis peuvent tout dire, même les pires horreurs. Dans les faits, ce sont eux qui verrouillent le débat public et qui, forts de cette mainmise, lancent des assauts verbaux contre des cibles choisies. Face à cette imposture, il convient de rappeler que, pour faire société, on ne peut pas tout dire. Que l'attention portée à autrui est une condition du vivre-ensemble. Et que la stigmatisation de catégories entières ne saurait constituer ni l'étalon de la liberté d'expression, ni la norme du débat public.

02/2022

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Actualité politique France

Quand on n'ose plus rien dire de peur de passer pour un réac

Peut-on encore être de gauche sans relever de la catégorie "wokiste" ou "vieux con" ? A-t-on le droit de trouver que tous les "progrès" n'en sont pas, tout en se réjouissant sincèrement des bouleversements de l'époque qui permettent aux oubliés d'hier de devenir les leaders de demain ? Comment rester drôle et subversif sans craindre la censure ou céder à l'autocensure ? Là est le coeur du sujet de ce livre : donner les clés pour résister au "qu'en dira-t-on gauchiste" qui nous tétanise et qui prépare le terrain à une extrême droite relookée. Nourri de ses combats politiques, Thierry Keller nous bouscule dans nos croyances et nos lâchetés, et nous appelle à faire preuve à la fois de courage et de nuance. Il faut à nouveau, nous dit-il, oser penser, oser parler, oser créer. Ne plus raser les murs. Et faire entendre, aussi, nos voix dans le débat public.

01/2024

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Cinéastes, réalisateurs

Dire vrai

Je me suis jusqu'à maintenant principalement racontée par des images, des films que j'ai mis en scène, des peintures, des dessins... Aujourd'hui, les mots sortent. Ils s'organisent et me montrent le chemin. Je détricote mon histoire et la redécouvre. J'ai protégé si longtemps ceux qui m'ont abusée... Au fur et à mesure que je nomme, ma vérité reprend le pouvoir. Mes limites deviennent plus claires : on ne peut plus les enfreindre. Je me réveille avec cette sensation étrange que plus rien ne sera pareil après.

05/2024

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Actualité médiatique internati

Ensemble on est plus fortes

Si on ne naît pas féministe, on peut décider de le devenir. Pour cette raison, peut-être, je me suis demandé : Et si c'était moi la femme battue, la gamine prostituée, jetée à la rue, la patiente qui souffre d'endométriose, ou la militante harcelée sur les réseaux ? Si c'était moi celle qu'on humilie, si c'était moi celle qu'on viole ou celle qu'on tue ? Je n'ai rien subi de tout cela. Quel droit, alors, ai-je de parler ? Eh bien leurs droits à elles, justement. Des droits qui continuent à être, tous les jours, foulés aux pieds. Et parce qu'il faut encore le dire, le marteler, le hurler, et que je peux (veux) faire entendre ma voix, voici : un peu de moi, pour énormément d'elles. J. G. Depuis une dizaine d'années, ses aventures d'actrice et de productrice ont mené Julie Gayet sur les chemins du féminisme, bien avant la vague #MeToo. Un féminisme sincère et concret, qui trouve ses racines au plus profond de sa propre histoire. Ensemble, on est plus fortes trace le portrait de celles qui se battent pour les droits des femmes. Elise Lépine, Le Point.

06/2024

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Actualité médiatique internati

Ensemble on est plus fortes

"On ne nait pas féministe, on le devient. Pour cette raison, peut-être, je me suis demandé : Et si c'était moi la femme bafouée, la femme battue, la gamine prostituée, jetée à la rue, la patiente qui souffre d'endométriose, ou la militante harcelée sur les réseaux ? Si c'était moi celle qu'on humilie, si c'était moi celle qu'on viole ou celle qu'on tue ? Je n'ai rien subi de tout ça. Quel droit, alors, ai-je de parler ? Et bien leurs droits à elles, justement. Des droits qui continuent à être, tous les jours, foulés aux pieds. Et parce qu'il faut encore le dire, le marteler, le hurler, et que je peux (veux) faire entendre ma voix, voici : un peu de moi, pour énormément d'elles". J. G. Depuis une dizaine d'années, ses aventures d'actrice et de productrice ont mené Julie Gayet sur les chemins du féminisme, bien avant la vague Metoo. Un féminisme fort, sincère et concret, loin de la posture. Un féminisme qui trouve ses racines au plus profond de sa propre histoire, avec cette certitude chevillée au corps : ensemble, on est plus fortes. A travers les portraits de celles qu'elle admire pour leurs engagements auprès des femmes, elle se livre elle-même ici, en creux, comme rarement. Un ouvrage pudique, tendre, violent, drôle parfois. Absolument nécessaire.

03/2023

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