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Violette Leduc

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Critique littéraire

Violette Leduc

Maurice Sachs lui " ordonna " d'écrire. Simone de Beauvoir la découvrit en 1945, Albert Camus la publia l'année suivante. Admirée par Cocteau, Genet, Jouhandeau et Sartre, Violette Leduc (19071972) est une figure des plus singulières de la littérature française du XXe siècle. Si ses premiers livres conquirent un cercle d'admirateurs fervents, ils ne touchèrent pas le grand public. Pendant vingt ans, Violette Leduc fut " un désert qui monologue ". Ce n'est qu'en 1964, à la parution de La Bâtarde, récit autobiographique lancé par une élogieuse préface de Simone de Beauvoir, qu'elle sortit brutalement de l'ombre. Violette Leduc racontait sa vie sans fausse pudeur : bâtarde, laide, pauvre, amoureuse de femmes, d'homosexuels, voleuse à l'étalage et trafiquante au marché noir... Le succès de scandale de La Bâtarde, la personnalité pittoresque et attachante de l'auteur finirent par masquer l'immense écrivain. Son esprit était trop libre pour ne pas choquer. Violette Leduc a traversé le siècle en défiant conventions et tabous avec une originalité, une hardiesse de ton encore aujourd'hui surprenantes. Grâce à de nombreux témoignages, et à une documentation inédite exceptionnelle, cette biographie retrace la vie parallèle de l'auteur de La Bâtarde, révèle les omissions et le travestissement, éclaire d'une lumière nouvelle et inattendue cette " sincérité intrépide " saluée par Simone de Beauvoir. Elle rend justice à un écrivain à redécouvrir.

03/1999

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Critique littéraire

Violette Leduc. Eloge de la bâtarde

Vingt ans après la mort de Violette Leduc (1907-1972), j'écrivais, pour la collection que dirigeaient J-M-G. Le Clézio et sa femme Jemia, et qu'animait Philippe Rey, un hommage à cet écrivain dont la découverte a été déterminante pour moi. Le principe de cette collection éphémère était de proposer un texte qui soit à la fois un portrait et une confidence intime. Il ne s'agit donc pas d'une biographie, mais du récit très personnel de mon rapport avec l'oeuvre de Violette Leduc. J'y raconte l'influence qu'elle exerça sur ma vie personnelle et ma vie de lecteur et d'écrivain. J'y analyse ses livres, en les comparant à d'autres oeuvres qui ont également compté pour moi (Marguerite Duras, Jean Genet, Tony Duvert, Julien Green, Pasolini entre autres). Lorsque Martin Provost préparait son film Séraphine, je fis sa rencontre et lui appris que Violette Leduc était une grande admiratrice de cette artiste autodidacte et mystique. Martin se mit à lire Violette Leduc et, complètement conquis par son talent et sa personnalité, il décida de lui consacrer un film, en me demandant mon aide pour l'écriture du scénario, avec son ami Marc Abdelnour. Ce film que j'ai co-écrit évoque donc la vie de Violette entre 1942 et 1958, c'est-à-dire entre le moment où elle écrit son premier livre et celui où elle commence la rédaction de La Bâtarde et va donc connaître le succès.

10/2013

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Critique littéraire

Violette Leduc. Genèse d'une oeuvre censurée

Violette Leduc (1907-1972) suscite aujourd'hui un vif intérêt auprès des écrivains, des metteurs en scène, des cinéastes, des universitaires (études littéraires, études de genre, sociologie) et du grand public. Composé de documents d'archive, de reproductions de manuscrits et de textes inédits accompagnés d'analyses produites par les spécialistes de l'oeuvre, ce volume édité dans la collection "Archives" des Presses de la Sorbonne Nouvelle propose une approche renouvelée de l'oeuvre de la Bâtarde en remodelant l'image de l'écrivaine maudite et en révélant certaines pages inédites - dont les articles rédigés pour le magazine Pour Elle en 1940 et les feuillets censurés du roman Ravages en 1955.

