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"J'aimerais penser que je vous manque un peu"

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Correspondance

"J'aimerais penser que je vous manque un peu"

" J'aimerais penser que je vous manque un peu... " : le 4 mars 1935, Stefan Zweig, qui met alors la dernière main à Marie Stuart, adresse une lettre à sa nouvelle secrétaire, Lotte Altmann. Recrutée grâce à l'organisme juif d'assistance aux réfugiés à Londres, où Zweig s'est exilé un an plus tôt, elle est vite devenue la collaboratrice indispensable au travail littéraire de l'écrivain. Ils se marieront en 1939 , et se donneront la mort ensemble dans de tragiques circonstances, à Petropolis en 1942. Ces Lettres à Lotte couvrent une période décisive dans la vie de Stefan Zweig. Il s'y montre un patron attentionné mais exigeant ; un écrivain acharné à publier en dépit de la persécution hitlérienne ; un homme tout à la fois résolu à rompre avec Friderike, sa première femme, et hésitant. Réunies par Oliver Matuschek, biographe de Zweig, illustrées de photos inconnues, elles composent le récit vivant d'une relation et de son contexte, une Europe à feu et à sang, éclairant d'une lumière inédite la personnalité et l'oeuvre d'un des plus grands écrivains du XXe siècle.

01/2023

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Contes et nouvelles

A toutes ces mamans, que j'ai aimées

Ce ne sont pas uniquement des parcelles de ma vie ou celles de mes proches. Ce sont les nôtres, les vôtres. C'est la vie d'une femme confrontée aux changements à l'aube de ses quarante ans, ou celle d'une femme terriblement forte mais marquée d'entailles. C'est la vie d'une maman trop débordée, celle d'une maman fragile qui se cache pour pleurer. Ce sont aussi les durs jours d'une maman à en devenir. Ce sont les peines d'une épouse brisée et dépassée. Ce sont toutes les blessures qui nous transcendent lorsque l'on se perd un peu. Mais c'est également ce profond bonheur qui nous submerge dès lors que l'on pose nos regards sur eux, nos enfants. C'est vrai, notre vie d'avant peut parfois nous manquer. Cette légèreté presque égoïste où l'on ne pense qu'à soi. Peut-être trouverez-vous quelques ressemblances avec une voisine, une amie, une soeur. Vous vous y retrouverez probablement aussi. Mais tout ira bien. A travers ces nouvelles, vous les découvrirez, hâtivement mais profondément, sous leurs angles les plus intimes. Elles vous ouvrent les portes de leurs vies avec coeur. Elles ne se connaissent pas, n'ont aucun lien, si ce n'est celui d'être mère. Elles sont toutes attendrissantes et surprenantes. Vous risquez tout autant de les adorer que de les plaindre. Elles font de leur mieux, et je sais que vous aussi.

09/2023

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Faits de société

A coeur ouvert

« Partager. C'est ce que j'ai voulu faire en écrivant ce livre. Transmettre un peu de la force qui me reste pour vous aider, si je le peux, à avancer, vous qui souffrez comme je souffre. Je vous livre, à vif, mon parcours de femme et de maman. Faites-en votre guide sur le chemin ardu de la guérison. Car on guérit du malheur. On n'oublie pas, mais la souffrance devient une amie familière et le goût de vivre prend doucement la place du désespoir. J'aimerais donner cet espoir à celles et à ceux qui se battent seuls, en plein milieu du chemin de leur douleur. J'aimerais leur dire que le manque et le malheur s'apprivoisent. Qu'il suffit d'apprendre à vivre avec ces amers compagnons. Et trouver le courage d'imaginer les jours meilleurs pour arriver à leur donner réalité. Vous l'écrire, incontestablement, m'aide à penser que cela est possible. Me lire vous aidera peut-être à y parvenir. Je le souhaite de tout mon coeur. Au cours de ces pages, nous cheminerons ensemble. Vous saurez tout de mes espoirs, de mes joies, de l'immense bonheur que cela a été pour moi de donner la vie. Et enfin, j'essaierai (mais les mots me paraissent bien faibles) de vous dire la mort, la déflagration qui m'a brisée et dont je n'arrive toujours pas à me relever. Je suis encore si fragile. Partager justement, avec vous qui avez su toucher mon coeur, est une sorte d'exutoire. Puissions-nous ensemble, de cette douleur abominable, faire germer l'espérance. » Ingrid Chauvin avec un courage à la hauteur de l'amour qu'elle porte à sa petite Jade, disparue à l'âge de cinq mois, Ingrid Chauvin livre un témoignage digne et bouleversant sur la maternité, la pathologie de sa fille, le deuil, la reconstruction et l'engagement.

