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Histoire de l'Algérie à la période coloniale (1830-1962)

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Histoire de France

Histoire de l'Algérie à la période coloniale (1830-1962)

Plus de cinquante ans après la fin de la guerre d'indépendance algérienne, cette vaste fresque de l'Algérie coloniale, replaçant la guerre d'indépendance dans le temps long car c'est bien dans la longue durée que le conflit s'enracine est plus que jamais essentielle pour mieux comprendre la situation actuelle dans les deux pays, ainsi que leurs relations depuis 1962. Dans ce cadre historique, cet ouvrage, écrit principalement par des historiens (algériens, français et d'autres nationalités), met à disposition des lecteurs les travaux les plus récents, qui tiennent compte des interrogations actuelles des sociétés sur ce passé. Il entend questionner comment l'histoire de ces deux pays et de ces populations s'est nouée, dans des rapports complexes de domination et de violence, mais aussi d'échanges, dans les contextes de la colonisation puis de la décolonisation. Il s'agit, enfin, d'interroger les héritages de ces cent trente-deux ans de colonisation qui marquent encore les sociétés algériennes et françaises.

02/2014

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Histoire internationale

Economie de l'Algérie coloniale 1830-1954

La violence des événements qui se sont succédés en Algérie de 1830 à 1962 et liés à la colonisation française ont conduit, le plus souvent, à ne traiter de cette histoire que sous les angles militaire et politique. Ce livre couvre le champ économique qui manquait. Il offre de longues séries statistiques qui mettent un point définitif à beaucoup de questions ayant suscité polémiques et discussions. Certes, loin d'être un champ d'investissement économique, l'Algérie, fut, pendant cinquante ans, un champ de guerre. L'objectif premier des armées d'invasion fut d'abord de conquérir des territoires. Ce trait majeur va déterminer décisivement la nature de la colonisation : elle naît terrienne et le demeurera. Au bout de 130 ans d'occupation française, l'économie coloniale demeure essentiellement agricole et exportatrice de produits agricoles. La minorité infime qui prospère ne réinvestit pas ses profits localement dans l'industrie mais accumule des fortunes qui ont fait la légende de ces quelques 6.400 très grands propriétaires colons -- à la date de 1954, occultant la situation pécuniaire ordinaire du million d'autres Européens employés et ouvriers. Si le discours apologétique ordinaire glorifie les oeuvres de la colonisation, il oublie que routes, travaux publics, ports, extraction minière, agriculture, etc., n'ont pu exister que grâce à la force de travail des Algériens, parfois mobilisés gratuitement sous forme de corvée à laquelle un Code de l'Indigénat les a soumis pendant longtemps. Ainsi a pu apparaître cette économie qui, contrairement à ce qu'affirment certains révisionnistes d'aujourd'hui, a été, en réalité, incapable ne serait-ce que de nourrir la population, et qui a abouti au bout de 130 ans à faire de l'Algérie, encore coloniale, un pays importateur, non seulement de produits industriels, mais simplement de vivres.

11/2018

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Empire colonial

L'histoire vraie des Français d'Algérie (1830-1962)

Après la conquête de cette terre d'Afrique qui n'avait pas encore de nom en 1830, on a présenté le peuplement aux Français comme une chance unique de quitter la misère, qui sévissait dans l'Hexagone, et aussi comme une fabuleuse aventure humaine. Cent trente-deux ans plus tard, ils revenaient d'où ils étaient partis, par bateaux entiers, déracinés, accablés de reproches. En métropole en jugeait leur accent vulgaire, on disait qu'ils avaient mal traité les Algériens, les exploitant parait-il sans vergogne, amassant des fortunes... Rétorquer qu'ils avaient contribué à faire passer la société arabo-berbère du Moyen Age à la modernité ne leur servait à rien : on les rendait responsables d'une guerre, qu'ils avaient de surcroît perdue. La vérité, bien sûr, n'est pas aussi abrute. Raphaël Delpard, qui a combattu en Algérie, rendu à la vie civile, a tenté de comprendre, de réunir les faits, non pas au niveau de l'examen politique, mais à celui de l'homme de la rue. Il expose, sans langue de bois ni favoritisme pour aucune des communautés, les errances, les craintes, les erreurs, les malentendus ; il met en lumière l'abandon de Paris, que l'Algérie n'a vraiment jamais intéressée ; les manipulations et les mensonges d'une classe politique qui, après la fin de l'Indochine, trouva avec le conflit franco-algérien, le discours satisfaisant son ego, devenant de facto le porte-parole d'une prétendue misère, qu'elle n'a pourtant pas rencontrée. L'Histoire vraie des Français d'Algérie : une page d'histoire, d'amour et de larmes, entre deux grands peuples qui ne se sont pas encore remis de leur rendez-vous manqué.