10/2019

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Critique Roman

Une censure éditoriale : Ravages de Violette Leduc

Au mois de mai 1955 paraît chez Gallimard le troisième livre de Violette Leduc, intitulé "Ravages". L'écrivaine en a débuté la rédaction sept ans plus tôt, sous l'exigeante houlette de Simone de Beauvoir. L'éditeur accepte de publier l'ouvrage, à condition de supprimer certaines descriptions de relations lesbiennes ainsi qu'une scène de viol jugées trop choquantes. Au-delà de cette censure éditoriale avérée, le livre publié en mai 1955 n'a plus grand-chose à voir avec les nombreux avant-textes qu'Alexandre Antolin a découverts dans les fonds d'archives et collections privées qu'il a pu consulter. Dans un premier temps, l'auteur plante le décor d'une vie éditoriale française bouleversée par le second conflit mondial, qui voit de nombreux auteurs et autrices inquiétés par la censure sous toutes ses formes, à l'instar de Simone de Beauvoir, Jean Genet, Suzanne Allen ou Hélène Bessette. Alexandre Antolin procède ensuite à une analyse minutieuse des "Cahiers Beauvoir", série de 16 cahiers d'écolier sur lesquels Violette Leduc a écrit une seconde version de "Ravages" à partir de 1951. Il étudie enfin les réceptions de ce livre, du comité de lecture Gallimard en 1954 à la publication de "La Bâtarde" en 1964 et de "Thérèse et Isabelle", dernier ouvrage de Violette Leduc paru de son vivant en 1966, ces deux ouvrages reprenant une bonne partie des textes ayant été censurés en 1955.

04/2023

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Littérature française

Aimer c'est écrire, et vice-versa. Violette Leduc, passionnément

Violette Leduc voulait écrire, au féminin, la sexualité sans fards ni masques ni ombres, avec le projet de restituer le ressenti sensuel et sexuel éprouvé dans l'amour physique. Comme son ami Jean Genêt, mais à partir de son expérience de jeune fille lesbienne, de femme bisexuelle. Entreprise audacieuse, passionnément poursuivie malgré la censure de ses éditeurs, et dont il lui arrivait elle-même de douter. Catherine Viollet en retrace ici le processus contrarié, déchiffre les "manuscrits millefeuilles" de l'écrivaine, son oeuvre palimpseste maintes fois reprise, remaniée, amputée. Avec un inédit de Violette Leduc, "Une soirée au Fétiche" , qui est un précieux témoignage sur le monde lesbien de l'entre-deux guerres.

03/2022

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Littérature française

Trésors à prendre

Trésors à prendre est un authentique journal de voyage, l'imagination n'y a pas de part. Les personnages qui le traversent sont aussi réels que le causse Noir et que la cathédrale d'Albi. Mais Violette Leduc, avec son avidité pour la vie, provoque à tout moment, en tout lieu, les rencontres les plus curieuses et les plus émouvantes.

05/2022

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Littérature française (poches)

La femme au petit renard

Sous la lucarne de sa chambre, une vieille fille calcule. Elle répartit sur huit jours six pommes de terre, un peu de café, quelques morceaux de sucre. Elle a faim. Pour tromper sa faim, elle se promène dans son quartier. Des souvenirs la traversent, venus de son enfance provinciale dans une famille bourgeoise. Elle était toujours dans la lune et, depuis la mort de ses parents, elle a, en quarante années de solitude et de sauvagerie, dissipé sans joie son héritage dans la routine de la vie. Que faire maintenant ? Elle est restée étrangère au monde social, Son monde à elle : les objets qui l'entourent, un mangeur de glaçons sur le quai du métro. Mais la faim est une dure contrainte. Elle songe à sacrifier son objet le plus précieux pour réussir dans le monde utilitaire où l'on vend et où l'on achète. Vain espoir. Une inspiration alors la sauve : elle ferme les yeux, elle tend la main, et des pièces tombent. Elle vient, définitivement, d'anéantir l'univers de ses parents, où la mendicité est déchéance. "La déchéance ? disait-elle, foutaise, puisque naître c'est déchoir". Par-delà ses parents elle retrouve un univers amoral où s'abolit la dignité en même temps que la vie avec les êtres, un univers poétique où elle vit avec les choses. Par la mendicité, elle reconquiert la paix et la sérénité.