03/2015

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Un jour, ton prince viendra... Ou pas !

N'avez-vous jamais eu envie de revivre certains moments de votre vie, comme si vous les regardiez assis sur un canapé devant votre TV, un bol de pop-corn et un paquet de mouchoirs à vos côtés ? Emma y songe régulièrement, en espérant parfois que ses hurlements devant son écran puissent l'empêcher de faire des bêtises ou de prendre une mauvaise direction... Parce que, soyons honnêtes : il est évident que son GPS interne est régulièrement tombé en panne, ou qu'il a un sens de l'humour plus que douteux. Au moment où vous lisez ces lignes, Emma a 36 ans, et réalise que malgré sa vie rêvée, elle ne peut s'empêcher de penser qu'elle s'est totalement plantée de direction, sans pouvoir identifier à quel moment. Partie s'installer à New York sur un coup de tête pour vivre un conte de fées pendant deux ans, elle pensait avoir rencontré le grand amour avec Maxime, avec qui elle s'est fiancée et a eu deux enfants. Elle mène la vie parfaite dictée par la société ; il ne lui manque qu'un chien pour compléter le tableau. Mais intérieurement, elle se retrouve à lutter contre plusieurs démons à la fois. Alors qu'elle regarde les photos de famille accrochées au mur de son confortable salon parisien, elle se demande pourquoi une partie d'elle lui dicte de tout plaquer, de prendre son sac et de faire le tour du monde avec "lui" . Bien qu'elle aime ses fils plus que tout, elle a désormais compris les paroles de sa mère : "Si c'était à refaire, je referais tout autrement". Vous avez un peu de temps devant vous ? Alors asseyez-vous bien confortablement ; ça risque de secouer un peu.

02/2022

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L'abécédaire du monde éveillé

Travaillant depuis de nombreuses années dans le domaine immobilier, je suis constamment confrontée à différents maux de la société : stress, anxiété, pression, jalousie, vie à 100 à l'heure, manque de temps pour décompresser... Confrontée à la maladie, j'ai dû m'adapter à un nouveau mode de vie en me recentrant sur moi-même grâce à la méditation, la relaxation, les pensées positives ou encore la nature. Cette nouvelle façon de vivre s'est répercutée positivement sur mon entourage, ma vision et ma perception de la vie ainsi que sur mes rencontres. Je me suis rendu compte qu'il suffisait de peu de choses pour rendre ma vie meilleure et pour me reconnecter à moi-même. Alors désormais, je pense à moi et prends soin de moi. Au travers de ce recueil de mots et d'expressions que j'ai découverts au cours de ce processus, je souhaite partager les techniques, pratiques, rites et rituels que j'ai mis en place afin de vivre pleinement en harmonie. Grâce à mon expérience, j'espère vous aider à prendre conscience de certaines choses et à évoluer dans le domaine spirituel afin d'avoir la vie heureuse et épanouie dont vous rêvez.