09/2021

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Histoire du droit

La justice en Algérie. 1830-1962

Durant cent-trente-deux années, la France gère, en Algérie, une colonie de peuplement. Les Européens qui se déversent sur la terre africaine réclament des mesures garantissant leur sécurité. La cohabitation judiciaire, improvisée au début, tourne rapidement à l'introduction d'un modèle copié sur le système français. Au fil des années, les juridictions françaises se renforcent. Cette politique donne naissance à une justice nouvelle, originale, comme, par exemple, le juge de paix à compétence étendue. Cette politique se retrouve dans l'attitude adoptée vis-à-vis de la justice musulmane. Orale, rapide, simple peu coûteuse et fondée sur l'équité, celle-ci s'inscrit à l'inverse de la justice solennelle, lourde, écrite dans une langue étrangère, lente, onéreuse, que les Français implantent en Algérie. La justice musulmane s'efface devant la machine judiciaire française. Malgré les revendications des colons elle ne disparaîtra pas totalement. L'utilisation de l'appareil judiciaire à des fins répressives donne naissance à une monstruosité juridique : le régime de l'indigénat. Initié dès les débuts de la conquête, contesté par de trop rares esprits éclairés, défendu par les politiques issus du monde colonial, il ne s'estompera que vers la fin de l'ère coloniale. Cette période de vie commune qui crée des liens profonds entre l'Algérie et la France s'achève dans le cauchemar de la décolonisation ; la justice, laissée aux mains de l'armée, montrera sa face la plus odieuse. La présence française laisse des traces. Le modèle judiciaire implanté, qui s'inscrit dans l'ordre international, servira de base à l'Algérie devenue indépendante, pour construire son appareil judiciaire propre.

11/2022

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Récits de voyage

Le voyage en Algérie. Anthologie de voyageurs français dans l'Algérie coloniale 1830-1930

La prise d'Alger par les troupes du général de Bourmont en 1830 inaugure cent trente-deux ans de présence française sur l'autre rive de la Méditerranée. Elle marque également les débuts d'une abondante littérature coloniale autour de l'Algérie, qui est, d'une certaine façon, notre plus proche Orient. Nombreux sont ceux, journalistes, officiers, députés ou ministres, qui font le voyage et en reviennent séduits par la richesse des couleurs et des paysages. Des écrivains aussi traversent la mer pour découvrir le rivage algérien et ses ruines romaines, les plaines fertiles du Tell, les villages de Kabylie, les grands espaces sahariens, l'épure des dunes, les ciels étoilés et le réconfort des oasis. Gautier, Dumas, Fromentin, les Goncourt, Maupassant, Gide, Eberhardt et Montherlant, parmi bien d'autres auteurs méconnus ou oubliés, consacrent ainsi à l'Algérie des pages mémorables ou pittoresques. Mais un pays, c'est avant tout un peuple, et les écrivains-voyageurs le font vivre : d'abord le peuple algérien avec ses croyances, ses coutumes, ses modes de vie, ses mystères aussi, puis " un peuple neuf ", celui des Français d'Algérie. De tonalités diverses - épiques ou esthétiques, lyriques ou satiriques, fondées sur l'expérience aventureuse et sombre de la conquête ou sur les aléas balisés des premières expéditions touristiques -, toutes ces relations de voyage expriment l'impact émotionnel de ce pays, l'Algérie, sur ceux qui sont venus le découvrir et le raconter. Tous portent témoignage du fait colonial. Leurs propos, bien moins univoques qu'on ne l'imagine parfois, ne sauraient se résumer à l'expression d'une quelconque " voix de l'impérialisme ". Du débarquement de Sidi-Ferruch aux cérémonies du Centenaire, les textes, ordonnés selon le principe chronologique, retracent une histoire toujours passionnée, qui continue de faire battre les cœurs sur les deux rives de la Méditerranée.

02/2008

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Histoire internationale

Un village à l'heure coloniale. Draria, 1830-1962

Durant plus de 130 ans de présence française, de 1830 à 1962, colons et Algériens se sont côtoyés, croisés, affrontés, haïs, aimés... Durant plus de 130 ans, ils ont vécu sur la même terre et été les acteurs volontaires ou désignés de la domination coloniale. Draria, aujourd'hui faubourg d'Alger, a été l'une des premières implantations françaises. En une dizaine d'années à peine, ce hameau agricole s'est peuplé de familles de paysans et d'artisans venus de France ou d'Europe. Les nouveaux arrivants ont pris possession des lieux et établi les règles d'une coexistence qui s'est achevée avec la guerre d'indépendance de l'Algérie. Colette Zytnicki se penche sur un siècle de vies partagées dans le village de Draria. Elle suit, génération après génération, l'histoire quotidienne des familles de colons et d'" indigènes ". Elle révèle les bouleversements les plus profonds et les histoires banales ou hors du commun qui dessinent les contours de la vie d'un village à l'heure coloniale.

