Histoire internationale
11/2019
Histoire internationale
10/2005
Histoire de France
06/2010
Histoire internationale
03/2014
Histoire de France
11/2018
Histoire de France
10/2017
Histoire de France
09/2015
ouvrages généraux
10/2022
Russie
Histoire de France
Histoire internationale
11/2008
Russie
02/2024
Théâtre
03/2002
Policiers
11/2018
Contes et nouvelles
02/2022
Histoire de France
01/2018
Architectes
04/2022
Beaux arts
05/2021
Histoire de France
08/2014
Musique, danse
10/2014
Monographies
06/2021
Art contemporain
06/2023
Musique, danse
10/2007
Littérature française
10/2022
Littérature française
Autres éditeurs (A à E)
10/2022
Livres 3 ans et +
10/2010
Critique littéraire
02/2019
Littérature étrangère
#SalmanRushdie – Le 14 février 1989, le jour de la Saint Valentin, Salman Rushdie reçut un coup de téléphone d’un journaliste de la BBC : il avait été « condamné à mort » par l’Ayatollah Khomeini. C’était la première fois qu’il entendait le mot « fatwa ». Son crime ? Avoir écrit Les Versets sataniques, un roman accusé d’être « contre l’Islam, le Prophète et le Coran ». Ainsi commence l’extraordinaire histoire d’un écrivain obligé de devenir un clandestin, changeant sans cesse de domicile, sous la protection permanente d’une équipe de protection policière armée.
Quand on lui demande de se choisir un pseudonyme à destination de la police, il songe aux écrivains qu’il aime et essaie des combinaisons de leurs noms ; puis l’idée lui vient : Conrad et Tchekov – Joseph Anton. Comment un écrivain et sa famille traversent-ils neuf années sous une menace de meurtre perpétuelle ? Comment continuer à écrire ? À vivre des histoires d’amour ? Quels effets le désespoir a-t-il sur sa pensée et son action, comment et pourquoi flanche-t-il et comment apprend-il à se relever et à se battre ? Telle est l’histoire que Salman Rushdie raconte pour la première fois à travers ces remarquables mémoires – l’histoire d’une des plus importantes batailles pour la liberté d’expression de notre époque. Il dit ici les réalités parfois cruelles, parfois comiques d’un quotidien sous surveillance armée, et les liens très forts qu’il tisse avec ses protecteurs ; il dit aussi sa lutte pour gagner le soutien et la compréhension des gouvernements, des chefs des services de renseignements, des éditeurs, des journalistes et de ses collègues écrivains, il dit encore son combat acharné pour retrouver sa liberté.
09/2012
Histoire internationale
01/1991