Recherche

J'aimais quand je t'aimais X13

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

J'aimais quand je t'aimais X13

" Sous la blouse grise fournie par la boîte de propreté qui l'emploie, Denise porte une robe à fleurs, comme pour égayer un environnement uni dans le malheur, pour une floraison mortuaire cependant. Les fleurs sont petites, rassemblées dans des tons finalement assez sombres. - Sombres violettes et petites fleurs rouges plus rares. Baies sauvages. La vraie fleur, c'est elle, Denise. Pas de l'illusion sur de l'imprimé vendu dans toute la chaîne de magasins, mais une vraie naissance, à la clinique Sainte-Anne, fille de Jacques et Jacqueline Toussaint. C'est moi qui le dis, pas elle, car occupée, affairée, elle ne se voit pas. Quand elle a fini, elle jette son tablier. Elle sait qu'une marche endurante l'attend, avec tout ce que ça comporte d'idées imprévues déboulant dans la tête vide. Elle sourit en pensant qu'elle n'a pas besoin de s'inscrire à un club de marche pour en faire. Par avance, elle se réjouit de ne pas devoir faire la conversation en avançant. Ca la grise déjà. Si le ciel se charge de couleurs, son bonheur sera parfait. Elle cherche à épouser un sentiment de liberté. La fiancée est déjà prête. "

07/2017

ActuaLitté

Littérature française

J'aimais mieux quand c'était toi

Une femme sur un banc de la gare de l'Est en pleine nuit revoit les dernières 24 heures qui l'ont amenée là. Nelly est comédienne de théâtre, sa journée est entièrement aimantée vers le rôle qu'elle joue en soirée : la Mère de Six personnages en quête d'auteur de Pirandello. Ce soir-là quand débute la représentation, elle reconnaît au cinquième rang l'homme qui l'a quittée quelques mois auparavant, qu'elle aime toujours, et dont elle a refoulé jusqu'au nom. Prise dans le vertige d'une passion qui la broie à nouveau, l'actrice en elle s'affaisse et ne peut plus jouer.

01/2015

ActuaLitté

Autres éditeurs (A à E)

Je t'aimais déjà

Quand papa et maman sont revenus de l'hôpital, il n'étais pas avec eux...

02/2021

ActuaLitté

Psychologie, psychanalyse

J'aimais le diable

Ce livre est le récit lucide d'une femme dont on a un jour volé bien plus que l'innocence ; un prédateur s'est servi de l'image de l'amour idéalisé qu'elle chérissait pour lui tendre un piège. C'est l'histoire d'une descente aux enfers, jusqu'à frôler la mort... Une écriture pour exorciser, qui va fouiller loin, sans complaisance. Ce livre est également l'histoire d'une résilience. Celle d'une femme qui va réussir à refuser d'être victime, va devenir aidante dans une association à Barcelone, puis dans la même ville, suivre le premier diplôme universitaire qui propose une approche pluridisciplinaire des violences conjugales. Elle reviendra en France pour occuper le poste de référente départementale violences conjugales pour le Nord et créera un réseau de professionnels sur le territoire de la Flandre intérieure. Aujourd'hui, Julie Bodelot est mariée et heureuse, et a décidé d'être formatrice indépendante depuis avril 2017. Son expertise porte sur les violences conjugales et l'enfant face aux violences conjugales. Ce livre pose question. Dans la partie pédagogique, un certain nombre d'éclairages théoriques renvoient à des pages précises du témoignage, afin de confronter les mots d'une victime à la réflexion et l'expérience de professionnels travaillant autour des violences conjugales. Posture de raccompagnant, définition des violences, mémoire traumatique, approche systémique, réseau et intelligence collective sont quelques-unes des pistes livrées à tous les intervenants qui souhaitent se donner les moyens d'aider au mieux les victimes de violences conjugales. Ce livre, enfin, est pour l'entourage la possibilité de mieux comprendre une victime qu'il sera incapable d'aider, s'il ne prend pas en considération les mécanismes qui la maintiennent prisonnière de son agresseur.

