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Dernier voyage à Buenos Aires

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Littérature française

Dernier voyage à Buenos Aires

Jefferson Woodbridge, jeune étudiant américain de vingt ans, débarque dans le Paris des années 60 avec le rêve de devenir un écrivain célèbre. Trente ans plus tard, désabusé, il n'est qu'un "obscur tâcheron du monde de l'édition" . Lorsque son médecin lui apprend qu'il va perdre la vue, Jefferson décide d'aller mettre fin à ses jours en Argentine, à la faveur d'un ultime voyage à Buenos Aires. Ressurgit alors le souvenir de Magdalena, une jeune femme solaire, fantasque, insaisissable, avec laquelle il vécut l'amour et la bohème avant qu'elle ne disparaisse du jour au lendemain.

12/2014

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Littérature française

Dernier voyage à Bueno Aires

Jefferson Woodbridge avait débarqué à Paris à vingt ans avec l'intention de devenir un romancier américain célèbre. Quelques décennies plus tard, on le retrouve, désabusé, obscur tâcheron du monde de l'édition qui apprécie ses qualités de nègre et de traducteur. Lorsque le docteur Moreno lui annonce qu'il sera aveugle dans les six mois, cela lui apparaît comme une délivrance : "Ainsi donc je n'aurai plus jamais le temps de m'ennuyer" se dit-il, en prenant la décision d'aller mettre fin à ses jours à Buenos Aires. La proximité de la mort fait également resurgir le souvenir de Magdalena, la première femme, peut-être la seule, qui ait compté dans sa vie. Une jeune femme solaire, fantasque et insaisissable dont l'apparition un samedi soir au métro Mairie de Montreuil l'avait ébloui. Comme dans un rêve, il se souvient d'avoir vécu avec Magda la vie de bohème à Paris. Un jour elle avait disparu.

03/2013

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Musique, danse

Dernier tango à Buenos Aires

On le crut longtemps en déshérence. Concurrencé par les rythmes anglo-saxons quand ce n’est pas censuré ou contraint à l’exil par la dictature, le tango avait quasiment disparu de la scène porteña. Jusqu’à ces jours tragiques de la crise Argentine où le peuple en révolte ne le plébiscite et en fasse l’étendard de son identité. C’est ainsi que venu des marges, porté par un vaste courant de rébellion, le mouvement tanguero conquit à nouveau le cœur de Buenos Aires comme il l’avait séduit un siècle auparavant. De la musique à la danse en passant par l’écriture des textes, on ne compte plus la profusion d’orchestres, de professeurs et de poètes qui depuis les années 1990 l’enrichissent de leurs créativités. Indépendamment du boom croissant de la danse pour des milliers de touristes, l’apprentissage du tango dans les écoles et l’immense engouement des jeunes argentins pour la milonga (le bal) ont un profond impact dans la vie sociale. Une réappropriation musicale et culturelle qui, bien plus qu’un phénomène, constitue au regard d’Horacio Ferrer, Directeur de l’Academia Nacional del Tango « l’avènement d’une ère sans précédent ». C’est à la genèse et à l’inventaire de ce nouvel âge d’or du tango que s’efforce de répondre cet ouvrage. Après un premier essai sur l’histoire de la capitale argentine : « Buenos Aires, cinq siècles d’un mythe réinventé », Michel Bolasell nous livre ainsi le fruit d’une enquête inédite à ce jour, richement illustrée et complétée par plusieurs grands entretiens avec les principaux danseurs, musiciens, auteurs et interprètes de cette nouvelle mouvance du tango, qui passionnera les amateurs du genre autant qu’il suscitera la curiosité des moins initiés.

11/2010

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12 ans et +

Escale à Buenos Aires

Mystère au musée, au rythme du tango argentin !