09/2016

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Littérature française (poches)

Ravages

"J'écrivais partout je ne veux pas qu'on me quitte", raconte Thérèse à Marc en évoquant les années qui ont suivi sa rupture avec Cécile ; et elle décide ce jour-là que Marc ne la quittera plus. Ils se quitteront pourtant. Le drame de Thérèse, c'est que le besoin même qu'elle a de leur présence la sépare de ceux qu'elle aime et la condamne à les perdre ; elle exige de les posséder sans réserve, elle les dispute farouchement au sommeil, à la vie, au reste du monde, à eux-mêmes ; mais ce qu'elle cherche en eux, c'est autre chose qu'eux : le bonheur des jeunes années où sa mère lui appartenait tout entière, l'ivresse qu'elle connut adolescente dans les bras d'Isabelle, et aussi cet enfant que la tyrannie maternelle lui a interdit de jamais mettre au monde ; elle réclame d'eux la sécurité et l'extase, une union absolue et un dépassement infini, le passé perdu, l'avenir défendu, l'impossible. Déçue, inassouvie, elle refuse de transiger : puisqu'elle échoue à tout avoir d'eux, et par eux à avoir tout, elle choisit de n'avoir rien : elle dédaigne ce qu'ils lui offrent : la générosité de Cécile la laisse aussi insatisfaite que l'avarice de Marc. En face de l'une et de l'autre, elle est seule. Si bien que l'unique salut pour elle, c'est d'assumer finalement la solitude.

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Littérature française (poches)

Thérèse et Isabelle

Voici "Thérèse et Isabelle" tel que Violette Leduc l'avait écrit à l'origine, avec ses pages inédites âpres et précieuses, sa langue nue et violente qui témoignent d'une liberté de ton qu'aucune femme écrivain, en France, n'avait osé prendre avant elle. "Thérèse et Isabelle" constituait la première partie d'un roman, Ravages, présenté aux Editions Gallimard en 1954. Jugée "scandaleuse", elle fut censurée par l'éditeur. C'est au printemps 1948 que Violette Leduc, encouragée par Simone de Beauvoir, entreprit la rédaction de ce texte auquel elle va consacrer trois années. Le défi était de taille : "J'essaie de rendre le plus exactement possible les sensations éprouvées dans l'amour physique. Il y a là sans doute quelque chose que toute femme peut comprendre. Je ne cherche pas le scandale mais seulement à décrire avec précision ce qu'une femme éprouve alors. J'espère que cela ne semblera pas plus scandaleux que les réflexions de Madame Bloom à la fin de l'Ulysse de Joyce. Toute analyse psychologique sincère mérite, je pense, d'être entendue". Au début des années soixante, Violette Leduc greffe une partie de "Thérèse et Isabelle" dans le troisième chapitre de La Batârde : elle supprime des passages, resserre des pages, atténue des métaphores, modifie le déroulement de quelques dialogues ; Thérèse est métamorphosée en Violette. L'autre partie est publiée séparément en juillet 1966. Aujourd'hui, enfin, paraît Thérèse et Isabelle comme une oeuvre en soi, dans sa cohérence initiale et sa continuité.

10/2013

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Littérature française (poches)

Affamée

L'Affamée est la description de l'Amour. Le livre de Violette Leduc nous introduit au sein d'une connaissance : phrase après phrase, pas après pas, comme on marche dans le sable, il avance. Il ne s'arrêtera qu'au coeur de ce monde où le rêve jaillit du vrai, s'y unit, le complète, où tout est vrai. Les transpositions que fait Violette Leduc - ces brusques incursions, dans un domaine qu'il faut appeler mystique - sont frappantes. Ainsi se crée lentement, avec efficacité, un monde qui prend ses racines dans le réel le plus quotidien et s'épanouit en un arbre aux mille ramures. Il y a bien de la cruauté dans ce livre, et la seule cruauté qui puisse mériter le nom de vertu : celle qui retourne une âme contre elle-même et la force à se déchirer. Le style est jeu de hasard. Celui de Violette Leduc, dans ce qu'il a de pressé, de haletant, de pénétrant, est l'habitude naturelle à une âme riche, que ses richesses encombrent, et qui meurt d'une double soif : celle de la nudité et celle de la communion.