09/2019

ActuaLitté

Littérature française

Je l'aimais sincèrement

"J'ai reconnu le bonheur au bruit qu'il a fait en partant". Jacques Prévert Cet amour qu'elle m'adressait, son authenticité, son désir si fort pour moi, me renvoyaient à ma propre difficulté à être au monde. Pourquoi faut-il choisir ? La vie ne peut-elle donc pas le faire à ma place ? Et pourtant, je me souviens encore de nos moments charnels. Elle aimait Nous sentir peau à peau, l'un contre l'autre, enveloppés d'amour. Elle Nous aimait très fort à ces moments et Nous le disait. J'étais comme touché par sa fraîcheur et son innocence. Elle Nous aimait avec une telle pureté ! Elle Nous aimait tout simplement. Je l'aimais de tout cet amour qu'elle Nous adressait. Ici, commence l'histoire d'Alexandre ; une belle et tendre histoire d'amour à laquelle il a renoncé... "Aimer, c'est faire passer de la lumière au travers de son âme".

11/2016

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Tout ce que j'aimais

Au milieu des années 1970, à New York, deux couples d'artistes ont partagé les rêves de liberté de l'époque. De l'art et de la création, ils ont fait le ciment d'une amitié qu'ils voulaient éternelle et, quand ils ont fondé leur famille, se sont installés dans des appartements voisins. Rien n'a pu les préparer aux coups dont le destin va les frapper et qui vont infléchir radicalement le cours de leurs vies... Sin Hustvedt convie ici à un voyage à travers les régions inquiétantes de l'âme : bouleversant, ambigu, vertigineux, Tout ce que j'aimais est le roman d'une génération coupable d'innocence qui se retrouve, vingt ans plus tard, au bout de son beau rêve.

08/2013

ActuaLitté

Littérature française

Tu l'aimais quand tu m'as fait ?

Quand un père vient déclarer la disparition de son ex-compagne et de leur fils de neuf ans, Rebecca, lieutenant à la brigade des mineurs, se retrouve chargée d'une enquête qui relève de l'investigation intime. L'homme est séduisant mais est-il aussi désemparé qu'il en a l'air ? Et la mère disparue, est-elle manipulatrice ou victime ? Rebecca doit alors remonter le fil d'une sombre histoire de séparation sur fond de combat judiciaire pour la garde de l'enfant. Elle doit aussi se repérer dans un système aveugle et sourd qui, au nom de la justice, plonge des enfants dans le chaos. Rebecca, qui n'a jamais été attirée par la maternité, aura à choisir entre la loi et sa propre morale. Un roman d'aujourd'hui mené avec une généreuse efficacité par une héroïne hors norme.

01/2011

ActuaLitté

Littérature française

Une femme que j'aimais

Chaque week-end, Claude, jeune homme au tempérament solitaire et à la vie un peu terne, rend visite à la seule personne qu'il aime rencontrer, sa tante Adrienne, qui habite une belle villa à la campagne. Adrienne a cinquante-cinq ans, elle est veuve, elle ne sort pratiquement jamais de chez elle. Mais sa douceur, sa beauté fascinent Claude, comme tous les hommes qui ont un jour croisé son regard. Un samedi, Adrienne évoque un secret qui depuis toujours pèse sur son coeur. Elle voudrait le confier à Claude, qui refuse de l'entendre. Quelques semaines plus tard, il la trouve gisant sur le carrelage de la villa, morte. Accident ? Meurtre ?... Alors, seulement, Claude se met en quête de la confidence qu'il n'avait pas voulu recevoir. Cette quête va le mener sur les traces du passé d'Adrienne, chaque rencontre lui suggérant une réponse que remet en question la suivante...

02/2018

ActuaLitté

Littérature française

J'aimais déjà les étrangères

Un jeune Parisien s'abandonne au culte de la régression, tenant la médiocrité pour le dernier refuge de la morale. Une femme mariée, originaire des pays de l'Est, renverse le cours de son existence.