10/2020

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Littérature Espagnole

Eichmann à Buenos Aires

Buenos Aires, juillet 1952. Ricardo Klement accueille sa femme et ses trois enfants, tout juste débarqués d'Europe. De loin, la scène de retrouvailles est touchante. Mais elle se déroule en Argentine, sept ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, et Ricardo Klement n'est qu'un nom d'emprunt... Derrière ce patronyme se cache Adolf Eichmann, logisticien de la Solution finale qui a trouvé refuge à Buenos Aires deux ans auparavant et adopté l'identité d'un "simple" éleveur de lapins et un membre discret de la communauté. Au coeur de cette capitale argentine où se croisent en silence anciens SS et Juifs ayant fui l'Allemagne nazie pour échapper à l'horreur, il mène une existence paisible... Pourtant, personne n'ignore son identité, son passé, ses idées et la violence qu'il porte en lui. Comment est-ce possible ? Ariel Magnus nous transporte dans cette réalité argentine cauchemardesque qu'il connaît si bien et livre un roman aussi fascinant que dérangeant. Traduit de l'espagnol (Argentine) par Margot Nguyen Béraud.

08/2021

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Littérature française

Retour à Buenos Aires

Un bibliothécaire qui voyage avec une urne sur un porte-conteneurs doit avoir une bonne raison de le faire. Et si cette raison était une histoire d'amour dont la clé se trouvait à Buenos Aires ?

03/2018

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Littérature française

Buenos Aires Mayday

Ne jamais toucher terre. Tel est le désir de Carola, jeune hôtesse de l'air à l'humeur revêche, que son licenciement cloue au sol. Dépitée elle s'enferme dans sa tour de cristal, un appartement au vingt-huitième étage avec terrasse ouverte sur l'horizon boueux du Río de la Plata. La réalité et ses quatre vérités finissent par frapper à sa porte : l'impasse des passions aveugles, l'héritage de sa mère disparue, la maladie de tante Beca et la colère des Argentins, qui s'apprêtent à destituer cinq présidents en deux semaines. Au coeur de la foule quelques curieux personnages, dont un ministre aux yeux vairons et un faux comte, une dramaturge perfide, un producteur de télé-réalité et ses drôles de chatons. Du traumatisme de la dictature aux travers de la démocratie ; de la nécessité du deuil pour renouer avec la vie ; de l'amour et la littérature comme fuite, ou comme refuge... Voici l'atterrissage forcé d'une hôtesse de l'air dans la réalité de son passé, celui de la tumultueuse Buenos Aires.

06/2020

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Littérature française

A la dérive dans Buenos Aires

Elle marchait en équilibre sur la corniche du patio, à trente mètres du sol. Tout le monde en bas retenait son souffle, de peur qu'un simple courant d'air ne la fasse chuter. Un avion est passé lentement dans le ciel et son haleine muette et laiteuse a tracé derrière elle, dans le bleu craquelé de froid de ce matin d'automne, un joli feston de fibres cotonneuses. Elle sembla s'y appuyer un court instant, puis se remit à cheminer sur le bord du monde, de son pas gracile de danseuse ivre. La ville avait plongé d'un seul coup dans un silence vibrant, que seules les corneilles mantelées déchiraient de leurs craillements charbonneux. J'ai fendu la foule tétanisée des futurs laissés-pour-compte, et avant que j'aie pu dire quoi que ce soit, elle s'est jetée dans le vide. Son corps a flotté dans les airs, c'était beau et suave, elle souriait, et j'ai cru l'entendre me murmurer, en tombant, des mots d'amour et de désespoir. Le choc mat et sourd que son enveloppe corporelle a fait en touchant le sol s'est fiché dans mon coeur, comme un coin de métal vif et brûlant. Pour toujours. Elle s'appelait Pamplemousse, elle était belle, elle était argentine, c'était mon amoureuse, et je l'aimais à la folie. Je me suis enfui. De ma vie, de mon bonheur, vide désormais, de Genève. J'ai pris, en aller simple, le premier vol pour Buenos Aires.