04/2019

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Guerre d'Algérie

Le Legs français. Algérie, 1830-1962

Lorsque les Français, en 1830, débarquent sur cette terre appelée "La Régence d'Alger" , celle-ci ne ressemble ne rien à un état. Dans la mouvance turque elle se divise en beyliks quasi autonomes et moyenâgeux. Monde rural, elle vit sans infrastructures urbaines, portuaires, routières industrielles. Au départ de la France en juillet 1962, elle possède au nom "Algérie" , et des frontières reconnues qui ont décuplé sa superficie d'état unifié et administré (2, 4millions de km2. Contre moins de 200 000). Des villes, des ports, des aérodromes ont été créés. Des voies de communications sillonnent le pays. L'industrie se développe. L'agriculture florissante exporte. Des écoles, des hôpitaux ont vu le jour, les épidémies sont enrayées. Le pétrole, le gaz assurent des finances saines. La population s'est multipliée au moins par trois. Un demi-siècle après la rupture du lien entre la France et l'Algérie, alors que l'horizon s'assombrit entre deux civilisations, le legs de 1962 reste matière à controverse. Et pourtant ! Ferhat Abbas, le premier chef de l'Etat de la République algérienne, écrivait : " La colonisation était morte, ce qu'elle avait abandonné dans notre pays représentait un actif considérable. Comment allions-nous le préserver, l'enrichir et le conserver au profit de nos masses ? "

02/2021

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Histoire internationale

L'Algérie à gauche (1900-1962). Socialistes à l'époque coloniale

Du début du XXe siècle jusqu'à l'indépendance, des générations d'individus ont milité à gauche, au parti socialiste, dans l'Algérie colonisée. Ce livre retrace leur histoire et s'attache à dessiner le portrait des militants dans leur diversité et leur complexité. Car la plupart étaient français, mais il y eut aussi des Algériens parmi eux. Ils militaient pour l'égalisation des conditions de vie entre tous les habitants du pays, pour les droits des travailleurs, mais ne prirent longtemps pas la mesure de ce qu'était la "nuit coloniale" pour ceux qui la subissaient. Ils étaient de toutes les grèves, défilaient dans les rues et se battaient avec la droite européenne, mais ne se joignirent pas aux cortèges qui demandaient l'indépendance pour l'Algérie. C'est cet entre-deux, ni anticolonialiste ni purement colonialiste, que ce livre cherche à restituer, pour une compréhension en profondeur de la société coloniale.

03/2018

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Droit

L'Algérie, ses institutions, son droit à l'épreuve de la colonisation

Les vingt-quatre articles contenus dans cet ouvrage forment une contribution à la connaissance de l'histoire des institutions et du droit de l'Algérie. Cette discipline demeure encore lacunaire. Certes il existe une littérature importante sur l'histoire de l'Algérie, mais celle qui concerne la formation des institutions et du droit de l'Algérie contemporaine est marquée par l'absence de grandes synthèses couvrant la totalité de l'histoire algérienne. Seul l'ouvrage de Claude Collot s'efforce de retracer la période allant de l'époque ottomane à l'indépendance ; cependant il ne relate que la mise en place de l'organisation territoriale, des finances et de la justice ainsi que la réglementation de quelques libertés publiques. Disparu beaucoup trop tôt, Claude Collot n'a pas eu la possibilité de parfaire son oeuvre. Il a eu cependant le mérite et surtout la grande intelligence de percevoir que l'histoire des institutions et du droit algérien devait être retracée en la dégageant de sa gangue coloniale. En effet, durant la période coloniale et avec un recul d'un demi-siècle paraissent nombre d'ouvrages qui retracent parfois avec beaucoup de clarté, tel le traité d'Emile Larcher, la genèse des institutions algériennes à l'époque coloniale. Mais le but que se fixent ces auteurs est d'éclairer leur présent colonial à la lumière de l'évolution coloniale. Pour tous les auteurs qui ont écrit entre 1830 et 1962 – voire au-delà – tout commence le 5 juillet 1830. Il faut attendre la fermeture de la période coloniale pour pouvoir entamer une véritable histoire des institutions de l'Algérie et non pas seulement une histoire des institutions algériennes à l'époque coloniale. Claude Bontems a succédé à Claude Collot comme professeur d'histoire du droit à la Faculté de droit d'Alger de 1969 à 1975. Il s'est essayé à poursuivre le travail de son devancier qui était au demeurant un ami de longue date : ils s'étaient connus en 1961 ; il a poursuivi cette oeuvre en introduisant l'histoire des institutions de l'Algérie au sein de cet établissement. Sa présence à Alger a donné naissance à un Manuel des institutions algériennes de 1518 à 1870. Le second volume n'a pu voir le jour. Cependant, les divers articles publiés dans ce recueil constituent une forme de prolongation, incomplète, de cet ouvrage qui n'a pas connu son achèvement. Rédigés entre 1972 et 2012, ils ont tous trait à la formation des institutions administratives algériennes ou à la compréhension du droit applicable à l'Algérie au XIXe et aux débuts du XXe siècles. Ils s'inscrivent dans le nouveau courant qui s'efforce de reconstruire l'histoire institutionnelle de l'Algérie en s'affranchissant de certains présupposés procédant du passé colonial, mais sans minimiser l'importance de ce dernier.