01/2022

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Fantasy

Cueille l'automne

Le vent se lève. D'abord inaudible, il forcit et me balaie le visage, me projetant huit ou neuf feuilles mortes éparses. Quelques clochettes pendues parmi les branches sont bousculées par ses caresses amères, et susurrent leur chatoiement métallique aux Palarbres qui conversent à voix basse. Je me tiens à l'orée du bois, sur les rives de la Clepsydrale qui le bordent. La lune se mire déjà dans ses eaux calmes, si noires qu'on dirait les flots d'encre du Mélanflot. La nuit n'est pas si avancée, et le soleil hésite à disparaître vraiment, à laisser sa place. Drakôn lui a demandé de rester encore un peu, pour magnifier la scène et offrir aux Soeurcières de la Troisième Voie l'intensité dramatique qui leur sied si bien. La lumière est d'or, et les tons sont rouges. Les feuillages brasillants rivalisent de couleurs, veulent afficher du mieux qu'ils le peuvent leur déclaration d'amour à l'automne. C'est bien pour cela que nous sommes toustes ici en cette fin d'après-midi. Pour les célébrations de la Moisson des Mots, comme chaque année dans notre douce Vallée. Aujourd'hui, je tremble de fierté dans tout mon coeur draconique. Les Soeurcières approchent, une à une, menées par maon collègue LAncoLibre, qui tient entre ses bras le produit de la Moisson. Notre assemblée doit communier ensemble autour de ces nouveaux mots. Parmi les silhouettes qui me rejoignent, enveloppées de brumes qui floutent leurs contours et dont elles s'arrachent à chaque pas, dans des volutes enfumées, se trouvent quatre autrices que je connais, et une nouvelle venue. Enfin, pas vraiment. LAncoLibre s'immobilise à mon niveau, me confie son fardeau. J'accueille les Soeurcières. Elles ont la tête baissée, comme l'exige notre rituel. Nous rejoignons une table de pierre emmoussée, au-dessus de laquelle se tendent les premières branches d'ors et de grenats des Palarbres enluminés d'automne. Notre cercle s'étend tout autour de la boîte que j'ai posée sur la pierre. Alors que je prends place en son coeur, la Vallée des Mots m'accompagne de sa grâce, et un rayon de lune s'attache à ma personne draconique, faisant miroiter mes écailles de mille réfractions opalines. J'admire un temps ces cinquante nuances de parme qui me nimbent d'un halo mystique, puis je prends la parole pour performer l'ouverture de la cérémonie. - Nous voici réuni·e·s pour accueillir de nouveaux mots, et glorifier la créativité de la mousse, des champignons et des sporules, des vrilles de cucurbitacées et des feuilles rousses. Ami·e·s, qu'apportez-vous à notre congrégation ?? Qui s'avancera dans la lumière de Drakôn ?? Je me retire, cédant la place à une première ombre, féliforme au demeurant. Lorsqu'elle entre dans la lumière de lune, qui a cessé de me suivre, un flash se produit, et elle paraît dans toute sa vérité. - Je me présente à vous, je suis Qat2kx. Je n'ai du chat que l'apparence, les iris verts et le miaulement déterminé même si faussement plaintif. Je vous emmène... Jodai Tokushu Kanazukai. Elle se tourne vers la table, se penche sur le coffret-aux-mots, qui frémit alors qu'elle s'apprête à l'ouvrir prudemment. Une sombre clarté en jaillit, aux couleurs de l'âme humaine torturée, qui nous parle d'une école, lointaine, perdue dans le bassin lémanique. Le ciel de l'automne se couvre d'images ? : des fuites d'eau, un chat, une directrice manipulatrice qui se délecte continuellement de mets psychiques savoureux, des conversations un rien absurdes... et Salomon, dont j'identifie aisément la pensée machinique. - Merci, Qat2kx, pour ces ... hum ... saveurs incongrues, j'argue. Qui poursuivra la ronde des mots ?? Ah, voilà. Avant même que la lumière de Drakôn ne se saisisse de son ombre, je la reconnais : elle arbore sur sa longue cape brune des motifs de feuilles dorées. Nous avons beaucoup travaillé ensemble récemment. J'apprécie beaucoup Ema, qui vient me rendre visite de temps en temps, quand elle n'a rien à faire à Vilaltierre. - Mais qui êtes-vous ?? Elle marque un temps d'arrêt théâtral, puis se place dans le cercle de lumière que sa consoeur a laissé vide. La lune la révèle toute sourire. - Je me présente à vous à mon tour, je suis Lordesfeuilles. Après ma Deuxième Quête, je me suis donné l'objectif d'une quête troisième. Et voici ma contribution ? : La Préférée. Le coffret-aux-mots crache son texte sans se faire prier, et les images envahissent de nouveau le ciel qui s'assombrit de minute en minute. La première chose que nous découvrons est un carosse. Noir. Des citrouilles énormes. Une bibliothèque pleine de secrets. Un lit à baldaquin. Nous lisons dans ces scènes disparates une sorte d'inquiétude rampante, nous y devinons une situation de sorcellerie ? ; pas de celle que nous pratiquons actuellement, marquée par de bonnes intentions et un rêve commun. - Merci, Lordesfeuilles, pour cette tempête et ces vents d'espoirs. Qui poursuivra la ronde des mots ?? Une ombre leste louvoie parmi nous, et son manteau est de nuit constellée d'écailles