10/2018

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Histoire internationale

Histoire de Buenos Aires

A l'image du tango qu'elle a vu naître et des labyrinthes chers à Jorge Louis Borges, Buenos Aires est une ville mythique. Dès sa fondation, son histoire est jalonnée de disparitions que les légendes ou la poésie viendront combler jusqu'à se confondre avec elle. Les premiers Espagnols doivent l'abandonner en 1536, peu après l'avoir fait surgir du néant. La bourgade renaît, à l'orée de la pampa, vivant de la chasse au bétail ensauvagé et de la contrebande. Longtemps capitale des gauchos, elle devient en 1778, celle du vice-royaume du Rio de la Plata, puis le berceau de la révolution des peuples sud-américains contre l'Espagne. La toute jeune capitale de l'Argentine, avec ses rues tirées au cordeau, est une ville immense, dont le rayonnement intellectuel ne s'éteindra qu'au temps des dictatures. C'est une ville cosmopolite où d'innombrables Européens cherchent à faire fortune et où toutes les races de la terre viennent se fondre. Bientôt, les enfants d'immigrés et les marginaux s'identifient à Gardel, un enfant de Toulouse, grâce auquel le tango conquiert un public international. Au fil des siècles, bien d'autres personnages charismatiques suscitent la faveur des Portègnes : San Martin le libertador, Rosas le pourfendeur de l'impérialisme européen, Evita Peron la tant aimée, Diego Maradona, idole d'une Argentine triomphante. En 1976, la ville qui avait donné à des millions d'hommes un sol et des rêves sombre dans les ténèbres. Commence alors l'opération " Grand silence " au cours de laquelle trente milles personnes disparaissent. " Mais y a-t-il un oubli qui ne contienne un souvenir ? " Demande Roberto Juarroz. Les mères de la place de Mai n'oublieront jamais, elles qui pendant près de vingt ans se sont battues pour connaître la vérité.

11/1997

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Littérature française

Buenos Aires n'existe pas

Il est l'Ulysse aux mille ruses de l'art moderne, le Français le plus connu de l'époque à New York avec Sarah Bernhardt. Mais pour l'heure, c'est juste un mince jeune homme au complet froissé qui sent le tabac froid. Nous sommes le 9 septembre 1918 et Marcel Duchamp, qui a fui les Etats-Unis, descend du Crofton Hall comme le parfait don nadie, Monsieur Tout-le-monde. Il cherche une Arcadie, un rivage un peu ouaté qui assourdisse le boucan de la guerre : ce sera Buenos Aires. Mais ce que Duchamp ne sait pas à son arrivée, c'est que la ville parle mille langues, raffole des sciences occultes, ignore encore le cubisme et s'apprête à connaître la plus grande insurrection ouvrière de son histoire. Ce récit littéraire raconte un "blanc" biographique, où la fiction est appelée à la rescousse là où manquent les documents. Jusqu'à imaginer les desencuentros, les rendez-vous manqués de Duchamp avec quelques-unes des plus grandes figures argentines, dont Jorge Luis Borges.

08/2021

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Littérature française

Le Chemin de Buenos Aires

Texte intégral révisé suivi d'une biographie d'Albert Londres. En 1926, l'auteur de "Marseille, porte du Sud", s'intéresse aux réseaux de prostitution et en particulier au sujet très sensible à l'époque de la "traite des blanches", à savoir l'émigration plus ou moins forcée vers l'Argentine de jeunes femmes françaises pauvres tombées sous la coupe de proxénètes. Après avoir recueilli des renseignements dans le milieu des souteneurs et des recruteurs parisiens, le grand reporter embarque pour Bilbao, Buenos Aires et Montevideo. Sur place, de trottoirs en maisons closes, il mène une passionnante enquête de terrain sur la piste des "Franchuchas" malgré l'hostilité de la pègre locale avec ses maquereaux, trafiquants, rastaquouères et canailles en tous genres, tels Vacabana le Maure ou Victor le Victorieux. Il décrit avec minutie les mécanismes et relations de complicité ou d'intérêts bien compris entre tous les membres de ces réseaux de prostitution, notamment entre les filles et leurs protecteurs, ainsi que les diverses communautés impliquées, comme par exemple la puissante "Zwi Migdal", une organisation de proxénètes juifs qui prostitue pour sa part les femmes juives polonaises. "Le Chemin de Buenos Aires", sous-titré "La traite des blanches", est l'une des enquêtes les plus humanistes et les plus engagées d'Albert Londres qui, le premier avec ce livre-reportage, n'hésite pas souligner la responsabilité collective du phénomène et à mettre en cause le système social patriarcal et machiste qui l'engendre et en tire profit.