01/2018

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Droit

La justice en Algérie, 1962-1968

En juillet 1962, au lendemain de l'indépendance et par la suite du départ massif des magistrats et auxiliaires de justice français, la situation de la justice en Algérie paraît catastrophique. Mais assez rapidement l'appareil judiciaire va à nouveau s'organiser. Cet ouvrage analyse les étapes de cette organisation. L'auteur, en s'appuyant sur les textes de lois et de décrets, étudie de façon systématique la formation du personnel judiciaire et le fonctionnement des juridictions ; puis, par une analyse des déclarations et écrits des dirigeants politiques, tente une approche de la justice politique; il dresse, enfin, le bilan des premières années de l'indépendance.

01/1968

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Empire colonial

Nouveaux regards sur l'Afrique coloniale française. 1830-1962

Les contributions proposées dans cet ouvrage sont conçues comme autant de regards neufs portés sur l'histoire de l'Afrique coloniale française entre 1830 et 1962. Une grande diversité d'acteurs et d'échelles y est envisagée, le temps long de la colonisation s'articulant avec le temps court d'événements particulièrement marquants. Si l'intérêt pour ce champ n'est pas nouveau, les recherches s'y renouvellent constamment : des spécialistes font ici état des dernières avancées de leurs travaux. Ce dynamisme historiographique répond à une demande sociale forte et à des mémoires encore vivaces et parfois douloureuses, comme en témoignent les débats récurrents dans l'espace public et la prégnance du fait colonial français en Afrique dans les programmes scolaires de l'enseignement secondaire. Initié par l'Association des professeurs d'histoire-géographie (APHG) à la suite d'une journée d'études destinée aux étudiants de CPGE pour le programme de l'ENS, cet ouvrage traite des différentes facettes d'une histoire riche et plurielle. Utile dans le cadre scolaire et universitaire, il s'adresse aux étudiants comme aux enseignants et, plus largement, aux passionnés d'histoire.

05/2021

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Histoire de France

Les voies incertaines de la repentance. Algérie 1830-1962

Ex-membre de l'OAS, l'auteur livre un plaidoyer contre l'esprit de repentance que certains voudraient imposer à la France et aux Français concernant la guerre d'Algérie.

05/2015

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Poésie

L'Omelette rouge

Écrit en bordure de Méditerranée, L'Omelette rouge est un objet vocal à lire aussi avec les yeux. Dans une lumière inférieure s'agitent des voix. Les voix sont séquestrées dans des corps véritables dont la liste dressée par ordre d'apparition s'ouvre sur une comédienne travestie que ses ennemis surnommaient l'omelette rouge. Sarah Bernhardt (1844-1923), Gherasim Luca (1913-1994), Alexandre Blok (1880-1921), Charlotte-Élisabeth de Bavière (1652-1722), John Maynard Keynes (1883-1946), Richard Wagner (1813-1883), Louise Bourgeois (1911-2010), Christine Lavant (1915-1973), Jeanne d'Arc (1412-1431), Ingeborg Bachmann (1926-1973), Arnold Schoenberg (1874-1951), Jean-Marie Straub (8 janvier 1933-), Danièle Huillet (1936-2006), Karl Marx (1818-1883), Friedrich Engels (1820-1895), Lénine (1870-1924), Vélimir Khlebnikov (1885-1922), Alexeï Kroutchonykh (1886-1968), Daniil Harms (1904-1942), Eva Hesse (1936-1970) Cy Twombly (25 avril 1928-) Grace Hartigan (1922-2008), Frank O'Hara (1926-1966), Hannah Hoch (1889-1978), Hans Arp (1886-1966), Til Brugman (1888-1958), Hélène Bessette (1918-2000), Jackson Pollock (1912-1956), Razine (1630-1671), Emily Dickinson (1830-1886), Josée Lapeyrère (1944-2007), Erich von Stroheim (1885-1957), Alexandre Pouchkine (1799-1837), Saint Paul de Tarse (15-67). L'astre Poésie est vécu ici comme un soleil flingué sous lequel scintillent des natures mourantes et de petites personnes perdues. Si " la seule poésie est la poésie à faire " (Pasolini), L'Omelette rouge pose en séries de raccords et dans une préoccupation de distance la question vitale : " que faire? ".