rouge passion. Il y a autant du loup que du dragon dans sa démarche, qui me rappelle mon lointain cousin Manidriss. Je ne me suis pas trompé. - Je me présente à vous, je suis Cécilia Perrot Gilbert. Je laisse Aurélie & Yanis se débrouiller seul·e·s un moment, le temps de vous présenter Le Rituel de la Voix. Elle enclenche le mécanisme. Effets son et lumière dans le ciel de la Vallée. Nous voyons une forteresse, des dragons (coucou Mani ? ! ), une guerre qui menace, des animaux parqués comme des marchandises. Puis la nuit éclate et se répand. Nous croyons à la fin du film, mais une tête de louvetelle s'étale devant nos yeux, tout en finesse, tout en sourire, parmi les étoiles. - Merci, Cécilia, pour la vibrante défense de celles et ceux qui ne peuvent dire, merci de porter leur parole. Qui poursuivra la ronde des mots ?? Des particules sablonneuses, comme autant de grains rêveurs, s'agrègent en une forme difficile à définir. Mais je ne suis pas dupe. Je sais qui elle est ? : comment la confondre avec qui que ce soit ?? C'est ma première stagiaire, avec qui nous avons partagé l'encre et les mots de la préface du précédent recueil. Et je ne partage pas l'encre avec n'importe qui ? ! La voilà grandie, maintenant. Autrice parmi nous. - Je me présente à vous, je suis The Dreaminoux. Je dois encore soutenir un rapport de stage, Ed ?? (Elle rit, et son rire a la saveur des embruns.) Trêve de bavardages, voici Depuis les Nuits de Sable. Le coffret-aux-mots s'est enhardi, et les images viennent alors qu'elle ne s'est même pas encore tournée vers lui. Des diapositives. Une fille en regarde une autre dans les yeux. Un bel échange de sourires d'amour. Diapo suivante. La fille est seule et contemple le souvenir enfumé de sa compagne envolée dans les sables du temps. Diapo suivante. Elle rêve. Il y a quelqu'un d'autre avec elle. Que font-iels ?? Diapo suivante. Un temple aux boiseries rouges, qui me rappelle l'ambassade d'Akage. Des reflets dans l'eau. Une prise de conscience. Diapo suivante. Des illusions perdues. La grandeur. La révolte. Des phonèmes volètent dans le ciel, comme la persistance d'un murmure. /amaja ? / - Merci, Dreamy, pour ton combat dans l'arène. Tes pensées sont magnifiques et laisseront leur empreinte dans un sable qui ne s'envolera plus. Porte haut le flambeau ? ! Qui poursuivra la ronde des mots ?? Je reconnais l'odeur de sa prose puissante alors que la dernière ombre s'avance. J'en suis persuadé. Il y a ce petit quelque chose, ces détails ? : une cape qui évoque une forêt printanière, hiatus certain et assumé de sa part. Comme une parcelle de Farasie qui hésiterait encore à hiverner. La lumière de la lune me donne raison. - Je me présente à vous, je suis Emeline Di Sopra. Il y a ici quelque chose qui me pousse à y revenir. Serait-ce la forêt ?? Ces anciens Palarbres, qui me rappellent mon Ariège, ou les Ardennes ?? Je souhaite vous offrir ce soir une Pure Merveille. Ce n'est pas une blague ? ! Elle fait un petit pas de côté, touche le boîtier, qui s'entrouvre pour laisser passer une flopée d'invectives. Puis s'estampe la mer. Déchaînée. Une falaise. Un port bruissant d'émeutes. Des luttes et des femmes qui se soulèvent contre un pouvoir oppressant. On y gueule, on y raconte la Croisée des Chemins et la Sorcière. On y assiste à l'émergence de tout un courant revendicatif. La brume est collante, un peu comme celle qui enveloppe les Palarbres ce soir. Puis le ciel s'embrase ? : une autre révolte, pleine de rage et d'espoirs. - Merci, Line. Puissent tes mots toucher les coeurs endormis afin qu'ils combattent ensemble et rythment de plus beaux avenirs. Il ne reste plus que LAncoLibre. Iel n'est pas silhouette, mais dessin bleu et flou, enfantin, comme une envolée de pieds et de cheveux dans une grande pièce parquetée et jonchée de jouets en bois. Iel entre dans la lumière de Drakôn. Les yeux d'(Hydr@cène) ; s'attachent sur les jeux de la lune sur ses écailles, plus fines que les miennes, qui se moirent de vermeil et de turquoise. - Je vais conclure le rituel, si tu me le permets, Ed. J'acquiesce gravement. C'est ainsi que tout doit se terminer ce soir. - Je me présente à vous, je suis LAncoLibre. Je me joindrai à vos voix avec Comme l'arôme de framboise perdu dans un café noir. La Vallée prête volontiers sa magie à l'instant et répond à LAnco. La mystique boîte s'ouvre pour ne plus jamais se refermer et disparaît de la table de pierre. Les cieux frémissent, sont balayés de tremblements. Une soeur et un frère. La Sagrada Familia. L'avenue Diagonale. Barcelone la belle. Des tanks, de la fumée, du bruit. Des fusils. Du métal. Des espoirs brisés, re-brisés, cassés. Un élan. Des promesses. Du café qui n'est jamais bu. De douces lanternes. Du thé et des framboises. Et Edran et Malek qui naissent sous nos yeux. Axone Zéro qui s'esquisse déjà dans les volutes d'un café oublié. - Merci, LAnco. Concluons toustes ensemble, voulez-vous ?? Suite de la préface sur https : //lezarddesmots. fr/cueille-automne/

12/2023

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