12/2022

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Littérature française

Le Chemin de Buenos Aires

En 1927, Albert Londres public le premier de ses grands reportages imaginé dès l'origine comme un livre. Le sujet est de ceux qui dérangent. En France, tout le monde en parle mais feint d'ignorer les réalités : la traite des Blanches, avec l'Argentine comme destination. Le succès de ce livre-enquête est considérable. La minutieuse enquête à laquelle le reporter se livre part d'une certitude : la cause réelle de la prostitution n'est pas la recherche du plaisir ; et si, pour toutes ces filles, les trottoirs de Buenos Aires sont tant à la mode, c'est qu'il y a des raisons précises. Malgré les difficultés d'approche d'un sujet aussi délicat, Albert Londres se renseigne d'abord auprès des proxénètes du milieu parisien. Il découvre les dessous insoupçonnés d'un monde où l'honneur et la débrouillardise côtoient l'exploitation la plus directe de la misère ; et ses contacts, obtenus par la confiance parce qu'il ne juge pas, lui permettent de poursuivre ses vérifications sur place, en Argentine, de constater l'ampleur d'un phénomène international et de mesurer la valeur et la signification de raclage qui dit " riche comme un Argentin ", avec toutes ses conséquences.

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Récits de voyage

Le goût de Buenos Aires

Buenos Aires rayonne bien au-delà de son centre historique et de son emblématique place de Mai - la Plaza de Mayo. Troisième ville la plus peuplée du continent américain, la capitale de l'Argentine est l'une des plus étendues du monde : ses avenues se prolongent vers les différents faubourgs, des Mataderos à Saavedra, de Parque Chas au Riachuelo, et se perdent jusque dans l'immense pampa. Les Portenos - les habitants de Buenos Aires - forment un peuple étonnant : quelles que soient les péripéties, il renaît, chante et danse la vie avec une ferveur renouvelée et une énergie insatiable. Dictature après dictature, stigmates après stigmates, de l'extermination des Indiens jusqu'aux années noires du Procès... Dans une milonga, au son d'un tango de Carlos Gardel, ou en sirotant le mythique maté, balade dans ce " Paris austral " en compagnie de Silvia Baron Supervielle, Marguerite Moreno, Paul Morand, Silvina Ocampo, Ernesto Sàbato, Albert Camus, Pablo Neruda, Julio Cortâzar, Witold Gombrowicz et bien d'autres...

01/2009

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Littérature étrangère

Eaux-fortes de Buenos Aires

Ecrites entre 1928 et 1933, les Eaux-fortes de Buenos Aires sont autant d'instantanés de la capitale argentine. Ces chroniques journalistiques forment un tableau vivant et mouvant de la ville, une oeuvre urbaine et moderne. " Voici venues les nuits des chaises sur le trottoir, des familles stationnées aux portes de leurs maisons ; voici venues les nuits de l'amour sentimental, du "bonsoir voisine", du si poli et fort insinuant "comment ça va, monsieur Pascual", et monsieur Pascual sourit et se lisse la moustache, car il sait bien pourquoi le p'tit jeune lui demande de ses nouvelles. Voici venues les nuits... ".

05/2019

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Photographie

Les visages de Buenos Aires

Au coeur de Buenos Aires, ville de contrastes et de passions, se niche la plus belle des richesses. Un trésor incommensurable : ses habitants. Ce livre, le premier d'une trilogie dédiée à cette métropole fascinante, est un hommage vibrant aux visages qui façonnent son identité. Il résulte d'une collaboration unique entre Valery Wallace, un photographe amoureux du portrait, et une auteure, Lysok Antonini Dangy, qui a connu et profondément aimé ce pays, offrant une fenêtre sur l'âme et les émotions de la capitale argentine. A Buenos Aires, sur toile de fond de chaos sentimental, chaque rue, chaque place, chaque trottoir raconte une histoire. Et ce sont ses habitants, avec leurs parcours personnels et leurs expériences, qui donnent vie à la ville. Valery Wallace a capturé avec sensibilité les portraits de ces personnages - travailleurs, artistes, journalistes, entrepreneurs, jeunes et moins jeunes - reflétant la diversité et la richesse culturelle de la capitale. Chaque image est une célébration de l'individualité et de la communauté, offrant un aperçu intime de la vie quotidienne de la cité portègne. Lysok Antonini Dangy, par ses mots, donne une voix à ces images. Ses courts textes ne sont pas de simples descriptions, mais des réflexions complices sur la signification de chaque portrait. Ils explorent les histoires derrière les visages, les rêves et les aspirations, les défis et les triomphes. Ensemble, images et mots tissent une narration qui transcende la simple photographie offrant une expérience riche et nuancée d'un vécu parfois difficile mais toujours authentique.