05/2011

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Histoire internationale

Algérie : sortie(s) de guerre. 1962-1965

Souvent prisonnier de "mémoires affrontées ", le traitement historique de la guerre (l'Algérie a eu peine à sortir de tels horizons. Qu'il s'agisse des mémoires combattantes (surtout françaises), de celles des victimes de toutes natures, de leurs collatéraux, voire (les Etats, la liste est longue (les travaux portés par le besoin - plus ou moins conscient - de faire le deuil, sans qu'on sache toujours ce qui relève de la mise à jour objectivée ou de l'enfouissement. En la matière, la période postérieure au 19 mars 1962 est souvent absorbée, dans les images mentales des métropolitains, par un besoin de passer à autre chose, qu'exprime bien l'idée de liquidation du passé colonial. Il y a là, au coeur de l'événementialité, une asymétrie voisine et violente, rappelant celle vécue après septembre et surtout décembre 1944.1 oblitération métropolitaine des violences, qui de militaires deviennent au printemps et à l'été 1962 désormais civiles (dans leur immense majorité), doit donc être évaluée. La compréhension de ce hiatus est en effet centrale pour saisir les mécanismes de sorties de guerre. Il y a d'abord celles des hommes (supplétifs, soldats perdus de l'OAS, militants anticolonialistes, prêtres) dont les destins basculent entre la fuite éperdue et l'espoir bientôt démenti de pouvoir " faire société " en Algérie. Il y a ensuite celles de l'Etat qui génère des temporalités différentes allant de l'urgence du rapatriement et de l'insertion (pour les Français) en métropole aux illusions de maintien d'une présence militaire ou industrielle en Algérie. Enfin, il y a les échos régionaux de la guerre. A cet égard, l'intégration économique voire sociale des rapatriés n'exclue ni des conflits d'identités individuelles, ni de profonds clivages politiques dont les effets se font encore sentir : le combat anticolonial étant la matrice d'une génération.

07/2014

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Histoire de France

La question coloniale dans le mouvement ouvrier en France. De la conquête de l'Algérie (1830) aux indépendances africaines (1962)

Entre le début de la conquête de l'Algérie en 1830 et son indépendance en 1962, marquant l'achèvement de la décolonisation, la France imposa sa domination sur un empire colonial qui fit, à la veille de la seconde guerre mondiale, jusqu'à vingt-deux fois sa taille, asservissant une population de près de 70 millions d'habitants. Pendant toute cette période, la colonisation fut soutenue, impulsée même par les hommes politiques de la bourgeoisie. Et si, à ses débuts, les premiers militants socialistes combattirent le colonialisme, par contre, plus d'un siècle plus tard, au moment des indépendances, les principaux partis issus de ce même mouvement ouvrier s'étaient ralliés au colonialisme, et participaient même aux guerres coloniales. Comment cet alignement sur les vues de l'impérialisme français fut-il possible, quelles en furent les raisons, comment la légende de la gauche anti-colonialiste a-t-elle pu subsister, ce sont quelques-unes des questions auxquelles tente de répondre cet ouvrage.

06/2013

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Histoire de France

L'empire colonial français de Richelieu à Napoléon (1630-1810)

Comment, sur près de trois siècles, l'empire colonial français a-t-il évolué ? Depuis la véritable prise en charge d'un projet colonial par Richelieu et les années 1810 qui marquent la suprématie incontestée de l'Angleterre dans le domaine maritime et sa prise de contrôle des derniers vestiges de possessions françaises, quelles ont été les politiques coloniales à l'oeuvre au sommet de l'Etat français, monarchique, républicain ou impérial ? L'ouvrage montre l'organisation, la montée en puissance de la France des années 1750, les soubresauts, puis la ruine de ce projet colonial, miné par des contradictions (esclavage, créolisation, données militaires et stratégiques) qui conduisent à l'échec. L'étude s'articule autour de trois pôles (Amérique du Nord, transatlantique, océan Indien) et offre un tableau précis de la politique coloniale de la France à travers le double prisme de la métropole et de la réalité autochtone. L'auteur, se plaçant au-delà de la simple perspective économiste comme de l'approche institutionnelle et militaire, restitue la multiplicité des points de vue des acteurs, négociants et habitants, nationaux et autochtones, et les ambiguïtés des marqueurs culturels entre "créolisation" et ostentation des signes d'intégration. Citations, portraits des grandes figures du monde colonial, cartographie originale font de ce livre un usuel indispensable pour connaître ce premier contact de la France avec la colonisation.

06/2015

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Littérature française

C'était... L'algérie de mon enfance. 1952 - 1962

Souvenirs d'une enfance dans l'Algérie encore française entre 1952 et 1962 date de son Indépendance. Puis, retour sur les pas de cette enfance 48 ans plus tard.