03/2009

ActuaLitté

Littérature française

J'aimais trop l'argent

L'argent appelle l'argent. Tout allait donc très vite, surtout dans un pays comme le mien où les habitants étaient épargnés, jusque-là, de toute imposition sur les revenus. Fred, mon époux, acheta sur financement bancaire un second camion de transport de minerai de nickel. Puis un troisième peu de temps après. Toutefois avec l'argent si vite gagné, une inquiétude s'instaura dans notre esprit. Nous avions peur en effet de devenir... différents. Grisés par la fortune, je commençais à me demander si les bonnes résolutions morales qui avaient régi notre vie jusque-là n'allaient-elles pas nous abandonner. Ne resterait-il en nous que vanité, orgueil et désir de puissance ? L'être humain perd facilement la tête dès lors qu'il s'enrichit. Cette constatation encombre désormais ma conscience. Allons-nous parvenir à demeurer maîtres de nos actes et de nos pensées ? Refuserions-nous de porter le masque arrogant et antipathique de ceux qui gagnent et continuent à gagner beaucoup d'argent ? Mes bonnes intentions allaient-elles résister à la tentation et aux exigences liées à notre objectif qui, de plus en plus, était voué à la rentabilité, au gain et au profit...

07/2009

ActuaLitté

Policiers

Toi que j'aimais tant

Après avoir passé vingt-deux ans derrière les barreaux pour le meurtre de la jeune Andrea, Rob Westerfield sort de prison avec un seul but : obtenir la révision de son procès pour retrouver son honneur et mériter l'héritage que sa richissime grand-mère hésite à lui transmettre. Mais c'est compter sans la détermination d'Ellie, la sœur de la victime, une journaliste pugnace que les menaces n'intimident pas - et qui fera bientôt des découvertes terrifiantes...

01/2004

ActuaLitté

Romans, témoignages & Co

J'aimais pas la récré

Samuel n'aime pas la récré. Il est harcelé depuis l'école primaire jusqu'à sa première année de collège, dans la cour et à l'extérieur. Tout se joue à l'heure de la récré où il devrait être censé rire et s'amuser. Arnaud et sa bande aiment se faire craindre et l'humilier. Samuel le sensible est leur cible et doit chaque jour les subir en gardant le silence. Jusqu'où iront-ils ? Jusqu'à quand Samuel leur résistera-t-il ? Et si tout allait basculer ?

04/2022

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

Et si je l'aimais...

Deux heures plus tôt, il ignorait tout d'elle. A présent, elle occupait la moindre de ses pensées. Lady Athéna Ling... Le marquis de Rockingdale aurait déjà dû faire sa connaissance. Après tout, ils étaient voisins. Et voilà qu'elle venait de lui rendre visite pour lui parler d'une affaire importante. Elle ressemblait si peu aux ennuyeuses pimbêches dont la seule ambition était d'avoir un mari doté d'une fortune ou d'un titre ! Elle, elle était ravissante et possédait cette beauté authentique qui ne se fane jamais : la beauté de l'âme. Il doit absolument la revoir ! Mais est-ce aussi son souhait ?

01/2019

ActuaLitté

Littérature X

J'aimais déniaiser les jeunes mariés

Surfant sur la mode américaine des mariages somptueux, organisés par des agences spécialisées en la matière, Agathe, jeune femme ambitieuse et délurée, tente de développer ce concept à Paris. Loin du glamour des contes de fées, elle croise des futurs couples improbables, pour qui la fidélité conjugale n'est pas la première preoccupation... Par exemple, des fiancés prudents qui, avant de convoler, veulent faire tester leur promise par d'autres mâles, afin d'éviter toute mauvaise surprise lors de la nuit de noces. Mignonne et prête à rendre service, Agathe profite de chaque fête qu'elle prépare pour multiplier les rencontres sexuelles et savourer le charme des relations coquines, pour le meilleur et pour... le vice !

04/2023

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

Bourgeoise délaissée, j'aimais me sentir avilie...