03/2024

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Littérature Espagnole

La faussaire de Buenos Aires

A Buenos Aires, une mystérieuse faussaire a atteint le statut de légende : imitatrice de génie et peintre de talent, la Negra s'est entourée d'artistes et autres comparses pour inonder le marché de l'art d'" authentiques faux ". Nuit après nuit, tous se retrouvent dans l'étrange Hôtel Mélancolique. Des années plus tard, la narratrice, critique d'art sur le déclin, se plonge dans les archives et enquête sur leurs aventures. Peu à peu, se dessine ainsi en creux le portrait de cette femme insaisissable – et de la grande Mariette Lydis qu'elle a inlassablement copiée. Mêlant personnages réels et imaginaires, María Gainza enveloppe et envoûte son lecteur par touches, oscillant entre humour, délicatesse et réalité triviale. Méditation passionnante sur ce que nous entendons par " authenticité " – dans l'art et ailleurs –, La Faussaire de Buenos Aires est une galerie de femmes fortes et inspirantes.

06/2022

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Policiers

Dernier voyage à Niceville

Les disparitions inexpliquées de plusieurs personnes, le comportement alarmant du jeune Rainey, la longévité exceptionnelle d'Abel Teague, et tous les événements troublants qui se sont succédé dans l'atmosphère moite de la cité maléfique trouvent leur conclusion dans ce volume. Ceux qui erraient entre deux vies vont faire enfin ce dernier voyage qui leur apportera la paix. Mais avant d'en arriver là, le Mal frappera encore, avec la même brutalité sauvage. Reste à savoir si l'on peut vraiment imputer l'inconcevable à Kalona Ayeliski, le Démon Corbeau qui hante Niceville depuis des temps immémoriaux... Alliant la violence effrénée du thriller à l'atmosphère toxique du gothique surnaturel, Dernier Voyage à Niceville est un trip à part, avec des dialogues décapants et des scènes envoûtantes.

06/2015

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Littérature française

Dernier voyage

Ce livre décrit l'histoire de destins qui se croisent, au gré de situations politiques et sociales ; des bouts de chemin effectués ensemble ; des attirances physiques ; un secret d'adolescents séparés par une guérilla et ses blessures collatérales. Chacun essaie de vivre sa vie mais un jour les deux moitiés d'une amulette se rejoignent. Ces jeunes qui se retrouvent adultes pourront-ils résister et reprendre leur vie là où le destin les avait séparés ?

06/2018

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Littérature française

Hugo Pratt : la rencontre de Buenos Aires

Buenos Aires, octobre 1952 : mise en scène romancée au cours de laquelle Hugo Pratt rencontrerait l'incarnation du personnage qui est né de son trait de crayon, Corto Maltese. Ce rendez-vous fictif entre le dessinateur et son héro offre l'occasion de découvrir les facettes méconnues d'Hugo Pratt et de sa créature, dans l'Argentine des années 50. Un beau texte merveilleusement dépaysant et enrichi de somptueux dessins. " Corto Maltese a vieilli. Il n'est plus marin. Débarqué une fois encore à Buenos Aires, il cherche à rencontrer Jorge Luis Borges pour lui soumettre un singulier parchemin fait de peau humaine. Les signes qui y sont tracés pourraient provenir d'un alphabet inconnu. Tout à fait fortuitement et dans un bordel, l'aventurier croise un jeune Italien interprétant un air que lui chantait sa mère. Il retrouve le jeune homme au cours d'une soirée mondaine donnée par un éditeur. Et apprend qu'il est dessinateur de bande dessinée. Il enquête sur lui et finit par se convaincre de lui raconter sa vie. " Et si les chemins de Corto Maltese et de son créateur, Hugo Pratt, s'étaient croisés en Amérique du Sud ? C'est l'idée qui a germé dans l'esprit de Michel Rime après une enquête d'un mois à Buenos Aires. Au cours de celle-ci, il a réuni du matériel sur la présence du dessinateur dans cette ville dans les années 50, notamment en recueillant les témoignages de ses proches. Le résultat est un récit très documenté, enrichi de références à des évènements et à des personnages historiques. Michel Rime, de sa plume légère, y mêle habilement fiction et réalité, ainsi qu'aimait à le faire l'auteur auquel il rend hommage.