10/2013

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Littérature française (poches)

La folie en tête

Violette Leduc s'est peinte et a raconté le début de sa vie dans La Batârde : son enfance à Valenciennes, entre sa mère et sa grand-mère. Le pensionnat, puis le lycée à Paris. Son travail comme secrétaire dans une maison d'édition, puis comme journaliste. Son amitié avec Maurice Sachs. Dans La folie en tête, on la retrouve intacte, tout aussi entière dans ses réactions et dans ses défis. Mais ce sont, autour d'elle, les choses et les gens qui ont changé. Dans le Paris de l'immédiat après-guerre, la Bâtarde fait son entrée - et sans trop, d'abord, s'en apercevoir. Rien n'est modifié dans sa façon d'approcher, puis d'appréhender les êtres. Ses activités clandestines, un temps poursuivies, cèdent le pas à des activités littéraires, auxquelles elle ne se sentait guère destinée, et qui, sans l'éblouir, l'absorbent, et conditionnent enfin sa vie même. Cela nous vaut une étonnante galerie de portraits, où Sartre, Simone de Beauvoir, Jean Genet, Nathalie Sarraute, Colette Audry - entre bien d'autres - apparaissent tels qu'ils pouvaient sembler être aux yeux d'une «provinciale», nullement émerveillée, mais passionnée de comprendre et d'aimer.

05/2013

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Critique littéraire

Correspondance 1945-1972

Violette Leduc aimait les correspondances. Tout ce qui relevait de l'intime l'enchantait. Les Lettres de la religieuse portugaise, celles de Van Gogh à Théo étaient ses livres de chevet. Ils furent ses compagnons et ses modèles. Elle se reconnaissait en eux. "Je le lis et je me mets à le porter tout vivant dans ma chair, écrit-elle de Van Gogh, je ne connais pas de plus forte résurrection que la sienne par l'écriture." Violette Leduc fut elle-même une épistolière infatigable, voire obsessionnelle. Comment ne pas céder au vertige de l'épanchement, du monologue? Cette encre-là lui était vitale : "Je ne résiste pas au besoin de me confier." D'ailleurs, dans son oeuvre, elle évoque sa correspondance, l'analyse, y fait allusion à plusieurs reprises. Qu'elles soient d'amitié, d'admiration, d'amour ou de haine, de quinze pages ou d'une ligne, adressées à une figure illustre ou anonyme, les lettres de Violette Leduc portent toutes sa griffe. Au ton, on reconnaît d'emblée l'écrivain. Elles sont à l'origine même de sa vocation littéraire. Maurice Sachs, qui fut son Pygmalion, lui avait dit un jour : "Vous m'avez écrit. Vous devriez écrire." Bien qu'elle s'en défende, le geste épistolaire est, pour Violette Leduc, un moyen d'accéder à la fiction, à une forme particulière de résurrection. L'écriture privée et libre de la lettre ne s'embarrasse pas des mêmes contraintes que le texte publié. Il n'y a pas de censure, pas d'interdits, pas de bienséance. Comme un journal qu'on destine à soi, la lettre de Violette Leduc peut tout dire. Ou presque. Sans ménagement, sans limite, sans gêne. C'est au destinataire de suivre, à son corps défendant. Car dans ses lettres, elle confie ce qu'elle n'ose pas avouer ou imposer de vive voix, " parce qu'une lettre que l'on reçoit est lue en quelques minutes et n'importune pas comme une présence". Même lorsque la sincérité de l'appel, l'authenticité émouvante du ton sont crédibles, c'est encore le "mensonge" littéraire qui hante l'épistolière.

04/2007

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Littérature française (poches)

La chasse à l'amour

Après avoir terminé La folie en tête Violette Leduc a poursuivi son autobiographie ; elle l'a arrêtée en 1964, à la veille de la publication de La Bâtarde. Elle a soigneusement mis au net sur de grandes feuilles quadrillées ses brouillons couverts de ratures et elle s'apprêtait à revoir avec moi son manuscrit quand la mort l'a saisie. Elle avait l'intention de donner une suite à ce livre ; et ses lecteurs auraient aimé savoir comment elle avait accueilli le succès, la célébrité. Elle en a parlé, très bien, dans quelques interviews, mais brièvement et nous restons sur notre faim. Ces pages sont les dernières qu'elle ait écrites. Simone de Beauvoir

10/2000

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Littérature française (poches)

La bâtarde

Préface de Simone de Beauvoir " Mon cas n'est pas unique : j'ai peur de mourir et je suis navrée d'être au monde. Je n'ai pas travaillé, je n'ai pas étudié. J'ai pleuré, j'ai crié. Les larmes et les cris m'ont pris beaucoup de temps (...). Le passé ne nourrit pas. Je m'en irai comme je suis arrivée. Intacte, chargée de mes défauts qui m'ont torturée. J'aurais voulu naître statue, je suis une limace sous mon fumier. "

10/2013

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Littérature française (poches)