04/2017

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Algérie

Algérie 1962. Une histoire populaire

En Algérie, l'année 1962 est à la fois la fin d'une guerre et la difficile transition vers la paix. Mettant fin à une longue colonisation française marquée par une combinaison rare de violence et d'acculturation, elle voit l'émergence d'un Etat algérien d'abord soucieux d'assurer sa propre stabilité et la survie de sa population. Si, dans les pays du Sud, cette date est devenue le symbole de l'ensemble des indépendances des peuples colonisés, en France, 1962 est connue surtout par les expériences des pieds-noirs et des harkis. En Algérie, l'historiographie de l'année 1962 se réduit pour l'essentiel à la crise politique du FLN et aux luttes fratricides qui l'ont accompagnée. Mais on connaît encore très mal l'expérience des habitants du pays qui y restent alors. D'où l'importance de ce livre, qui entend restituer la façon dont la période a été vécue par cette majorité. L'année 1962 est scandée par trois moments : cessez-le-feu d'Evian du 19 mars, Indépendance de juillet, proclamation de la République algérienne le 25 septembre. L'histoire politique qu'ils dessinent cache des expériences vécues, que restitue finement Malika Rahal au fil d'une enquête mobilisant témoignages, autobiographies, photographies et films, chansons et poèmes. Emerge ainsi une histoire populaire largement absente des approches classiques : en faisant place au désespoir des Français d'Algérie dont le monde s'effondre - désarroi qui nourrit la violence de l'OAS -, elle relate le retour de 300 000 réfugiés algériens de Tunisie et du Maroc, la libération des camps de concentration où était détenu un quart de la population colonisée, ou la libération des prisons, ainsi que les spectaculaires festivités populaires. L'ouvrage décrit des expériences collectives fondatrices pour le pays qui naît à l'Indépendance : la démobilisation et la reconversion de l'Armée de libération nationale, la recherche des morts et disparus par leurs proches, l'occupation des logements et terres laissés par ceux qui ont fui le pays. Une fresque sans équivalent, de bout en bout passionnante.

01/2022

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Economie

Agriculture et paysannerie en Algérie. De la période coloniale aux politiques agricoles et rurales d'aujourd'hui (1962-2019)

Cet ouvrage aborde des thèmes cruciaux et des problématiques qui émergent ces derniers mois dans les débats publics, au sein des associations et des divers cercles et think tank nationaux (sécurité alimentaire du pays, compétitivité de l'agriculture, effets du changement climatique, foncier rural...). L'histoire coloniale de la paysannerie et des communautés rurales décrit et analyse les bouleversements fonciers à l'origine du chamboulement des anciennes formes d'organisation de la société rurale et de la décomposition des structures tribales dans l'Algérie du XIXème siècle. Pour les deux premières décennies (1960 et 1970), période historique marquée par l'Autogestion et la Révolution Agraire (R A), l'auteur traite de la question des structures agraires et des évolutions de la paysannerie algérienne ainsi que des politiques publiques agricoles qui s'y rattachent. Dans un foisonnement d'écrits et d'enquêtes, il nous invite à une lecture contextualisée de la RA et une évaluation objective de cette mesure, objet de nombreuses controverses. L'ouvrage aborde également les politiques agricoles et rurales des années 2000-2018, puis les transformations qui affectent les rapports sociaux dans les campagnes. Il s'agit là d'un véritable bilan des résultats des politiques agricoles et rurales et qui engagent des réflexions sur des questions plus actuelles : celles des formes sociales d'organisation dans l'agriculture, des choix techniques pour assurer la durabilité des ressources naturelles, de l'emploi et de la sécurité alimentaire du pays. L'ouvrage résume un parcours de recherche de plus de 40 ans consacré aux questions de l'agriculture et de la paysannerie. Les cadres de références théoriques et l'approche pluridisciplinaire que l'auteur mobilise dans ses écrits, se conjuguent avec une passion nourrie de ses relations avec le monde de l'agriculture (paysans, ingénieurs agronomes, chercheurs, étudiants, fonctionnaires,...). Il exprime un engagement citoyen dans la promotion d'une agriculture durable, la réhabilitation de la paysannerie et la défense du monde rural.

10/2019

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Romans historiques

Là-bas. 1830-1962

LA - BAS Epopée des Français d'Algérie de 1830 à 1962, de la colonisation d'un pays sans nom à l'exode des pieds-noirs. La plus grande partie de ce roman historique est inspirée de faits réels qui se son déroulés déroulés de 1954 à 1962.

01/2022

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Histoire de France

GENERAL DU CONTINGENT. En Algérie, 1960-1962

Le général Ailleret rejoint l'Algérie en mai 1960, quelques jours après le succès de la première explosion atomique française au Sahara. Il y reste jusqu'au printemps 1962. Pendant presque deux ans, il est le "patron" de quelque quatre cent mille officiers, sous-officiers et soldats, qui mènent une guerre sans nom, sans visage : la guerre d'Algérie. C'est donc un témoignage exceptionnel que nous publions aujourd'hui, une page de notre histoire retrouvée trente ans après la mort d'un de ses acteurs principaux. Le général Ailleret fait revivre ces années de sang et de larmes, depuis sa nomination dans le Constantinois, comme commandant de la Zone Nord, jusqu'à l'arrêt des combats. Il ne nous cache rien de ses doutes, de ses difficultés, de ses angoisses. Il évoque aussi ses succès, les nuits sans sommeil, le contingent qui le soutient contre les putschistes, la guerre des rues, les ordres de Paris, l'arrestation des factieux... Deux années épuisantes, exaltées. Car les généraux se font rebelles, les rebelles agents secrets, et les agents secrets... terroristes. Le général Ailleret mêle avec talent ses réflexions stratégiques personnelles, des anecdotes tragiques, drôles parfois, l'évocation des combats. C'est toute une époque qui renaît sous nos yeux, des années de souffrance et de malentendus. Général du contingent est un témoignage historique hors du commun : quand un soldat se fait chroniqueur.