09/2014

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BD tout public

Vies volées. Buenos Aires, Place de mai

"Les parents, ce sont ceux qui mettent à manger sur la table, qui te racontent une histoire le soir avant de dormir ou te filent une baffe quand tu franchis les limites. Pas ceux qui te mettent au monde et t'abandonnent. - Je suis d'accord avec toi mais là, on parle d'enfants volés, de parents assassinés. Ce n'est quand même pas tout à fait la même chose qu' une adoption, non ?" De 1976 à 1983, la dictature militaire qui régit l'Argentine fait disparaître près de 30 000 opposants politiques, pour la plupart assassinés. Parmi eux, des jeunes femmes enceintes auxquelles leurs enfants seront arrachés à la naissance. Depuis 1977, leurs grands-mères recherchent ces 500 bébés volés...

01/2018

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Philosophie

Albert Londres, Terminus Gardafui. Dernière enquête, dernier voyage

Né le 1er novembre 1884 à Vichy, Albert Londres est mort le 16 mai 1932 dans l’océan Indien, au large du cap Gardafui (Gees Gwardafuy, Ras Asir), dans l’incendie du Georges-Philippar, le bateau qui le ramenait de Shanghai à Marseille. Ces dates et ces lieux délimitent la vie du « prince » des journalistes, dont la figure est pour toujours associée au prix littéraire qui porte son nom, et qui, chaque année, est attribué au « meilleur » journaliste. Albert Londres est un auteur majeur d’Arléa, car, entre « grand format » et format « de poche », nous comptons aujourd’hui plus de vingt titres du grand reporter à notre catalogue, sans compter les deux ouvrages sur lui : Régis Debray, Sur la mort d’Albert Londres, et Didier Folléas, Albert Londres en terre d’ébène. Inutile, donc, de présenter l’homme. Si le livre de Régis Debray (à l’origine un scénario pour la télévision) résume, à gros traits, quelques éléments que les investigations sur l’incendie et le naufrage du paquebot avaient réunis, le livre de Bernard Cahier est d’une tout autre ampleur. En effet, Albert Londres, Terminus Gardafui passe en revue toutes les hypothèses qui, à un moment ou à un autre, ont retenu l’attention des enquêteurs. Après avoir brossé un tableau minutieux de la situation en Chine, particulièrement à Shanghai, en cette année 1932 (politique des concessions occidentales, diplomatie française à l’œuvre, ambitions japonaises sur l’État du Manchoukuo), Bernard Cahier étudie toutes les directions, toutes les circonstances, toutes les affaires, politiques ou délictueuses, auxquelles Albert Londres, vu ses habitudes et ses méthodes d’investigations, aurait pu s’intéresser (bruits de bottes japonais, corruption, opium, triades chinoises, etc.). Puis, c’est au bateau lui-même, qui, faut-il le rappeler, était sur le trajet retour de sa première traversée, que notre auteur va s’intéresser. Rien ne sera omis, de la construction du navire aux qualités et défauts de l’équipage, afin de tenter de trouver les causes de l’incendie, causes sur lesquelles de nombreuses hypothèses s’affrontent. Enfin, c’est sur la disparition, dans un accident d’avion, au Sud de l’Italie, des époux Lang-Willar, amis du grand reporter et « témoins », sur le bateau, de ses derniers instants, disparition qui ne manquera pas, une fois encore, d’alimenter les soupçons d’attentat, que l’auteur poursuit son enquête minutieuse. Ce livre est passionnant à plus d’un titre, car, outre les derniers instants du journaliste, relatés avec émotion et retenue, il fait litière de nombreuses hypothèses saugrenues, pour, sans conclure sur l’étrange fin du grand reporter, nous fournir les hypothèses les plus vraisemblables.