La vieille fille et le mort

Nous ne saurons pas pourquoi Mlle Clarisse, qui tient un café-épicerie de village, a vécu et vit solitaire. Mais nous comprenons qu'il y a en elle quelque chose de noué et qui ne favorise pas la communion avec les hommes. La présence de l'enfant qui vient chez elle le soir ne fait que souligner le fossé qui la sépare des autres êtres. C'est qu'elle ne conçoit pas la communication avec un homme comme un échange égalitaire. Et voilà que survient un homme inattendu. Il s'est réfugié dans la salle de café, il y est mort. Aussitôt Mlle Clarisse s'empare de ce mort. Une tempête de tendresse, d'amour et de dévouement la saisit devant ce corps qui lui est livré, et de qui elle prend soin. Mais en quelques heures elle découvre l'inconvénient majeur de leur relation : c'est que le mort ne peut rien lui donner.

05/2015

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Littérature française

Ravages

Pensé comme un roman de formation et d'émancipation, l'ouvrage retrace l'itinéraire amoureux de Thérèse, l'alter ego de Violette Leduc, de l'adolescence à la maturité. Thérèse aime Isabelle, puis Cécile, puis Cécile et Marc, puis Marc. Jugé obscène, Ravages est censuré en 1955. Le livre paraît amputé des cent cinquante premières pages (Thérèse et Isabelle) et de plusieurs passages clés (les scènes du taxi, de la chambre d'hôtel et de l'avortement final). "C'est un assassinat" pour Violette Leduc. La censure déséquilibre l'ouvrage et en modifie la portée. Ravages est un roman mort-né. Aujourd'hui, pour la première fois, Thérèse et Isabelle retrouve Ravages. L'Imaginaire propose une édition hors-série annotée et augmentée des passages censurés, repérés à l'encre violette. L'occasion unique de redécouvrir le roman subtil et engagé d'une pionnière féministe.

11/2023

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Science-fiction, heroic fantas

Violette : Violette contre Diablot1

C'est la rentrée en sixième pour Violette, et ses amis Olga, Isaure, Gustave et Mathéo ? ! Toujours armée de ses fidèles lunettes magiques qui lui confèrent le pouvoir de voir ce qui est invisible pour d'autres, Violette devient une star du collège et découvre les joies et les changements plus ou moins agréables qu'implique le fait de grandir. Seulement, tapit dans l'ombre de son smartphone, un nouvel ennemi fait irruption dans la vie déjà mouvementée de nos sixièmes préférés... Diablot1, un harceleur anonyme, fait du chantage à Violette avec une photo d'elle prise à son insu ? ! Et lui vole ses fameuses lunettes ? ! Arrivera-t-elle à lever le voile sur son identité? ?

08/2022

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Livres 3 ans et +

Violette

Violette vivait heureuse dans la ferme de ses parents. Mais un jour, sa maman tomba gravement malade et Violette dut partir toute seule chercher le docteur. En chemin, elle rencontra Priska, la terrible sorcière mangeuse d'enfants ! Ses dons d'acrobate lui furent d'un grand secours pour échapper à la méchanceté de l'ogresse.

09/1998

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Littérature érotique et sentim

Violette

Il y a dix ans, j'ai coupé tout contact avec ma seule famille. Cinq ans après, j'ai vécu l'enfer. Aujourd'hui, ce passé resurgit, alors, pour éviter que ma plus grande peur ne se réalise, je fuis. Je retourne vivre auprès de Marthe, ma tante. Malgré des années de silence, elle m'accueille à bras ouverts. J'y retrouve également Alexy, mon ami d'enfance. Seulement, j'ai changé, un lourd secret pèse désormais sur mes épaules. Je ne suis plus la même. Alors, quand mon ami tente à tout prix d'en connaître les raisons, je reste méfiante, en dépit des sentiments naissants envers lui. Quand mon pire cauchemar arrive, je prie pour qu'Alexy puisse me venir en aide.