A l'approche de la quarantaine, Patricia vit très mal les manques affectifs que lui impose son mari, chirurgien renommé qui la délaisse pour son travail. Avoir beaucoup d'argent n'est pas une compensation suffisante. Pas plus que jouer avec sa bonne ou chasser les mâles dans des chambre d'hôtel anonymes. Un jour, cependant, au sortir d'une séance de galipettes, son regard croise celui d'un SDF qui vient d'arriver en ville. Les aventures qu'elle vit à la suite de ce simple regard échangé sont la meilleure preuve que les contraires s'attirent. Patricia N. témoigne dans cette confession d'une expérience qui a bouleversé sa vie de manière radicale.

01/2021

ActuaLitté

Littérature érotique

J'aimais un peu trop le sexe

Le narrateur nous raconte les principaux épisodes de ses débuts dans une vie de débauches. Après quelques humiliations d'enfance, il devient le docile jouet sexuel de sa prof, madame A. Profitant de son autorité, elle va le soumettre à des cours très privés. Quelques mois plus tard, pendant les vacances, lui et son pote Frédéric font connaissance avec des jumelles. Tout se passe bien lorsque leur mère entre en scène. Elle n'hésite pas à poser les règles d'un jeu assez spécial. Après ces vacances singulières, notre jeune héros va à la fac. Géraldine, la fille au bon coeur et aux seins généreux, Emilie, la détraquée qui mélange sadisme et plaisir, s'offrent à lui non sans poser des conditions. De manipulations en coups tordus, de chantages en humiliations, il n'a pas fini d'en voir...

03/2023

ActuaLitté

Littérature française

Je l'aimais à en vivre

Tout va bien, mais en une seconde, tout bascule. Le papa de mes enfants vient de décéder et je dois le leur dire. Comment faire, et comment survivre à ceci ? L'écriture comme bouée. La vie continue, mais rien n'est plus pareil. Osez vibrer dans la vie et profiter du bonheur quand il est là, car après c'est trop tard. La vie est belle, parfois cruelle, la vie est courte, mais toujours rebelle.

02/2023

ActuaLitté

Littérature française (poches)

J'ai perdu tout ce que j'aimais

Pour se remettre du succès inattendu de son premier roman et de la déception du deuxième, Sacha s'est enfui un an à Los Angeles. De retour à Paris, l'accueil est glacial. Ses amis d'enfance lui reprochent de s'être inspiré d'eux pour façonner les personnages de Mes illusions donnent sur la cour, d'avoir révélé leurs secrets et raconté leurs frasques. Hier adolescents trop mûrs, aujourd'hui adultes immatures, ils hantent toujours les grands appartements de leurs parents, une coupe de champagne à la main et une plaquette de Xanax au fond de la poche. Au cours d'une fête, Sacha rencontre Mona. Belle, inconnue, étrangère à son petit monde : l'occasion de fuir. Quand ses amis le mettent en garde contre cette mystérieuse jeune femme, Sacha est sûr que c'est leur rancoeur qui parle. Les choses ont bien changé depuis l'époque du lycée et les fantômes du passé se confondent maintenant avec les démons du présent.

07/2015

ActuaLitté

Poésie

C’est dommage, moi, j’aimais Vénus !

"J'ai absorbé quelques espaces et temps, Mais mon point de Big Bang Est toi mon ange. Tu es la beauté de White Sands, celle de ses gypses blancs. A mi-chemin vers l'Anse Source d'Argent Pour une virée en paddle volant, Avec toi, j'explore et m'aventure Dans des voyages que ne pussent M'offrir quelconques voitures. Je suis à la fois Guinéen et Russe ! "

03/2023

ActuaLitté

Littérature française

Puccini l'aimait

La passion du féminin, voici l'élan qui porte Giacomo Puccini à savourer la vie pleinement, en recherche perpétuelle de liberté, et qui l'amène à composer ses fabuleux opéras. Les plus beaux personnages s'inspirent même de femmes que Giacomo a connues, aimées et qui l'ont accompagnées dans ses mouvements de l'âme. Entouré de secrets et d'intrigues, le souvenir d'une seule amante l'accompagne dans sa vie et au-delà.Dans ce roman librement inspiré de la vie de Puccini, Brigitte Hool propose de découvrir le compositeur sous la facette de l'amour. Intimiste et brillamment tragique, Puccini l'aimait nous tient en haleine jusqu'à la dernière page. Quelle est donc l'identité de la femme qui porte Puccini dans son impétuosité géniale ?