04/2012

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Sociologie

Le bout de la terre. Migrants africains à Buenos Aires

Depuis le début des années 1990, les routes qui conduisent en Europe se ferment sous l'effet des contrôles migratoires renforcés. Alors que la plupart des migrants africains se trouvent dans l'impasse au Maghreb, une minorité d'entre eux tente de contourner ces barrières, multipliant les étapes en Amérique du Sud. Arrêtés en Argentine, Maliens, Sénégalais, Guinéens ou Camerounais déclinent mille et une activités jusqu'au bout de la terre. Cet ouvrage a pour ambition d'explorer la genèse de ces mobilités transcontinentales à l'aune des politiques migratoires et des stratégies d'acteurs. Il s'attarde sur la place occupée parla ville de Buenos Aires et de ses habitants dans les dynamiques d'ancrage et d'insertion des Africains. De la danseuse peule jouant de son africanité au colporteur mouride facilitant l'accueil de ses frères, en passant par le footballeur originaire de Yaoundé qui imagine l'Argentine comme un tremplin vers la réussite, ces migrants africains ont en commun de contribuer à la mondialisation par le bas.

12/2020

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Littérature française

Le dernier voyage à Venise

Troubadour des temps modernes, issu de la culture des gens du voyage, Miguel Haler fait partie de la race lunaire des raconteurs d'histoire. Dans un récit bouillonnant, où le cocasse côtoie le tragique, mêlant poésie vagabonde des gitans et accents populaires du monde ouvrier Il nous emporte dans une bouleversante histoire d'amour, entre un grand-père et son petit-fils. Sylvano, émigré gitan, guitariste amateur, soixante-treize ans, au bout de son parcours, mi-brocanteur, mi-chiffonnier, vit dans une masure au milieu d'un campement de Tziganes et d'étrangers divers , entouré d'un terrain vague... Son petit-fils, bon guitariste aussi, un peu paumé, ne trouvant pas sa place dans une société trop hiérarchisée et qui vient de se faire renvoyer de l'usine où il travaillait, arrive pour partager l'existence du vieil homme. S'ensuit une complicité touchante et drôle à la fois, l'ancien transmet au jeune ses valeurs sur la vie, tandis que ce dernier l'aide dans son travail de chiftir.

04/2022

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Sciences politiques

La cité du crime. Buenos Aires, 1880-1940

Buenos Aires, la cité du crime. Ville portuaire aux bas-fonds menaçants, trottoirs aux mains des pickpockets, arrière-cours transformées en coupe-gorge, parfum de débauche et de transgression... De la Belle Epoque à la fin des années 1930, la capitale argentine a joué à se faire peur. Chaque matin, la presse populaire inonde la ville d'histoires imprégnées de sang frais, pour la plus grande délectation d'un public à la recherche de sensations fortes. C'est cette relation collective à la peur, cette curiosité morbide attisée par les titres à grand tirage, le cinéma, la radio, qu'étudie Lila Caimari dans cet essai à mi-chemin entre l'histoire des mentalités et l'anthropologie du crime. Figures du cambrioleur, de l'arnaqueur, de l'anarchiste, du " pistolero ", du criminel " passionnel "... Autant de constructions sociales donnant à lire l'imaginaire d'une société qui, à travers ces modèles, révèle ses propres hantises face à l'immigration massive, le matérialisme, l'affaiblissement de la religion, les changements dans la morale sexuelle... Autant d'enjeux venant éclairer à nouveaux frais les formes du contrôle social et les entrelacements noués entre peur du crime et critiques de la modernité.

05/2019

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Littérature française

Au coeur du Collège français de Buenos Aires

Gilbert Crespin travaille en qualité de musicien et professeur de français à Arras (Pas-de-Calais). Persuadé que la Seconde Guerre mondiale est une menace imminente, il décide de quitter la France et même l'Europe. Gilbert Crespin s'embarque vers l'Argentine accompagné de sa jeune épouse, Germaine Richard. Après plusieurs emplois et de sérieuses difficultés pécuniaires, le jeune couple parvient à ce que la France n'a pas réussi à créer jusque-là : fonder le premier établissement primaire et secondaire français en Argentine. Tout au long du livre, l'on voit se dérouler le fonctionnement de leur structure et les obstacles auxquels Gilbert Crespin et son épouse doivent faire face. Malgré cela, ils tiennent bon jusqu'à la tin de leur carrière.