11/1998

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Histoire de France

Littérature et sociétés coloniales (1850-1960)

L'ouvrage est la restitution d'une journée d'études proposée par les centres de recherche en histoire (ITEM) et en lettres (CRPHL) de l'Université de Pau et des pays de l'Adour. Il explore le regard des écrivains qui ont utilisé le monde colonial comme sujet d'écriture. L'objectif de cette journée a été de croiser les regards, les expériences en étudiant et comparant les grandes régions colonisées (Indochine, Algérie, Afrique portugaise, Afrique francophone, Caraïbe, Guyane) afin de faire émerger les représentations, ou imaginaires autour de ces mondes par des approches pluridisciplinaires : littéraires, historiens, géographes... ont ici croisé leurs analyses. La littérature est en effet rarement neutre sur les colonies, engagée dans un sens colonialiste ou d'autres fois anticolonialiste ; et elle est parfois ambiguë. Les auteurs étudiés sont issus de divers mondes : un gouverneur, des écrivains issus des colonies, des regards venus de la littérature coloniale, des essayistes anticoloniaux.

06/2017

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Histoire de France

Algérie coloniale. Musulmans et chrétiens : le contrôle de l'Etat (1830-1914)

Au cours du XIXe siècle, catholicisme et islam deviennent les deux religions majoritaires en Algérie. Catholicisme d'importation d'un côté, islam pluriséculaire de l'autre. Comment la France a-t-elle procédé dans ses relations avec les deux cultes ? Et que nous disent ces relations de la réalité coloniale ? Oissila Saaïdia retrace les étapes qui ont conduit à "l'invention du culte musulman" : lieux spécifiques et desservants institutionnels vont ainsi former les bases du culte. Quant au catholicisme, il apparaît comme l'un des piliers de l'ordre colonial. Mais les tensions ne vont pas tarder à surgir entre une Eglise hostile à la République anticléricale et des musulmans tolérant de moins en moins l'"obsession sécuritaire" de la France. C'est dans ce contexte de mise sous tutelle des cultes que la loi de séparation de 1905 va donner, pour la première fois, un cadre légal à l'islam. Conçue pour la métropole, cette loi est censée inaugurer un nouveau type de relations entre l'Etat et les cultes dans la mesure où elle stipule que la République ne reconnaît ni ne subventionne aucun d'entre eux. En théorie, toutes les confessions sont placées à la même enseigne républicaine. Dans la réalité, les choses seront bien différentes...

02/2015

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Histoire de France

Histoire de la guerre d'Algérie. 1954-1962

Histoire de la guerre d'Algérie, 1954-1962. Longtemps après la fin des hostilités en Algérie, les passions restent vives. Cependant, une nouvelle génération veut comprendre ce que fut le drame franco-algérien, doublé d'un conflit franco-français, de 1954 à 1962. Sur ces années déchirantes, Bernard Droz et Evelyne Lever se sont attachés à faire le point, en tentant de réaliser la synthèse la plus sereine possible de l'énorme masse de témoignages, souvenirs, articles de presse, comptes rendus d'audience..., sans oublier les quelques analyses fondamentales déjà publiées. A travers ce foisonnement, les auteurs tracent les grandes lignes de l'évolution du conflit, tout en mettant en évidence les effets de la rebellion algérienne sur la politique intérieure de la France et ses répercussions sur le plan international.

02/2002

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Histoire de France

Chère Algérie. La France et sa colonie (1930-1962)

Plus de deux cent mille morts, côté algérien, près de trente mille morts, côté français : telle fut l'issue sanglante de la guerre d'Algérie. Cette guerre meurtrière, qui a longtemps tu son nom, fut aussi extrêmement coûteuse : elle a représenté 20 % du budget de l'Etat pour la seule année 1959. Fallait-il que les enjeux soient considérables pour que la France manifeste, si longtemps, un tel attachement! Or ce livre démontre qu'il n'en fut rien, mettant à mal, au passage, bien des idées reçues : dès le début des années trente, l'Algérie connaît une crise qui ira s'aggravant jusqu'à son indépendance, et représente un fardeau toujours plus lourd pour la métropole. Les ressources sont insuffisantes pour nourrir une population qui croît très vite, car l'Algérie n'est pas ce pays richement doté par la nature qu'on s'est longtemps plu à imaginer; la misère s'étend, les Algériens sont, très tôt, contraints de s'expatrier pour nourrir leurs familles - et non parce que la France fait appel à eux pour se reconstruire après 1945. Cette crise, aucune mesure n'a pu la juguler, ni les tentatives pour industrialiser la colonie avant la guerre, ni le plan de Constantine décidé en 1958. Quant à la découverte des hydrocarbures du Sahara, elle fut loin de représenter la manne qui aurait avivé la cupidité de la puissance coloniale... Analysant les relations complexes et changeantes entre les acteurs de la colonisation -Etat, organismes patronaux, entreprises, citoyens -, Daniel Lefeuvre propose une histoire nuancée et critique de ce pan tragique de notre passé colonial, au risque de heurter les partisans de la commémoration nostalgique comme les tenants d'une "repentante" mal entendue.