10/2016

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Il m'aimait

" Je ne pouvais pas parler, je n'y avais même jamais pensé tellement tout cela était de ma faute, tellement j'étais compromis et depuis si longtemps. Et puis, au fond, je l'aimais bien, Didier. Depuis plusieurs années, je m'étais habitué à lui. A sa présence, à ses cadeaux et à son amour des enfants. " Le narrateur est aujourd'hui un adulte. Pendant toutes ces années, il a caché - par honte, par impuissance, par culpabilité ? - avoir été la victime d'un ami de la famille, Didier, qui pratiqua sur lui des attouchements sexuels permanents, jusqu'à l'adolescence. Mais tout n'est pas si simple. Et si la victime n'avait pas que du dégoût pour son bourreau ? Et si le pédophile aimait l'enfant qu'il abîme pour le reste de sa vie d'homme ?

03/2006

ActuaLitté

Littérature étrangère

C'est moi qui l'aimais

Juillet 1822. Shelley, le jeune poète anglais, alors âgé de trente ans, rentre de Livourne en bateau, accompagné de son ami Edward Williams. A Casa Magni, grande villa austère construite en bord de mer, trois jeunes femmes attendent son retour : Mary, sa femme, elle-même écrivain et auteur de Frankenstein, Claire, la demi-soeur de Mary, et Jane, la femme de Williams ; trois jeunes femmes qui, chacune à sa façon, aiment Shelley et croient, chacune, être celle qui le connaît le mieux. Par le biais d'un roman psychologique et d'un récit biographique, Rolf Johansson nous fait découvrir un Shelley autre que celui que l'on définit trop simplement comme une figure de proue de la seconde génération du romantisme anglais. Il nous fait revivre un Shelley anarchiste, philosophe, d'une générosité sans limites, épris de justice, de liberté, et qui croit en la perfectibilité du monde.

12/1993

ActuaLitté

12 ans et +

Le garçon qui aimait

Juliette observe Aurèle, le nouveau voisin. Il a son âge, treize ans. Qu'est -ce qu'il fait là, penché au-dessus de la mare qui sépare leurs deux maisons ? Il étudie le cycle des grenouilles, c'est ce qu'il lui répond, sans oser la regarder. Bizarre ce garçon, mais ça ne décourage pas Juliette, d'autant qu'Aurèle n'est pas seulement expert en batraciens mais également en signes précurseurs de divorce. Et ça tombe bien, car les parents de Juliette ne s'entendent plus et ça l'inquiète. Aurèle propose de l'aider à y voir plus clair. Elle accepte.

09/2018

ActuaLitté

Poésie

Tu l'aimais bien, pourtant, ce château

Ce livre est une poésie en prose sur les thèmes de l'amour et de l'abandon, et où la langue, chemin faisant, opère des mutations et se complexifie. Hors des sentiers battus, celle-ci devient bientôt un objet insolite, dont la plupart des mots sont des néologismes, de pures inventions, et la syntaxe même un élan fracturé qui sans cesse se réinvente. Ainsi, au départ tout à fait présentable, la langue se déforme puis se défait. De temps à autre, elle déraille si bien que sa linéarité s'en trouve menacée. Alternativement, elle s'élance, bascule et retombe sur ses pieds, jusqu'à ce que sonne l'heure où plus aucun rétablissement ne demeurera possible, où elle cessera d'opposer à ces monstres que sont les sentiments ardents toute forme de résistance, et où les mots, face à la charge de désir, de frustration, d'effroi, seront décidément infirmes. Alors, triompheront tour à tour le cri, le hurlement, et le silence le plus béant qui soit. Viendra le temps sans fin de ce que l'on pourrait appeler, quoiqu'il n'ait pas de nom, quoiqu'il ne puisse en fait avoir le moindre nom, " néant ", qui n'est même plus le rien mais moins encore que lui, ni du reste non plus de quelque manière que ce soit ne s'inscrit dans le temps : le temps, ce miroir infini d'une absence qui n'est plus même absence, mais qui, si l'on pouvait en sonder les tréfonds, de cette absence serait l'oubli.