04/2021

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Actualité et médias

Mon dernier voyage

" J'ai vécu une longue vie. Elle m'a donné joies et tristesses. Elle m'a aussi beaucoup appris. Pour moi, l'heure est venue de vous transmettre mon savoir ". Raoni a confié ses mémoires à Jean-Pierre Dutilleux en 2009 et en 2017. Depuis leur première rencontre en 1973, il n'est plus le même homme. Il a découvert le monde qui l'entoure au Brésil et au-delà des mers. Ce recueil inédit éclaire les pistes et fondations du monde des premiers habitants de la forêt amazonienne. Raoni souhaite que ce testament puisse inspirer certains à suivre ce chemin et tenter de protéger les Indiens, gardiens des dernières forets primaires qui, toutes, sont attaquées. Avec elles, disparaissent des trésors de biodiversité, indispensables à la survie de notre planète, de milliards d'êtres humains, d'espèces animales et végétales. "Après ma mort, j'aimerais que les Indiens vivent tranquilles dans la forêt, qu'ils puissent chasser, pécher et aussi chanter et danser au village. C'est cela la vie des Kayapos."

05/2019

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Littérature étrangère

Le dernier voyage

Ce dernier voyage, c'est celui qu'effectue en 1893 un peintre de marine, Jens Erik Cari Rasmussen, au Groenland. Se dessine le portrait d'un homme dont la vocation est de ne peindre que ce qui est beau et qui passe sa vie à lutter contre les affres de la création, obsédé par la couleur bleu cobalt, à refouler le souvenir d'une femme aimée, emportée par la maladie trop jeune, et à enfouir ses propres pulsions. Une histoire d'amour de l'art, dans le tourbillon de la passion, sur fond de violence et de renoncement.

01/2014

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Littérature française

Le dernier voyage

Pilote de ligne confirmé, le quinquagénaire Jean-Luc Daumesnil jouissait jusqu'alors d'une excellente santé. Cependant, un malaise le frappe en plein vol peu avant l'atterrissage à Tokyo. C'est est le signe annonciateur d'une grave maladie. Ressemblant à une leucémie, elle l'entraînera rapidement vers une mort inéluctable. Parvenu dans l'au-delà, il cherchera à comprendre les vraies causes de cette maladie. Ses investigations le conduiront vers une réalité cruelle qui suscitera en lui un désir de vengeance implacable. Mais, pourra-t-il la mettre en oeuvre de l'au-delà ? Michel Garreau nous entraîne dans une aventure palpitante qui se déroule parmi les vivants et les défunts.

05/2017

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Non classé

Le dernier voyage

Ce livre n'est pas un nouveau livre sur la traite négrière, ce livre EST la traitre négrière. Embarquez à bord du Courrier de Bourbon et de l'Africain commandés par le capitaine Ménard de Landeboulou, deux frégates françaises parties en 1723 et 1724 de Lorient, alors premier port de France pour le commerce triangulaire, pour deux campagnes de traite d'esclaves. La lecture des carnets de bord de ces deux pilotes nous renvoie 300 ans en arrière, sans parti pris, ni considérations, un texte brut, authentique, livré dans son intégralité. Un témoignage bouleversant d'un des pires moments de l'inhumanité.

10/2019

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Littérature française

Le dernier voyage

Un accident, un voyage, un grand Amour et soudain le silence ; Le dernier voyage est un roman écrit à la deuxième personne du singulier, un Road trip qui vous embarquera à bord d'une vieille Mustang Américaine à travers la route 66, mais le lecteur ne tardera pas à s'apercevoir que le vrai voyage est ailleurs, il est quelque part entre le rêve et la réalité, il est dans le cri de douleur de Raphaëlle qui s'obstine à ne pas entendre l'impossible annonce de la mort de son aimée.

07/2020