04/2005

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Histoire internationale

France-Algérie, cinquante ans d'histoires secrètes. Tome 1 (1962-1992)

"Les relations entre la France et l'Algérie peuvent être bonnes ou mauvaises, en aucun cas elles ne peuvent être banales". Ces mots de 1974 sont de Abdelaziz Bouteflika, alors jeune ministre des Affaires Etrangères. Le contexte est particulier : il veut faire de son pays le guide des non-alignés, la tête pensante d'une autre diplomatie, loin des colonies. Dix ans plus tôt, ou quarante ans plus tard, ces mots ont toujours valeur d'axiome : entre la France et l'Algérie, bien que les deux parties s'entendent parfois sur le papier, ou dans les poignées de mains qu'on affiche devant les palais présidentiels, c'est toujours compliqué. Depuis les accords d'Evian, les deux pays entretiennent une relation passionnée et tumultueuse faite d'amour et de haine sur fond de contrats gaziers, d'immigration et de plaies identitaires mal refermées. Une relation où tous les coups seront permis, mais en cachette. Ces tromperies, ces histoires secrètes, Naoufel Brahimi El Mili a décidé d'enfin les dévoiler. Depuis Valéry Giscard d'Estaing et l'OAS, jusqu'aux espions algériens à Paris, en passant par les petits services d'Alexandre de Marenches et de la DGSE, il révèle cinquante ans de manoeuvres confidentielles, de coups bas toujours restés dans l'ombre. Tout ce qu'on n'avait pas osé écrire.

03/2017

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Littérature française

Pèlerinage à Deux Marabouts. Chronique d’un village colonial (Algérie 1875-1962)

Il n'est pas peu insolite ce récit du pèlerinage d'un Français d'Algérie sur le lieu de son enfance et de son adolescence. Empruntant les méandres d'une narration polyphonique, "Pèlerinage à Deux Marabouts" s'efforce par ce biais de restituer la grande histoire à travers la petite, celle, plus anecdotique, sur le cours du au jour le jour. Ainsi, le périple de son personnage mue pour le lecteur en immersion dans les annales d'une agglomération, depuis son édification sous régime colonial, vers la fin du 19e siècle jusqu'à l'indépendance algérienne. Observons à ce propos que si la littérature sur le passé colonial du pays a essentiellement eu pour acteurs des individus, dans "Pèlerinage à Deux Marabouts" , le personnage principal en est un village ainsi que ses habitants, les deux voulus représentatifs de la société coloniale d'alors, toutes communautés confondues.

08/2023

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Romans historiques

Les Chevaux du soleil

Epopée de la France en Algérie, de la conquête en 1830 au départ des pieds-noirs en 1962. Fresque grandiose de l'aventure coloniale de la France en Afrique du Nord. La série romanesque des {Chevaux du soleil} est, à l'origine, composée de six volumes publiés de 1968 à 1975 : I - Les Chevaux du soleil - 1968 II - Une femme au nom d'étoile - 1968 III - Les Cerises d'Icherridène - 1969 IV - Le Maître de la Mitidja - 1970 V - Les Ames interdites - 1972 VI - Le Tonnerre et les Anges - 1975. En 1978, dix ans après, Jules Roy a entrepris un travail considérable de remaniement et de resserrement de l'ensemble de ces six tomes pour parvenir à un fort volume de 924 pages qui constitue l'édition définitive des {Chevaux du soleil} .

08/1980

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Histoire littéraire

Passé et présent - 1830-1838. 1830-1838

L'intérêt majeur de ce texte est dans la mise en évidence du rôle de Heine et Börne, intellectuels juifs, dans la genèse de la conscience politique allemande : écrire que Napoléon a été l'émancipateur des Juifs allemands et que sa défaite en a été une pour eux, mais aussi pour tout le peuple allemand.

01/2023

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Histoire littéraire

Passé et présent - 1830-1838. 1830-1838

L'intérêt majeur de ce texte est dans la mise en évidence du rôle de Heine et Börne, intellectuels juifs, dans la genèse de la conscience politique allemande : écrire que Napoléon a été l'émancipateur des Juifs allemands et que sa défaite en a été une pour eux, mais aussi pour tout le peuple allemand.

01/2023