07/2019

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Littérature française

Violette

Eloge de M. Tripier, prononcé à l'ouverture de la Conférence des avocats, le 4 décembre 1841 / par M. J. -B. Josseau,... ; Barreau de Paris Date de l'édition originale : 1841 Sujet de l'ouvrage : Tripier, Nicolas-Jean-Baptiste (1765-1840) Avec mode texte Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/1953

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Littérature érotique et sentim

Violette Tome 3 : Violette version privée

Pour Violette, l'heure est venue de reprendre ses études. Finis les défilés de mode et les shootings, bonjour le campus et les examens. A la très chic université de Vassar, elle se fait de nouveaux amis et s'imagine que tous ignorent son passé glamour. Mais lorsque sort la campagne publicitaire de Mirabella Prince, dont elle est l'égérie avec son amie Véronica, elle se retrouve la cible de violentes attaques. Seul Oliver prend sa défense : il lui propose d'écrire dans le journal de la fac pour parler de son expérience. Entre une romance avec Oliver, une « amitié » plus qu'ambiguë avec David, les calomnies dont elle est la victime et un stage au célèbre magazine Teen Fashionita, Violette semble mener à la fac une vie plus agitée encore que sur les podiums.

04/2009

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Littérature érotique et sentim

Violette Tome 1 : Violette taille mannequin

"Eh bien, ma belle, les castings d'automne commencent bientôt, et je crois que tu vas faire sensation. Je dirais même que tu vas être LA sensation. Tu es occupée le week-end prochain ? Qu'est-ce que je raconte ? Bien sûr que non, puisque tu es au lycée. Il faut que je parle à tes parents, je te prends un vol pour New York vendredi soir, retour dimanche. Et si j'ai mon mot à dire dans cette histoire, Violette Greenfield, je peux te jurer que tu seras la prochaine Kate Moss. En plus grande, bien sûr. Et sans ce fameux problème d'image... Enfin j'espère !" Voilà comment je me suis retrouvée dans un avion pour New York, avec en poche la carte de visite de cette fameuse scout pour l'agence de mannequins Tryst Models. Moi, Violette, la grande fille maigrichonne à lunettes, que personne n'a jamais regardée. Et vous savez quoi ? Maintenant qu'Angela Blythe m'a remarquée, j'ai bien l'intention que le monde entier en fasse autant !

03/2009

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Littérature française

Douceur violette

Lorsqu'un secret de famille éclate au grand jour, c'est toute sa structure qui s'en trouve modifiée. Dans ce roman bouleversant, il est question de famille, certes, mais aussi d'amour. De beaucoup d'amour. D'un amour aussi fort que dévastateur parfois. Tout y est : le passé, le présent, l'avenir, la peine, la joie, l'horreur et le poids des non-dits. Le lecteur est tenu en haleine jusqu'au dénouement final. Une réelle découverte des méandres de la vie, de ses combats et de ses espoirs.

06/2019

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Littérature française

Fleurette. Violette

Fleurette. Violette. Par MM. Chomette et Pirckaert... Date de l'édition originale : 1897 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2021

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Littérature française

Violette. Fragments

Première partie du xxe siècle. Une vie tourmentée qui ne dura qu'une petite cinquantaine d'années. On ne sait d'elle que ce qu'en disaient les bruits de couloir de la famille. Errances géographiques et errances intérieures. Il ne reste d'elle qu'une photo fanée. Il fallait bien lui réinventer un destin. Raconter les liens que sa singularité n'aurait pas manqué de nouer, les possibles auxquels elle se serait ouverte et ceux qu'elle aurait fuis. Il fallait bien lui dire combien est lourde son irrémédiable absence.

06/2022

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Littérature érotique et sentim

La violette

Agathe. Voilà le seul prénom qui hante Lucas, depuis leur rencontre électrique au petit bar où il travaille. Peu importe les risques, peu importe le prix, il le sait, elle finira par succomber. Vengeance. Voilà la seule idée qui occupe les pensées d'Agathe, cette jeune étudiante, venue démasquer le responsable de l'accident qui a bouleversé sa vie. Peu importe les moyens, peu importe le temps qu'il faudra, elle le sait, sa détermination finira par payer. Rien ni personne ne s'immiscera dans sa quête, Pas même l'inconnu qui rend leurs échanges sensuels en de véritables bouffées d'oxygène. Quand celui qui vous fait rêver s'avère être également celui a transformé votre vie en pur cauchemar, jusqu'où êtes-vous prête à aller pour parvenir à vos fins ?