ActuaLitté

Littérature française

Tu l'aimais bien, pourtant, ce château

Douleur, blessure, mais oui... Qui échappe, s'échappe, s'en échappe ? Peu, quand tous connaissent douleurs et plaies. Mais ici, le musicien - qu'est aussi notre auteur - assure et assume de s'extirper de l'enfer commun, travaillant sa singularité. Alors, l'écriture mène d'un enfer (souvenirs, mélancolie, etc.) vers un outre. Un outre du langage depuis le langage, qui s'étoile, s'étiole et s'étoile ; luit par l'invention (langagière, typographique). Le paradis de la parole, seule, se rythme dans le courant de l'écrit, passe de l'ode à l'injonction, de l'élégie à l'ironie ; jusqu'au silence ? Pourtant, jamais le coeur ne cesse : c'est le ciel bleu du silence jusqu'à la dicibilité/lisibilité impossible d'une étrange partition. Ca conte, chante, rit, aboie (saturnien), grince, rit à nouveau en ce rapport. Mieux, ça s'écoute. L'oreille recueille, dérobe à la nuit, vole aux vestiges un chant jubilatoire.

07/2023

ActuaLitté

Littérature française

Je t’avais dit que je t’aimais – Tome 3 – Erin

Paris, septembre 2015, Clara essaie encore de réparer sa vulnérabilité après le drame du printemps. Dans son salon la journaliste est en train d'écrire un article lorsque l'interphone retentit. "Clara Saint-Batist ? " demande une voix masculine, chaude. L'accent, charmant, rappelle à Clara les intonations irlandaises de son amie Fiona. L'homme à l'autre bout du fil se présente : "Je suis Kevin Murphy". Il est un regard neuf sur la résilience entamée. Jusqu'à l'inattendu secrètement espéré. L'amour, toujours.

10/2022

ActuaLitté

Littérature française

Je t'avais dit que je t'aimais Tome 1 ;. "Enée"

Paris. Printemps 2015. Clara s'apprête à rejoindre Paul à New York. Mais, elle rate son vol. Une catastrophe la frappe de plein fouet... et la renvoie dans ses souvenirs, où la force de l'amour caresse son humanité pour que colère et peur puissent se dissoudre. Le présent paraît anéanti mais conserve des ressources inouïes. Le passé embrasse Clara dans un élan de tendresse et de compassion : son amitié avec Fiona, une longue et belle histoire par laquelle tout commença.

10/2022

ActuaLitté

Littérature française

Je t’avais dit que je t’aimais -Tome 2. Ethan

Paris. Printemps 2015. Clara s'apprête toujours à rejoindre Paul à New York... Une énième annonce par haut-parleur dans ce hall de Roissy-Charles-de-Gaulle, et la voilà à bord du Boeing 777 à destination de l'aéroport JFK. Bientôt l'enveloppe nuageuse du ciel s'étend jusqu'à son cerveau pour éclipser son esprit à cran. C'est sans compter sur la présence d'un ange. Ses ailes octogénaires cajoleront Clara dans un lumineux lâcher-prise durant tout le vol du long-courrier. L'amour, encore.

10/2022

ActuaLitté

Autres éditeurs (F à J)

Souvenirs cousus

Un album qui met en scène les racines familiales et le temps qui passe. Une courtepointe composée de petits morceaux de tissus raconte l'histoire d'une famille : un carré taché de terre pour se souvenir d'un soldat mort à la guerre, un carré de couleur lavande pour ne pas oublier le parfum préféré d'une cousine morte trop tôt, sans oublier ce petit bout de tissu soyeux pour se rappeler un ami cher et bien d'autres qui rendent cette courtepointe unique. Les illustrations colorées de Caroline Merola donnent vie à chaque moment important de la famille.

10/2022

ActuaLitté

Théâtre

Celui qu'Il aimait

A travers les réincarnations successives de Jean, celui que Jésus aimait, un livre initiatique d'amitié masculine : initiation à la vie, à l'amour, à la mort.

11/2009