« Traduire, c’est trahir », selon l’adage italien, mais sans eux, pas de livres venus d’ailleurs dans les mains des lecteurs. Traductrices et traducteurs, penchés sur des textes antiques ou des publications plus récentes, ont enrichi les bibliothèques de leurs apports. Coauteurs de ces œuvres, souvent oubliés, voici un dossier qui rend hommage à un métier essentiel.
L’émerveillement ouvrirait ce qui est fermé. Souvent il passe par l’étonnement, la découverte. Sortir des sentiers battus, voilà un des grands moyens de l’éblouissement, ce dont sont capables les artistes. Parmi eux, les auteurs, grâce à leur style, leur propension à prendre le problème par un bout qui échappe à tout le monde, ou à leur trait de crayon.