10/2018

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Littérature française

Ultra Violette

Violette Nozière, jeune parricide des années 1930, enflamma des années durant la rubrique des faits divers et l'imaginaire des écrivains. C'est une de ces garçonnes aux cheveux courts passant ses jours et ses nuits à Saint-Germain-des-Prés, dans la fréquentation d'amis douteux. Lorsqu'elle est arrêtée, en août 1933, pour l'empoisonnement de son père, elle a tout juste 17 ans et déchaîne les passions. On la hait, on la célèbre. Beauté convulsive des Surréalistes, sorcière, mythomane, monstre en jupon... Dans ce roman inventif et impertinent, Raphaëlle Riol revisite le mythe en convoquant le personnage à sa table d'écrivain. Ultra Violette fait s'entrechoquer face A, l'histoire vraie et face B, les hypothèses imaginaires. Portrait trouble d'une jeune fille et de son époque.

01/2015

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Autres éditeurs (F à J)

Menace violette

Jasper le Lapin a un problème : il n'aime pas faire ses devoirs, n'est pas un bon élève à l'école. Ses dictées sont catastrophiques. Ses exercices de maths, très mauvais. Mais c'est alors qu'il trouve un crayon. Violet. Bien taillé. Parfait. Et surtout magique. A moins qu'il ne soit diabolique... Fort du succès, aux Etats-Unis comme à l'étranger, de "Menace orange", album couronné Prix Livrentête 2016 par les Bibliothèques pour Tous, puis de "Menace verte", Prix Versele 2020 en Belgique, le tandem Reynolds / Brown récidive avec cette suite des aventures de Jasper le Lapin. Aussi hilarantes et terrifiantes que les deux précédentes, elles plairont tout autant aux 4-5 ans qu'à leurs aînés. Dans un registre graphique rappelant le cinéma des séries noires, avec le seul ajout de ses touches d'un violet fluorescent, la palette de Peter Brown sert à merveille ce récit à suspense. Signée Aaron Reynolds, auteur dans la même collection de "Drôle d'oiseau", voilà une histoire qui conjugue avec un art consommé humour et univers fantastique. Elle répondra ainsi à l'attente de nombreux lecteurs en quête d'un nouveau titre pour cette série qui a déjà beaucoup séduit et dont les deux premiers albums seront remis en place à cette occasion

03/2024

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Littérature anglo-saxonne

Villette

"Je crois en un mélange d'espoir et de soleil qui adoucit les pires lots. Je crois que cette vie n'est pas tout ; ni le début ni la fin. Je crois pendant que je tremble ; J'ai confiance pendant que je pleure. " Villette, Charlotte Brontë RESUME Après un désastre familial non spécifié, la protagoniste, Lucy Snowe, se rend dans la cité fictive de Villette -(en réalité, Bruxelles, capitale du royaume de Labassecour (c'est-à-dire, la Belgique), où Charlotte Brontë et sa soeur Emily Brontë avaient elles-mêmes étudié) -, pour travailler dans un institut pour jeunes filles où elle est involontairement plongée dans l'aventure et les affaires de coeur. LE LIVRE Lucy Snowe, 14 ans, a développé une profonde affection pour le jeune Graham Bretton, fils de sa marraine. Leur attachement est mutuel, mais le père de Graham vient bientôt récupérer son fils... Peu de temps après leurs adieux, Lucy prend un navire pour le royaume de Labassecour et sa capitale, Villette, où elle est employée comme institutrice à l'internat pour jeunes filles de Mme Beck. Dans cette école, un certain Dr John rend souvent visite à la coquette Ginevra, dont il est amoureux. Mais on apprend que le Dr John n'est autre que Graham Bretton. Bientôt, Lucy et lui renouent...

06/2022

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Romans de terroir

L'Encre violette

Louis, fils d'instituteurs, connaît mieux que personne les taches d'encre violette sur les blouses serrées, la carte de France au fond de la classe et le grand tableau noir devant lequel résonne la parole du maître. Mais la leçon de morale en début de journée ne l'empêche pas, avec la complicité de son frère, de pratiquer occasionnellement l'école buissonnière. Au programme : festins de mûres gonflées de soleil, chasse à la grenouille et genoux écorchés. Louis Tamain met sa plume enlevée au service des aventures d'un garçon espiègle. Mon père... Il convient tout de suite de dire, pour ceux qui pourraient s'y méprendre, que nous n'avions rien d'enfants martyrs, que mon père n'avait rien d'un tortionnaire, et qu'il avait certainement affaire à forte partie. Nous n'étions ni malfaisants ni méchants, nous étions simplement des enfants terribles, impossibles à gouverner, indomptés et indomptables, et nous ne laissions passer aucune occasion de sottise, aucune polissonnerie sans nous y engager à fond, sans soucis, ni des conséquences ni des retombées.

09/2010